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à

TABLE

DES

ANNALES DE CHIMIE.

TABLE

GÉNÉRALE

RAISONNÉE, DES MATIÈRES CONTENUES'

DANS

LES TRENTEFREMIERS VOLUMES

DES

ANNALES DE CHIMIE;

8 9 I I B

* _•

D'UNE TABLE ALPHABETIQUE

JD E s

AUTEURS QUI Y SONT CITÉS.

A PARIS;

CftEZ J. J. FUCHSy XIBRAIRBy B.UB DES MATHURXNSy K^. 334*

Ah IX (l8oi).

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1

>

^»— -^k-v—MB-^W.

TABLE GÉNÉRALE

RAI SONNÉE

Des matières contemies dans les trente premiers yolumes des Annales de Chimie.

Kola. Ijes chiffres rqmaina déaignent les volumes, tes chiffres arabes désignent les pages.

A.

J\ BsiNTHiUN v\ilgare ; résultats de Panaly^e de

Ja décoction et du résidu vte' bclte plante par Kuu&-

imillcr, VI, 35, 36.. )^'^ ^'^ *v^ Acétate de cuivre, ou cristaux de Véi^us'^ ceux qu'on .

préparc a Montpellier 60nLd'un^,t]uatité supérieure.

On les obtient par Pévap&rali'ôn .de . la dissolution

du vert -de-gris dans le viiiaigre, XXV, 321 ,

XXVIII y 119. Ces cristaux servent pour la pein- .

ture et lea veVnis , et donnent , par la distillation ,

de l'acide acétique , 3^6. AciTiTE d*aluinîne, prcfcnible au aulfate d'alumine

comme mords^t, IV, i53. Sa pesanteur spécifique,

XXVIII, i4.

de baryte; Sa pesanteur spécifique, XXVIII , 14*

de chauxj sa pesanteur spécifique, XXVIII, 14* > de cuivre; son action dans la teinture avec la

garance , IV, l'âj. Est une préparation de cuivre dont on se sert dans la teinture et la peinture^ XXV, 3o5. Malièrofl premières qui servent à sa TomeL * A

2 Table générale

fabrication , 607. Préparation de ces matières y 3o8. "Nom donné à la préparation préliminaire du cuivro qui sert pour la première fois , 3 12. Manière d'o- pérer, 3i4. L'avantage qu'offre ce procédé doit le faire préférer à celui décrit par Montet , 3ij et suiv. Substances que le citoyen Ad et a obtenues par sa distillation^ XXVII , 3o2 , So3. Substances qu'il a obtenue^} de l'oxide brun de cuivre , 3o5 .i4. Pesanteur spécifique del'acétile de cuivre^ XXVIII, -^ de fer ; sa pesanteur spécifique , XXVIII , i4.

de magnésie ; sa pesanteur spécifique^ XXVIII , 1 4*

de potasse ; observations de M. Lowitis sur la préparation de ce sel , XIX , 367.

de plomb , est décompçsé par le sulfate d'alumine , IV , i52. Ajouté à l'infusion de garance de Zélande, donne un précipité d'un rouge brunâtre ,*1V, 108. £n décomposant la dissolution de sulfate de cuivre , forme du sulfate de plomb qui peut être employé dans la peinture, comme le blanc de plomb, XXV, 326. Sa pesanteur spécifique , XXVIII , i4.

- de soude. Sa pesanteur spécifique, XXVIII,, i4.

—- de strontiane. Sa forme et sa consistance, XXI, i3o.

•— de zircone , XXII , ao6.

AcETO-TARTRiTE DE PLOUB Voycz vitt Hthargiré. .

AciDB. Expériences de M. Kirwan pour déterminer la quantité d'acide étalon ou d'acide réel contenu dans les acides minéraux, XIV, io4 à 212, 238 à 286. Ce que M. Kirwan entend par les dénominations d'acide étalon, i55, d'a^cide réel, 264^ 265. Diffé-* ronces qui existent entre ses résultats et ceux obte- nus par plusieurs chimistes célèbres. Causes de cette différence dans quelques résultats, 272 à 278. La

preave que M. Kirwan donne de Pezactifade de ses expériences, est la décomposition du sel commun p3r M. Woulfe^ d'après ses principes, 279. Parqît exister à l'état d'acide acéteux dans le sel cuivreux ap- pelé acétate, XXVIII, 120. Passe à l'état d'acide acé- tique par la décarbonisation, 121. Différence qui existe entre cet acide et quelques autres également susceptibles de modification , 1 2a.

(base des) II, 198. Ce n'esta suivant M. Avellan , que par analogie que les chimistes français ont con* du que la base de l'air vital se trouvoit dans tous les acides , 200 et suiv. Doivent être Y>réferés â la caillette, voy. caillette. Joints au mordant pour tein. dre le coton, sont nuisibles, IV, 11 4. Leurs efFels dans le bouillon de garance, i46. Leur action sur la congellation de l'eau, *ji5j. Leur action sur les sulfi- tes , XXIY , 25a , '25g , 36(S , 269 , 280 , uS3 , 290 , 399 , 3o3, 307. Leur action sur les sulfures métalli- ques non oxidés , XXV , a56 , 267. Espèces néces- saires pour l'analyse des pierres , XXX ^ 77.

Caractères des acides qiri se développent chez les rachitiques. L'action qu'ils y exercent est due au défaut de la bile qui , en général , manque chez les sujets atteints de cette maladie, XVIII, 117.

aoéteux. Son phlègme distillé donne une liqueur appelée anodinu» vegetahilis^ IV, i64. Se gèle après avoir été distillé sur du charbon, i65. Procédé pour l'obtenir pur , i63. Retiré par Schuler do la pldttte appelée aamhuc nigr^ Linn. ^ VI, i5, i4. M. Westrumb a obtenu cet acide de la dis- tillation répétée des acides oxalique et citrique. A chaque dislillatioû il y a un résidu de' charbon dans

A 2

Ta B L

C2SNERALE

la cornue , 46. Très-pur et très concentré obtenu par Brugnatelli en distillant l'acédte de baryte avec Vacide aulfurique , 48. On en obtient de l'alcool avec l'acide sulfurique concentré^ XXIÏÏ, iio5,2o6, ao7, 208, 212, ai4. N'attaque le cuivre qu'à Télat d'oxide, XXV, 5u5. Distillé plusieurs fois sur Toxi- de de manganèse, dissout le cuivre en pcUte qtian* tilé , 326. Procédé de M. Lorenz pour l'obtenir con- centré, XXVI, 3oo. Substances dont il est formé , XXVII, 3o6. N'existe point à moins qu'on ne' com- prenne sous ce nom les acides tartareux'et maliquç^ 319. Il ^8t impossible de l'oxigéner, XXVItl,ii4. âon action sur les oxides métalliques, comparée à celle de l'acide acétique^ 116. Manière dont il se comporte pendant j^a distillation avec l'acide sul- furique, 1179 118. Contient plus de carbone que l'acide acétique^ ii3|119,12k Devient acide acéti- que par une soustraction de carbone. On obtient de cet acide distillé sur le cuivre , dans la fabrica- tion du verl-de-gris , un sel qui donne a la distilla- tion Tes mêmes produits que l'acétate de cuivre, 120. Entre dans la composition du sirop de Belet , XXX, 170. acétique. Différence qui existe suivant le citoyen Berlliollet , entre l'acide acéteux et l'acide acéti- que du vinaigre , XXVII , 3oo. Fait à la manière^e M. Werlendorf, quantité d'eau qu'il contient , 3o8. Résultat de l'essai du citoyen Adel pour l'oxigéner > 3o9 à 3i3. Examen de sa combinaison avec l'oxide de enivre, Su et suiv. Produits de sa distillation, 3i3. Résultats des expériences faites pour comp.irer son action Avce celle de l'acide acéteux iur différente*

oesMatièhés. S

fnWânces ^ 5i4y3i5, 3i6i Résultat de l'expérience iàite d'après Jes procédcâ du citoyen Berthollet pour dégager Pacide acéteux de l'acétite Ae potasse, 317. L'acide du vinaigre se présente constamment dans Fclat d'acide acétique , 3 18. Différence qui existe entre l'acide acétique retiré l'acétate de cuivre | et celui retiré du vinaigre, 319. L'acide qu'on relire ' du vin aigri présente deux états très-distincts , celui d'acide accteux et celui d'acide acétique. Ces acides ont été regardés jusqu'ici comme ne différent que parla variété des proportions de l'oxtgène et du radical, XXVIII , ii3. Suivant le citoyen Adet > il n'existe point d'acide acéteux, puisque l'acide du vinaigre se montre toujours au plus haut degré d'oxigcnation. L'acide retiré du vinaigre distillé et celui extrait de l'acétate de cuivre , ne diffèrent , suivant le même auteur , que par la proportion d'eau, 1 1 4. Est impossible à désoxigéner, ii5, 121. For^ me des sels de même nature que l'acide acéteux. Ces deux sels , suivant le eit. Chaptal , diffèrent par l'odeur, la saveur et leurs vertus dissolvante», 11 5. Action de l'acide acétique sûr les oxides métalliques comparée à celle de l'acide acéteux, 116. Manière dont se comportent ces deux acides distillés avec l'acide sulfnrique, 117 , 11S. La différence qui exis-^ te entre l'acide acéteux et l'acide acétique provient , suivant les cit.* Chaptal et Ferès, de l'abondance de carbone plus considérable dans l'acéleux que dans l'acétique, ii3, 119, lai. antimoniacal. Affinité de cet acide pour la baryte , U potasse, la soude, la chaux, Fammoniaque ,. la magnésie . Falumine , XIII , 5.

A3

6 Table c£n£ralCi

«* arsenical ^ traité avec le muriate d'étain> lui abaa<- donne Pozigène, et paroît sous la forme d'une poudre noire , XII , 232. Procédé de Pelletier pou^ lai rendre son étt-it métallique , XXVI, 66. Sa pesan- teur spécifique y XXVIII, il.

»- benzoïque remarquable par sa volatilité à une cha- leur douce et son odeur aromatique , V, gS. Obtenu en cristaux par le moyen de l'alcohol. Ces cristaux sont semblables à ceux de Facide sublimé. Cet acide peut faire une encre de sympathie visible en jaune , par le contact du gar. nitreux ou de l'acide nitreux fumant, VI , 33, 34. Sa combinaison avec les oxides d'or, d'argent, de platine, de cuivre, XI, 5i4, 3i5 Le plomb , l'oxidc de fer, de mercure, de bis- muth, de zinc, d'antimoine , l'oxide blanc de manganèse, l'oxide blanc d'arsenic , de cobalt. Moyen d'obtenir ces oxides, 3i6 et suiv. On en trouve dans l'urine des enfans, XVI ^ 167. Comparé à l'acide subérique, XXIII, Ô9. Découvert dans la pierre de miel par M. Mabich, 325. Se dissout en grande quantité dans le suif, ce composé a la con« sistance d'un savon ferme , XXIV ,117*

*— boraciquc. Tentatives inutiles de M. Lind pour le désoxigéner, XXVI, 121. Remarques et opinions de M. ^reffz sur sa nature et sur ses principes , XXVI , 3oo. Sa pesanteur spécifique , XXVIII , 1 1

"—camphorique. Ou l'obtient, selon Kosegarten, en distillant huit fois de suite de l'acide nitrique sur du camphre, XXIII, i65. Premier procédé du citoyen Bouillon- La grange, pour le préparer avec l'acide nitrique à 36. degrés, 166. Manièje de le purifier, 167. Deuxième procédé pour l'obtenir avec l'acide

i>Bs Hatièiiej.

nltriqne à 5o degrés , 167. Ré«ultaU des deux pro- cédés, 168. Caractères de cet acfide , 170. Substances qai ie dissolvent 9 auxquelles il s'unit > qu'il décom- pose y 171, XXVII , 19. En quoi il difiere des autres acides végétaux , 1 7a. Dissous par ralcool , n'est pmais précipité de sa dissolution par l'eau, XXVII » 4o. Sa pesantenr spécifi<|tte , XXVIII > 1 1. carbonique. Procédé indiqué par Layoisier pour en fi>nnc*r^ II, 23d. Contient de l'eau , 373 et suiv. Formé par les végétaux , III , 56 , 69. Sa formation dans les plantes analogue à celle dans les animaux, €0. Son influence sur la végétation, 6a. Ne s'unit à k cBaax que par l'intermède de l'eau , 67. S'unit aox oxides métalliques sans cet intermède , 6j. Né- cessaire d'employer l'eau de chnux pour en recon- noître de petites quantités, 67. Sou action sur I0 carbonate de baryte , voy. carbonate de baryte. La quantité qu'en contient le carbonate de baryte , voy.' carbonate de baryte. Selon Brawford, son union avec certains corps augmente leur capacité, V, 2274 Sa décomposition en oxigène et carbone, IX, 5o4. Son affinité pour la baryte est i4, la potasse 9 , la soude 8 , la chaux 12, l'ammoniac, 4, la magnésie 6, et l'alumine 3 , XIII, 5. Phénomènes observés par Schéele , qui paroissent contredire les rapports de ces affinités , 6. Condition pour que ces phénomènes ûent lieu, 7. Opinion de Schéele sur ces phénomè* ^^> 9- Preuves qu'ils sont simples et naturels , .10 et suiv.. Formules des expériences de Schéele , 1 7 et suiv. Sa décomposition par le phosphore et autres substances. Preuve de cette décomposition, 5i2v »i sur sa décomposition par le phosphore, par

A4

8 TA^tB civÉltALE

les citoyens Fourctoy, Vauquelin et autres; résul- tats, 3i5y XV, 96. Soupçonné être la cause de la dissolution des substances du péridot^ XXI , 10^. On en obtient par la décomposition de Palcool, au moyen d'un tuyau de porcelaine rougi au feu , XXin, an. Sa formafion est-elle essenlielle » la végétation? XXIV, i36. Sa décomposition, par M. Hussin Puschin^ XXV, io5. Dégagé de la bierre* et du vin de Oâimpagne , laisse tomber en se refroi-' dissant des gouttes d'alcool , XXVII, i^. Ce qui <iause les efiets stimukns et roborans qu'on lui attri* bue , i43. Cause de sa formation par le contact du g^z nitreux avec l'eau de puits, XXVIII^ i53, i54. Dana son affinité avec l'oxigène^ tient le second rang après Vhydrogène. Est très-^légèremeiit aigre, et n'a que peu de force médicamenteuse, aéy.

chromique. Procédé pour le convertir a l'état d'oxide , XXX ,97.

cicérique. Voy. acide des po^s chiches.

^— cristallisé obtenu au bout de cinq ans d'un mélange d'acide nitrique , d'acide sulfurique et d'huile éthé- rée d'amandes amères . XXIÎI, S'a.

- citrique. Ses propriétés, V , 94, 96, io5. Fournit par une distillation répétée de l'acide acéteux , et laisse chaque fois un résidu de charbon dans la cornue , VI , 46. Formé par l'action de l'acide muriatiqùe oxigénésur la gomme, 178. Procédé deM.Brugiia- telli pour le conserver et le concentrer, XII, i48, XXVI , 298. Différtmces qui existent entre cet acide et l'acide subérique , XXIII , Sg. \

r-d'étain,IV, 16a.

•— fluorique trouvé dans la terre de Marmorosch ,

DEsIVlATliRES. 9

VlU, i3. Y existe dans la proportion de a8,oo. IX, q5%, Son-afRnlté avec la chaux, XXI, i3a. -gallique. Une solution chaude de cet acido saturée avec les carbonates d'alkali , de chaux et de magné- sie , laisse dégager de l'acide carbonique nTec eiier- ▼cacence, XII,ai)5. Est contenu dans le sumach combin*^ avec la magnésie blanche, et forme des sels neutres avec d'autres bases terreuses, 295 , 3oo. Préparation de cet acide , 298. Tous les corps qui lui cèdent de l'oxigcne rembrunissent sa couleur. Ceux qui le lui enlèvent l'éclaircissent ^ ^99 > ^^i- Coolcur que prend l'oxide de mercure rouge en bouillant dans une solution de cet acide , 3oo. 11 précipite en régule d'or la dissolution d'or dans l'acide nitro-muriafique , 3oi. Une solution de cet acide est entièrement décolorée en bouillant quelque temps avec du carbone ^rés-pur, 3oi. Regardé par le C. Berlhollet, comme le principe des précipités noirs produits par lesastringensavec Iqs dissolutions de fer , XVI, 168. Existe tout formé dans la noix do galle. Se dissout facilement dans l'eau , l'alcool et l'éther. Moyen de le purifier , XVII , 44 , 45. Ses propriétés , 46 , XXV, 19t. Moyt-n de le décompo- ser, 47- ^^^ <iu> 6^ dégage pendant sa décompo-> sition , 4^ > 49. Substances dont il est composé , 5o , 65. Peut être converti en acide carbonique , duquel il diffère par les proportions de sa base, ôi. Est de toutes les parties éonsliluantes de li noix de galle , la seule qui décompose le sulfate de fer, 62. Action qu'il exerce sur la colle ani- male, XX, 57. Différence entre cet acide et l'acide «ibérique, XXIII , Sg. Est oxidé par l'acide nra-

lo TàbIe générale

rîattque oxigéné. Sous cet état y perd ses propriétés, XXV, a3o.

du jus de cerise fermenté , III 3i. Voyez cêrise. La plupart des acides végétaux convestibles en oxalique et acéteux , 45. Plus il est fdible , plus il prend de base , 84.

«— lithique. Principaux caractères de cet acide le plus foible de tous les acides. Ses propriétés , XVI , 11 5. £st un composé de beaucoup de carbone et d'azote et de tres-peu d'oxigène et d'hydrogène, 117. Est plus dissoluble dans l'eau chaude que dans Peau froide. Se convertit facilement par le feu en acide prussique , i65. M'a élé trouvé jusqu'à présent que dans l'urine humaine , 166. Ne peut être placé dans la même classé- que les autres oxides végétaux , XXVII , 281 , a85. Le citoyen Fourcroy propose de le nommer acide ourique ,

malique , donne un sel toluble avec la chaux , incristallisable , V , 95. £$t décomposé par la poudre de charbon , XIV , 538. Différence entre cet acide et l'acide subérique , XXIII , 69. Forme , avec la magnésie , un sel déliquescent , XXVIII , ' 192. Avec l'alumine un sel ^presqu'insoluble , 19a. Procédé pour former cet acide , igS.

- molybdique trouvé dans le plomb apathique de Carinthie , VIII, io4, m. Procédé de M.Tihauski pour l'obtenir , IX , 279. Passe à l'état de régule après avoir abandonné son oxigène à une disso- lution de muriate d'ctain , XII ^ 253. Est dissons par l'acide fiyulfurique ; la couleur bleue de sa dissolution est duc à l'action qu'exerce le .soufc»

BEsMat1£RE8. 11

acr cet acide, auquel il enlève une partie de son oxigène , XXIII y 149. Forme un sel triple iivec les alkalis fixes et l'acide sulfunque on muriatlque , un sel quadruple s'il y a du fer dans la conibi- luison. Ce sel se décompose , en partie , par Vévaporation. Sels que forment une .partie de l'alkali et de Farcide , en se combinant séparément , i5o. Le ael triple qu'il forme avec l'ammoniaque et l'acide solforique ne se décompose pas par l'évnporation et cristallise sous la forme d'un sulfate vert. màmère dont se comportent les cristaux a la dis- tillation. Couleurs que prend une solution de cet acide et d'acide sulfurique en l'exposant a l'action de la lumière, i5o.

- mnrialiqoe ; substances dont tous les principes sont inconnus , II , (h). Comment il devient ga* zenxy 66. Dissout facilement les oxidcs métalliques; attaque peu les métaux^ 216. Son action sur le carbonate de baryte , IV ^ 66. Rend les couleurs sombres dans les teintures , i3i. Sa dulciiication, ^1 . Son affinité pour la baryte, la potassci la soude, la cbaux , l'ammoniaque , la magnésie , l'alumine , Xm y 5. Uni à une de ces substances et e'xposé à Faction d'ane autre pour laquelle il a plus d'affinité , abandonne la première, et forme, avec la seconde, un nouveau composé, 5, Dans quel cas il se fait une décomposition et une compo- sition doubles , 6* Phénomène observé par Schéela , qni paroit contredire les rapports d'affinités , 7. Condition pour qu'il ait lieu. Opinion de Schéele sur ce phénomène extraordinaire en apparence , mais simple et naturel , g et suiv. , 11 et suiv. Formules

t% ITablb exy£&AL£

des expériences de Schéele , lyet suiv. Son affinité pour le zinc, a6. Sa préparation parl\l« Karleleyn^ 917. La gravité spécifique* de l'acide muriatique^ le plus fort est i,i9B. Ce que 100 parties de cet acide en contiennent, de celui dont la gravit 4 est i^ôoo , servant d'étalon a M. Kirwan^ XIV, i55« Relation entre cet acide et les terres calcaires ^ XIV , 243. Ce que 100 parties de chaux absorbent de cet acide , 244. Sa préparation pour le blanchi* ment des soies > XVII, 3o5 et suiv- Cause de sa coup- leur jaune , 208. Sel qu'il foi^me avec le carbonate de strontiane ^ XXI, 117. Expériences contraires à sa décomposition , annoncées par M. Girtanner , XXVI , 296. Combien d'oxigènc sur 1,800 parties du radical de cet acide, XXVIII, 80. Son action sur le précipité de la serpentine formé d'alumiae et de prussiatc métallique, 298. A été trouvé dans la «erpentine par le cit. Bayen, 199. Ne se solidifie pas d^ns un mélange de muriate de chaux et de neige refroidi à Sg— o , XXIX , aSa.. Se trouve irès-abondamment dans le règne minéral , dans l'eau de la mer , combiné avec H chaux , la magné- sie et la soude , dans le sel gemme, 3o8* Expérien- ces de M. Girtanner, au moyen desquelles il pré- tend l'avoir décomposé en hydrogène et oxigène , 309 et suiv. L'eau, suivant cet auteur, est a cet ftcide ce que l'air atmosphérique est à l'acide nitri- que, 3 12. Expériences du cit. Tassaert tentées sur 'la décomposition de cet acide , que l'on doit , selon cet auteur, continuer de regarder comme un corps simple , jù<«qu'à ce que l'on «oit parvenu à le dé- composer, 3i2 et suiv. Mêlé avec l'acide sulfurique

ae contracte aucune anion ; phénomène «qui a lieit lorsque ces deux acides sont concentrés , XXX , 4. Procédé pour purifier celui du commerce > 78. muriatique oxigénc ; 3a ibrmnûon^ II, i5i e^ suiv. Moyen de lui enlever Foxigène , iô5. 6on action sur le& couleurs végétale^^ i56 et suiv. Appareil doBl on se sert pour sa préparation y i6'6 , 164. Proportions des substances qu'on emploie , i65. Procédé, 166 et suiv. Son usage dans le blân* cliiment des toiles y ï , 69 et suiv. Procédé , Il , 169 el suiv. Peut être employé à d'autres usages , i€6 et suiv. 1 , 69. Jaunit la soie , II , 64. Re- présente l'action de l'air sur les rouges de garance , TV , 161. Peut servir à faire connoitie la solidité des couleurs ,Y , 82. Enflamme le sulfure de mer- cure sublimé , ainsi que le kermès minéral y le flulfure d'antimoine > l'antimoine et le bismuth , Vf , 5o. Son action sur les p^irties colorantes du fil écro , aiz , ai5 et suiv. Sur les parties verles des végétaux 9 a 18. Sur la dissolution d^ndigo dans l'acide sulfurique, 229. Sui|||finfusion de noix de galle ^ et de sumach , aig. Aflccte de diverses manières les parties colorantes , végélales , les blanchit , ou les &it passer au fauve plus ou moiuû foncé', 21g , 230* -— Les rend , en certains cas , susceptibles de s'unir aux alkalis , auiL terres , aux oxides métalliques , 236, 226. Ne doit ni sa cpu- leut , ni ses autres propriétés à Toxide de man- ganèse , XI , la. Tout ce qui peut lui ôter Toxii gène détruit pareillement sa couleur^ i3. Peut être employé pour rendre aux anciens tableaux leur colorb , XII f 5i. Pourquoi il ne peut servir pour

i4 Tablk générale

mesurer Tintensité de la rumière ainsi que M. do Saussure Pa proposé, XII, 64. L'huile vola- . tile observée pendant sa distiitation par M. Giobert est semblable à délie que M. Westrumb à décou* verte. Description de cette huile , XVI > 528. Ne se combine point avec la magnésie , XXII , 5i8. Lorsqu'il est solide en le mêlant avec le phos- phore , et frappant le mélange avec le marteau , on entend une détonna tion sourde , XXVII , 83. Est décomposé par la lumière à une température peu élevée, 168. Ce que 1000 parties de sa base demandent d'dxigène , XXVIII , 81. Employé dans l'analjTse du gaz nitreux , absorbe le gaz et en sépare l'azote , i56. Découvre constamment plus d'azote dans le gaz nitreux que le sulfate de fer , 177. Résultat de l'essai de cet acide^ pris comme anti- ayphilli tique, 270. Mêlé au pus varioHque en détruit l'effet dans Finoculation ,271. Est employé par M. Rollo, dans le traitement des ulcères , XXIX ,310. Détruit les odeurs des substances végétales et ani- males. Corrige la puanteur* des chairs pourries. Ote à la ciguë et a l'opium leurs qualités sensibles , 2i5. Fris intérieurement , occasionne des douleurs violentes^ 2i5^ ai 6. Sous cet état, ou à l'état de gaz , agit chimiquement sur les plaies , 220. Se condense et se cristallise à un froid arlificiel de 3g-*-o degrés , XXIX. Phénomène qu'il présente lorsqu'on le «néle sous cet état avec l'ammoniaque condensée par le même degré de froid, 220. ■— nitreux. Procédé de M. Cawendish pour en ob- tenir d'un m^ange de gaz oxigène et de gaz azote , au moyen de l'étincelle électrique > II > 2(18, s53,

]>*E «Matière s. i5

25b, Lâche une portion de cuivre quHl avoit pris lorsqu'il devient nitrique , Ul , 84< ASbibli ^ mêlé â du sulfate de soude ^ produit du froid ^ IV, 99. Est , selon Pries lley , le plus simple de tous les scides, VII, i44. Manière dont Prieslley Toblient, 137. Nuit au blanchiment des soies , XVII , 169 , 199, Mêlé à l'alcool , donne à la soie une couleur jaune-dojrée brillante, qui résiste à tous les dé- bouillis, aïo et suiv. Pendant sa séparation de l'acide nitrique par la distillation , se sépare en deax liquides qui ne sont pas miscibles par l'agi- tation , XXIII , n%.

^- nitreux fumant , distillé par M. de Veitz , sur do l'oxide noir de manganèse , lui a donné un acide nitrique blanc. Il y a fait dissoudre de l'étain , et la dissolution ne s'est point troublée par l'ad- dition d'un peu d'eau, VI, 46, 47.

nitrique \ sa base combinée avec l'oxigène forme le gaz nitreux , II , 66. Jaunit la soie , C4. Cas il s'en forme par la combustion de l'hydrogène , m ^ 64. Son action sur le muriate oxigéné de po- tasse , IV , 258. AiFoibli , dissout le sulfate de ma.- gnésie. en produisant du froid, 97. Son action sur le carbonate de baryte , voyez carbonate de baryte. Délayé est un bon réactif pour distinguer le vrai ronge des Indes , du faux , '6, Indique le coton teint i la manière d'Andrinople , 161. Est formé en plusieurs circonstances par la décomposition de l'ammoniaque , VI, *jl^ et suiv. Se forme auf^si en Versant de Pacide sulfurique concentré , sur du pnusiate de soude liquide , 299 , 5oo. Donne , par sa distillation sur de l'étain, du nitrate d'animo-

i6 I'ablecékéralc

nkqac et de i'oxide bianc d*élôin ^ VII ^ 74. Est ^ selon M. Cawendish^ susceptible de deux sortes de congélation , a49< -^ ^^^^ degré dp concentra- tion il est susceptible de Tune on de l'autre ^ ao5. Expériences faites sur cet acide ^ à la baie d'Hud- son^ 25 s. Table des expériences > ;t53. Procédé pour l'obtenir du manganèse^ XI ^ 175 et suiv. Affinité de cet acide pour la baryte j la potasse , la soude , la chaux , l'aromoniaque , la magnésie , pHlumine , XIII ^ 5. Le zinc^ a8. Gravité de l'acide nilriquo le plus concentré que M, Kirwan ait pu obtenir. Sa couleur , XIV , 164* Relstion de cet acide de la terre oilciire ^ 338. Quantité de marbre que *ioo parties de cet acrdc à 1^5543 de con- centration a la température de 60^. y peuvent dis- soudre, 240* FroporlioDs de ses principes XX ^ 5i 1 . Moyen d'en opérer la combinaison ^ 3i2. Sel qu'il produit avec le carbonate de strontiane^ XXI, 117. Un mélange de cet acide et de neige refroidi a 11° ^ &it congeler le mercure, XXIII , i45. Mêlé à l'acide sulfuriquc aiFoibli , et la neige refroidie à 20 ^ produit un iroid de ^^ , i45. Avec le phospliate de soude , fait baisser le thermomètre de a :io^ , i46. Calcine l'étain au lieu de le dissoudre^ XXIV , 127. Son usage dans les ma-- ladies vénériennes y XXV , 6G. M. Ingenhouzs s'est assuré do son elHcacité dans ces maladies , XXVI > ii4- Moyen do découvrir sa présence dans l'acide sulfurique , 299. Est décomposé par la lu» mière , à une température peu élevée , XXVII , 168. Son action sur le calcul vésical. XXVIII , 55 et suir. Estçompodé d'oxigène et d'asote, 186. Est

foibl«ment

DESMATliUES. ,17

fbîbieaieiil lié dans 5a composition saturée d'azoto engéaé. Rapidité avec laquelle l'oxigène s'en sé- pare lorsqu'on le met en contact avec des corps erganîques , a48. Influence de la lumière solaire sur sa préparatien^ 5i 3. Nouveau nom que lui donna M. Bnignatelli , voyez oziseptonique. Dans quelle classe cet auteur propose de le placer, XXIX', 181. NoRis des médecins qui le trouvent dange- reux comme remède anti - siphillitique. Noms ^e ceux qni le regardent comme très-salutaire, 191. Dans quel cas il détruit la fétidité du gaz hépa- tique animal, 21 4< Contenant du gaz nitreux de couleur orangée placé dans un mélange de muriate de chaux et de neige refroidie à 3cf-~^o , s'7 gèle promptement et prend une couleur rouge foncé ^ 282. Le plus concentré ne produit pas le plus grand froid y 296. Procédé pour purifier celui du com- merce, XXX , 77. Entre dans la composition du sirop de Belet , 170. Procédé pour le réoxigéner lorsquHl est décomposé par le cuivre^ 21 3.

iiilro*muriRtique. Sa formation suivant M. Richter, et la dissolution de l'or dans cet acide , se font en vertu d'une affinité double, XXVIII, 77.

ourique. Voyez acide lithique.

oxalique. Propriété qu'il commuifique au iher» care , I , ôj. S'est formé dans l'éthcr nitrique , ni, 3o3. Décompose tous les sels calcaires, et forme alors un sel insoluble ^ V , 94- Fournit ^ par nne distillation répétée , de l'acide acéteux , suivant U. Wertrumb. Il reste 9 à chaque distillation , du charbon dans la cornue > VI » 46. Annonce d'ob- «ervaiions sur son état anti-délctère. Le suc de Tome h B

I

i8 Table ciENiiiALP.

m

marichot , pobon très-8ub(il , perd cette propriété lorsqu'il est mêlé a l'acide oxalique , 63. Comment s'opère sa séparation d'avec le carbone et l'azote , XI , 169. Observations de M. Brugnatelli , qui prouvent l'erreur commise pRr Bergman , qui con- sidêroit cet acide comme réactif sur de la èhaux , XXIX , 1 74. Le précipité qu'il forme paf son union avcc'Toxide d'éteîn , ne décolore pas l'infusion de cochenille 9 XXX, 21. *- phosphoreux. Procédé de Pelletier pour le pré* parer, XIV, 117 et suiv. Moyen de préparer l'acide* phosphoriquc avec cet acide , i]«^. «— phosphorique décompose le carbonate de potasse sans effervescence, IV, 28a. Ce que 100 grains d'aci- de phosphorique contiennent de phosphore et d'oxi- gène, VII ,69. Trouvé dans latent de marmnroch , VIII , i3. Existe dans la terre de marmaroch dans la proportion d'un 1,00 , IX , a3a. Trouvé par HofT- innn dans le résidu de la distillation de l'éfher sulfurique , XII , ô'/ , 58. Opinion de M. Van Mons sur sa destruction, XIII, 70. Uni à l'alkali minéral donne le nouveau sel désigné sous le nom de phosphate de soude , XIV , 120. Sa cristallisation, XXIII , 74. Sa pesnnteur spécifique , XXVIII ,11. Le 'précipité qu'il forme par son union avec l'oxide -^'étain ne décolore pas l'infusion de cochenille , XXX, 21. «— des pois chiches , ou adde cicérique ; procédé pour le recueillir. Action de l'air , du feu , de la lumière sur cet acide , XXX , 1 79. Ses propriétés 180. Combinaison qu'il forme avec la limaille de fer qu'il attaque et dissout, i83. Expérience du

OEtMATliRBS. ig

âtojreii Dîspan qnî lai fisiit entrevoir des traces de l'acide oxaliqae dans cet acide. Conclusion de l'au-- tenr, 184. <

da plomb ronge de Sibérie. Propriétés de cet acide , XXV , 194- £st réduit à Pétat d'oxide vert, par sa distillation avec l'acide muriatique concentré , 198. Mêlé avec l'acide ^muriatique , dissout l'or à Faide delà chaleur. Couleur qu'il prend avec l'acido solibriqne 5199* La réduction de l'oxide produit le métal nommé chrome. *— Propriétés de ce nou- veau métal f aoo , aoS. Signiâcalion de son nom , 002. L'oxide de ce métal a été trouvé dans l'éme* rande , et dans la gangue du plomb rouge y par le citoyen Vauquelin. Est un métal particulier^ aû3.

pmssique ; principes dont il est composé > 1 , 36 et suiv. Peut contenir l'oxide de fer dans deux états difierens , 3 1 . Moyen de le séparer de Toxide de fer , 33 , 34* Préparé â I1 manière de Schéele enlève l'oxigèae à l'acide mnria tique oxigéné j 35. Sa singulière transmutation , 35 , 36. Proportion do ses principes, non connue, 38. Peut être formé en. distillant le sérum du sang de bœuf avec l'acide^* trique foible , VI , 180 , 181. On en obtient du cai » cul vésical par la simple distillation à feu nu et par l'action de Tacide nitrique, XVI > II&. Contient plus d'oxîgène que l'acide lithiq^ie, 117. N'est ja- mais formé que par les plantes qui contiennent de l'azote , XVni, 71. So combine avec la magnésie «t la dissout; laisse l'alumine intact,* XX Vin> 194.

«^pjroligiliqtie provenant de la distillation du bois

B a

%,o Table général c.

de Iiétre digéré sur la litarge^ décompose lie sel marin ^ XIX > 109.

saccarin. Procédé pour l'obtenir. Voy. sucre.

sacholactiquc. Sa pesanteur spécifique , XXYUl , 11.

sébcicique. sa formation. Voy. beurre.

I— Subérique. On l'obtient sous forme solide par la distillation du liège avec l'acide nitrique , XXIII, 45. Ses propriétés chimiques , cKaufPé dans un ma- tcas se volatilise. Au chalumeau se liquéfie et dispa- roit entièrement y^6. £st liquéfié par le gaz oxigène. Est peu dissolubie dans l'eau, les aci.les ont peu d'action sur cet acide^ 47« Donn'9 avec l'alcool une liqueur étliérée y avec l'acétite et le nitrate de plomb qu'il décompose, forme unsubérate, sels qu'il dé- compose , 48. Couleur qu'il donne a l'infusion de noix de galle , d'indigo , 49. Forme des subérates avec les substances terreuses alcalines^ avec plusieurs métaux j 5^, 67. S'unit à plusieurs oxides métalli- ques , 5a. Attractions électives de cet . acide > ôy^ Difi'crcnces qui existent entre cet acide et les acides citrique , gallique , malique ^ benzoïque , tartareux , oxalique , ^9 , 60. N'est pas contenu ou formé dans le liège , 61 .

-*- succinique , volatil , concret que l'on retire du «uc- cin, XXIX, 161. Le sel de cet acide traité avec i'acide nitrique se résout, suivant M. Wertrumb , en acide oxalique, 162. Circonstances qui contri- buent à rendre les expériences sur cet acide et les résultats incertains, i63« Procédé pour le purifier , 164* Sa décomposition tentée par le citoyen Gniton }

I> E i n A T t i R £ s. at

résultat , 166 et suiv. Dans quelle classe il doit ê'Ire rangé. Paroît avoir une origiAe végétale^ 169. - nilItiTeux. .Exposé à une haute température, se change en acide sulfuriqae, II, 54. Moyen d'en former abondamment , 5d. Pesanteur spécifique do celai obtenu pir ce moyen , ÔG. En dissolvant la terre calcaire , la baryte , l'alumine forme avec ces terres des sulfites, 67. Avec le fer qu'il décompose en partie, le sulfite de fer , 58, 69. Di^ssoutle zinc,. l'étain, 59. Devient acide sulfurique par son mélnn^* ge avec l'acide murialiquc oxigénô auquel il enlève l'oxigène; ainsi qu'^ l'oxide de manganèse , 6&9 XI, 78. Son action sur les couleurs, 65. Est décom- posé par le muriale d'étain, XII, a3i. Formé par k décomposition du gax acide sulfureux au moyen du mercure y dissout le fer sans produire de gaz. Bl'agit point sur le carbure , XXII , 9. StaRi est >e premier qui Va distingué de l'acide sulfurique. Com- ment il concevoitla formationtle ce dernier, XXIY, 229. Peut être préparé ou par la combustion du sou- fre, ou en étant à l'acide sulfurique une porlion d'oxigène, a3i. M^est jamais fourni pur par la syn- thèse f 232. Subslances qui peuvent opérer la con- version de l'acide sulfurique en* acide sulfureux , s^!!. Sa préparation , 233. Existe constamment â l'état de lliiide élastique invisible; sa pesanteur spécifique , sa saveur^ 334. Exposé à une haute température, selua plusieurs chimistes^ devient aride sulfurique. Cette eipérienee a été répétée sans succès par leè cit. Fourcroy et Vauquelin , 235. Ne peut être converti en totalité par le gas oxigène en acide sulfurique , 236. Se cx>mbiae rapidement avec l'eau refroidie par

B 3

k glace, 337. Chasse l'acide carbonique de Peati , 2139. Se combine avec l'acide sulfbrique concentré refroidi par un mélange de glace et de ael^ phé- nomène que présente cette expérience , 25i| , x4o» Décompose l'acide nitrique sans que ce deruiep contracte l'odeur d'acide suliuriquo , qJ^i. ]N'e3t point altéré par le phosphore , 244. S'unit facile- ment aux terres et aux alkalis avec lesquels il forme des sulfites , a46. »* sulfiirique distillé sur le sucre forme beaucoup plus d'acide sulfureux qu'avec différentes substances vé- gétales et ammalesy 11^ 55. Est le mélange del'eatt et de Li vapeur produite par la combustion du nitro et du soufre, 111^48. Description d'une chambre 4e combustion enmaçonni^e, substituée à la cham- bre de plomb, 4g et suiv Mêlé avec du sulfato de soude donne un moyen économique de produire du froid ; voyez froid artificiel. Son action sur le carbonate de baryt#, voyez carbonate de baryte. Décompose le muriate oxigéné de potasse , voyez muriate oxigéné de potasse. L'acide sujfurique an- glais et tout celui obtenu directement dans des chambres de plomb, contient du sulfate de ce métal. Heyer a retiré 3 grains de plomb de tà2 onces d'a- cide. Le simple mélange de l'acide avec un poids égal d'eau distillée précipite une poudre blanche- dont on extrait le métal, VI , 30;. Comment sont coni» posées 100 parties d'acide snlfurique a 1^^, selon le citoyen Morvean, VII, 45. Degré de concentra- tion auquel il sb gèle par le plus petit froid j 2b6* Affinité de cet acide pour la baryte, la potasse , la soude , la chaux , l'ammoniaque , la magnésie^ l'alo-

BmftMATXBiiBs. a3

mine , XIII, 5. Phénomène observé par Schéele qui paroît contredire les rapport d'aifinites, 7. Daos quel cas il se iàit une double décomposition du mélange de cet acide avec d'autres substances , H, 9. Son aifinilé pour le zinc, 28. Table des quanlités d'acide snifurique étalon à aooo , contenues dans l'acide sulfurique d'une pesanteur spécifique infé- rieure^ XIV y 16a. A quoi on doit attribuer Faug- mentation de densité qu'on trouve au-delà de ce qu'indique le calcul , dans les mélangea de cet acide avec l'ean, lôy. Quantité de marbre que dissolvent 100 parties de cet acide concentré , selon MM. Ca- vcndish et Rirwan , a46. Substances végétales qu'il décompose et rend libres de toutes couleurs, XV ^ loi. Substances que conlient l'acide sulfurique dit commerce. Moyen de le purifier et de le rendre propre à faire l'acide marin convenable au blanchi- ment des soies , XVII, aoi et suiv. Décompose le mnriale de soude, XIX, 61. Avec tt mnriate de plomb forme du sulfate de plomb, 100. La facilité avec laquelle ilse fige après avoir été versé sur l'oxide de manganèse , est attribuée par M. Fuchs à l'état dans lequel s se trouve après que l'hydrogène lui a été enlevé par cet oxide, XIX, 36o. Employé dans le tannage des cuirs sert a faire gonfler les peaux XX, Sa , 33 , 47, Recommandé pir M. Nys- trom pour enlever aux eaux-de^vie de grains leur goût empyreumatique , 38^. Manière dont il agit sur lacmatière noire de l'orme, XXI, 4^ , 45. Affoi* bli avec de l'eau, mêlé a Pacide nitrique ctlineige, rrfroidi à ao° prodoit un froid de 40" , XXIII, i45; Forme unsel triple avecl'animoniaque et l'acide mo»

B4

lybdiqne , voy. acide molybdique. EnflâBime IM' cool phosphore^ voyez phosphore. Est le meilleur réactifpour séparer la chaux delà magnéaie^XX VIII, igC). Une partie de cet acide mêlée à trois parties de neige à 7 degrés au-dessous de zéro donne 26 de grés— o de refroidissement^ XXIX^ a8i. Tentati- ves infructuenses du cit. Van Mons pour l'ozigémer, XXX, 207.

»- sulfurique du commerce. Moyen de «'assurer de la présence de l'acide nitrique dans cet acide , XII , 68. Procédé pour le purifier, XXX, yj,

•** sulfurique concentré mêlé nu muriate sur-oxîgéné de potasse ; effet qu'il produit sur les corps com- bustibles , XXI , a36. Action qu'il exerce sur les matières végétales sèches, XXIII ^ 187. Manière dont le cit. BerthoUct détermine la cause de la sé- paration du carbone de ces matières par cet acide , 188^ 189. Cause de cette 'séparation selon Us cit. Fourcroy et Vauqueliu,. 189, 190, 191. L'acide détermine le changement d'équilibre entre les prin- cipes de la substance végétale en raison de son affi- nité disposante pour l'eau , 193 , 19?. Formule sim- ple pour exprimer le résultat chimique, 196. Con- ditions nécessaires pour qu'il ait lieu, 195, 196. Dans quel cas l'action est^ûUe entrb une matière végétale et l'acide sulfurique ^ 196. Dans qiiel rap- port son affinité pour l'eau décroît , 197. Cas l'action de cet acide sur les matières végétales se complique, 197 , 1^8. il se ibrme de l'acide sul- fureux, 198, 199. Action de l'acide sulfurique con- centré sur les substances animales; formation qui accompagne celle de l'eau dans cette civconstance ^

besMatiIsrs». àS

199. Moyen de parer à son énergie désorgâiiisatrice lorsqu'on en a dans l'estoniach , 200. 6on action sur Palcool dans la forma lion de l'élher^ !io4 , ao8 , ^ti, ai5, ai4. Ne soaffre aucune décomposition dans k formation de l'éther à froid, 909, 21 3. V dé-* temine la formation de Teau, action inverse de celle qu^il exerce sur le soufre et les niélairz , aog. Est décomposé dans l'opération à l'aide de la cha- leur y et paroit sous l'état d'acide salfarem lorsqu'à la formation > de l'éther succède celle de l'huile doMCe de vin ^ d'eau , d'acide acéteux , 2o5 j ao6 f •213, 2l4.

sulfuriqne oxigéné. Procédé df M. Giobert pour l'obtenir^ XI, 180 et suiv. Moyen de le rendre plus propre aux arts , 181. Sa couleur tant qu'il conserve son excès d'oxigène , 182. L'oxigène lui est enlevé par l'acide muriatiqne ; est décomposé par les nyons solaires, 1 85.. Couleurs végétales qu'ail -dé- truit , 1S5 et suiv. Mêlé avec la teinture snlfuhque d'indigo en détruit ou rehausse la couleur^ selon la proportion du mélange, 187. Surchargé d'oxigè- ne , inconvénient de s'en servir pour le blanchi- ment des toiles, quoiqu'il les blanchisse aussi promp- lement que l'acide muriatique , 189. Peut être em- ployé pour celles destinées à la teinture^ 190. N'est plus susceptible de recevoir une nouvelle partie d'oxigène lorsqu'il lui a été enlevé, soit par les toiles, soit par les estampes qu'il blanchit, 192. Son action sur quelques substances métalliques , 193.

stanique. Procédé de M. Here.nbstadt pour l'obte- nir. Se dissout dans trois parties d'eau distillée. Par la calc'ination il s'en volatilise upe partie qui est

±6 Table GiviRALS

acide ; le résidu qui a perdu sa saveur la reprend ainsi que sa dissolu biiité , par l'expositioa à l'air atmosphérique , VI , 47 , 48. •— tartareux peut se convertir en acide oxalique , IV, ^93. Est le plus géuéraleuient répandu dans les plantes , 293. Passé à Pétat d'acidulé tartareux par l'addition la potasse^ ne décompose point lea sels calcaires minéraux^ V, 94. Décompose une partie des sulfates , nitrate et muriatc de potasse ^ et forme du tartrite acidulé de potasse , io5. Procédé de Kuuse MuUer pour l'obtenir très -facilement, très-pur , VI , 58 , 39. Sa décoloration parfaite «u moyon de la poussière de charbon , par M. Vogler» XII , 223 , XIV , 328. Comparé à l'acide subérique , XXIII, 60. Nouvelle méthode de le piéparer, par M. Zobel , XXVI j 3oo. Sa pesanteur spécifique, XXVIII , II. Le précipité qii'il foxme par son union avec l'oxide d'étain ne décolore pas l'infusion de cochenille ^ XXX , 21.

tungstique. Procédé de M. Tihauski pour l'obtenir, IX y 275. Traité avec le muriate d'étain se laisse en- lever l'oxigène et passe à l'état de régule , XII , 232.

-— de l'urine , n'a , suivant M. Gaertner , que quelques propriétés qui le rappror;hent de l'acide phosphorique ; action des acides, nitrique , muria- tique et snlfurique sur cet acide, XXIV , 171.

urique; nom donné par le citoyen Fourcroy a l'acide qui se trouve dans les calculs urinaires , XXX f 58. Voyez acide lithique.

végétal empireumatique ; ses parties constituantes , IV , 293.

vitriolique, avec le nitre^ est un excellent dis*

bbsBIatixiibs« ay

solvant pour l'argent , sans toucher au cuivre ,

vn , «47.

zcxmiqne, regardé par le citoyen Berthollet comme un produit de la distilla lioa de toutea les subs* lances animales. Il a reconnu cet acide dans le liquide obtenu du gluten , de la farine , de la levure de bierre , des os et des chiffons , XXVI , 86. En séparant cet acide au moyen de la chaux y on obtient du zoonate de chaux. Procédé pour obtenir de l'acide xoonique pur , 87. Contient du carbone 3 san odeur, ses propriétés, 88. M. Tromms- dorff pense qu'il est identique avec l'acide séba- ciqne , XXIX , ^aS.

•-métalliques; tentatives infructueuses pouv convertir le plomb en acide pour obtenir un acide mercuriel^

XXVI , 93.

minérmix ; proportion d'acide qu'ils contiennent , XIV, i54 à ail.

^ végétaux , ont poar base l'hydrogène et le car- bone, II, a35. -— Plusieurs se convertissent eu acide acéteux , TV , i64. Résultats des tentatives infructueuses de M. Lowitz pour les désoxigéner,

XXX, 5.

^ du règne animal. Les quatre bases acidiiiables qui entrent dans la combinaison de la plupart , sont , l'hydrogène , le carboQe , le phosphore et l'azote , n,a35.

AciE&« Opinion des anciens physiciens et des mo- dernes , sur sa composition , VU , 38 et suiv. En quoi il diffère du fer ductile et de la fonte , 29 , 3o. On en distingue trois espèces , XIX , 17. Pro- cédé suivi en Carinthie pour obtenir l'acier natu-

2& Tabi^s GÉNiltAI^r

rcl de la fonte , 2a. Disposition du foyer ^ 20.^ Moyen d'avoir un acier supérieiiT , 27. Î^Toyen pour enlever Tcxcrès. de charbon qu'il contient, 37^ Usage de cet acier ^ 4i. Moyen de connokre à l'épreuve le fer d'avec l'acier , 44^ Di^re du fer pur par la quanti de carbone qu'il contient^ XXIi » 4* M'est pas toujours pur ^ 5r Substance qu'il donne par sa dissolution dans l'acide suif uri que 9 7 j S- Par l'acide sulfureux , 9 ^ 10. Cai:bone qu'il pesd par sa dissolution dans l'acide snlfurique, 8, 10. Donne plus de carbure de fer par l'acide sulfu- reux, 10. N'oiFre aucune trace de manganèse y pas même d'après les procédés de Bergman ; 11 et suiv. , a3 et suiv. Donne du gaz hydrogène par sa dissolution dans l'acide sulfurique étendu d'ean , i3. L'odeur de ce gaz est attribuée au phosphore contenu dans l'acier , qu'il tient en dissolution , 1 %, Moyens proposés par Bergman pour découvrir la présence du phosphore dans le fer et l'acier tentés* infructueusement y 16 , 17. Obtenu par un autre procédé 17. Méthode pour unir au fer l'acier qu'on tire du fer par la fusi(tn , XXIII , 1 46. Matière employée par les faiseurs de limes pour couvrir l'acier avant de le soumettre à la recuisson , XXVII -^ 187. L'urine , suivant l'auteur , doit être préférée à l'eau pour la trempe* Expérience qui détruit l'opinion qu'a l'auteur sur l'action de l'urine dans cette opération 18^. Objet du recuit^ 188. Degré de chaleur nécessaire au recuit des canifs, 189. L*acier est ramené à l'état de fer en le traitant avec l'ozide de fer, soit à la forge, -soit à la cé- * mentalion , XXVIII y 37. Inconvénient de le tenir-

i>ss Matière s. 39

trop longtemps en fusion , 28. Moyen proposé par le citoyen Levavasseur pour remérlier à la trop grande dureté des aciers , XXIX ^ i58.

de cémentation ; manière de le préparer , XIX 5i et suiv. Usage de cet acier , ^o et suivt

fondu , est produit par la fonte de l'acier naturel etderaoîer de cémentation^ XIX, 36. Manière dont cette opéra tipn se pratique à Schiffid , 3j et suiv. Est le plus parfait des aciers et celui qui prend le plus tn^au poli , ^9. Uinvention de cette espèce d'acier fabriquée seulement par les Anglais , ne remonte pas au-delà de lySo. «^ XXVIII, ai. Essais du citoyen Cloue t pour convertir le fer en acier. Autres tentatives , âa. L'acier obtenu par le citoyen Cloue t de six hectogrammes de rognures de doux et quatre de mélange à parties égales de carbonate de chaux et d'argile cuite ; soutient la comparaison de Vacier fondu , anglais , :28 et suiv. 33, 54. Observation à ce sujet, 56. Qualité des rasoirs fabriqués avec cet acier j 35.

Actes de la société d'histoire naturelle de Paris , XV j 2a3.

Adhérence. Définition de ce mot par le ôtoyen Mor* veau , VII , 3i.

Adhésion. Définition de ce mot par le citoyen Mor> veau , VII , Si. Comment son effet est regardé par quelques physiciens , Ss. Expériences sur l'adhésion du verre à plusieurs liquides , 33 et suiv. De la ' pierre calcaire à l'eau et à quelques acides , 34.

AoiPO-ciREusK. Matière huiletlse concrète, séparée du gras , VUI^ 68. M. Smith a trouvé cette ma- tière  Oxfort^ dans un caveau l'on jette des

3o Tablb <;àk&rals

cadavres , XXIII , i36. Moyen qa'il a employé pour transformer de la chair de bœuf en cette matière \ Tacide nitrique opère cette conversion , 137. Tirée des coips humains par l'acide nitrique > se cristallise , celle des quadrupèdes ne cristallise pas. Procédé proposé par Smith pour la pu* rifier^ iSy. O^^^^^i^ sur cette matière, i38. Adularia pini ; son analyse, XII, 67. - du mont Saint Gothard , coule au chalumeau par - le courant du gax oxigène , IX ,^ 100. A beaucoup de rapport avec le feldf^path. Son analyse .XI, ai4 et suiv. Analyse de plusieurs espèces, 216^ 217. Aff iNAGZ ; PafHnage par le feu étoit connu sous le consulat de L. Lentulns etdeP. Vilius , VII , 38. Af- finage et oxidation du métal des cloches par la chaleur et Vair , IX , 3i3 , 32o. Affinités. On en reconnoSt cinq espèces, VII, 4q et suiv. C'est par le moyen des affinités que les molécules colorantes se fixent sur les étofies , IX , i4t , i42 , 144. *— disposantes , XXIII , 193 , i()4. Agaric poivré donne , par I9 distillation une grande

quantité d'ammoniaque , XXII , 220. Agriculture. Quantité de perches quarrées conte- nues dans un arpent mesure de Bloisj^ XV, 298: A quoi lient la médiocre quantité de bled que produit cette mesure, année commune. Moyen d'y remédier , 299 , Soi. Produit pour le proprié- taire , pour le cultivateur , 3i3. AiGUE-HARiNB. .Indication de plusieurs espèces de cette pierre dans les montagnes de Sibérie ; VI , sio. Son analyse , X , ai8.

DssMATxi^aE0. 3i

A1GVILI.B aimantée. Observations faites an Caire sur sa déclinaison^ par les «citoyens Monge et Beau-^ champ , XXIX , i58.

Aia. L'air qui sort des poumons des animaux est moina vicié en liyver qu'en été , III y 2j5. Expériences de M. Ingenliousz pour connoître la quantité de l'air contenu dans l'eau , zy5» Espèces de 'gaz dont en général est composé l'air des chambres des malades. Inconvénient qui résulte de l'exposition des vases remplis d'eau de chaux dans ces chambres. Moyen d'en purifier l'air infect , XXIX , loi , 102.

«- atmosphérique. L'accroissement de son yolume par la chaleur , est d'autant plus dilatable par des quantités de chaleurs égales j qu'il est déjà plus dilaté^ voy. fluides aériformes. Est composé de deux fluides élastiques y II , 23i. Essais journaliers -&ts sur deux sortes d'eau avec l'eudiomètre de M. Fontana , d'un mélange d'une mesure d'air at- mosphérique et une de gaz nitrenx ; résultats de l'absorption , III , 2j5, Cause des différences dans les résultats , 274. En absorbant de l'eau conserve sa transparence ^ Y ^ 3. Sa saturation par l'eau y diminue sa faculté dissolvante j 3. Le point de sa- turation dépend de la température , 4* I^^na quel cas il abandonne l'eau qu'il tient en dissolution y 4 et sniv. Dissout d'autant plus d'^eau qu'il est plus comprimé , 10 et suiv. -^ Devient plus dissoluble dans l'eau lorsqu'il est plus comprimé , 21. Dans quel cas il augmente de Volume , 36. Plus il tient d'eau en dissolution , plus sa pesanteur spécifique diminue ,3j y 4'* Cède une partie de son calorique à l'eau qu'il dissout , 4i. Ce. qu'il çoiltient d'air

Sa TaBLR GÉNÉRALE

vital , d'azote , u6o. Ce qu'il en &ut pour entretenir ^ la. reâpiralion d'un honme pendant une heure , VII y 72« Son affinité pour l'eau , 58 et 5uiv. Son analyse , 5%^ Ses propriétés chimiques , 58. Ses affinités j 6o. Noms des physiciens qui ont le plus contribué à étendre les connoissances relatives a l'air atmosphérique , 6i , 62. Est changé suivant M. Priestley en acide nitreux par l'étincelle élec- trique y i6k^. Pénètre dans le canal intestinal avec les alimens. Changement qu'il éprouve dans le canal alimentaire dans la respiration j dans le con- - tact avec la peau ^ XI ^ i64. Privé de gaz oxigène au moyen de l'amalgame de plomb \y suivant M. Goettling^ brûle le phosphore, XXIII , jj. Ob- servalions'de Léonard de Vinci sur ce fluide, XXIV, i53. Expériences et observations de M. Priestley sur ce fluide ; réponse du citoyen Adel à ces ob- servations , XXVI, 307. Sa pureté moyenne à Vienne , XXVIII , 129. Propriété de l'air atmos- ph('rique artifÎQiel fait par M. Humboldt , i6a, 179. Quantité de gaz nitreux nécessaire pour le changer en azote y 170, Dans les climats tempérés du con> tinent , suivant M. Humboldt n'est pas constamment entre 0.27 ou 0.28 d'oxigène, 173, 174. Proauit des rhumes par le passage rapide de l'atmosphère de l'état humide et tempéré au froid sec , action analogue à celle qu'exerce le.gaz acidemuriatique oxigéné , voy. gaz acide muriatique oxigéné. Opi- nion de Magow sur son usage dans la combustion et la respiration, àur sa diminution et son absorp- tion par CCS deux phénomènes, XXIX, 44, 5j et suiv. Sur les rapports qui existent entre ce fluide

et

nssMATii&BS. S3

«t le nitre , 44. La partie de l'air que cet auteur nomme vital , est selon lui , absorbée par le sang , 45. Sert à Finâammatiôn et à la respira tion^y 48 , 49. Expérieaces au moyeu desquelles il s'^st assuré que Pair privé de ce qu'il nomme sa partie BÎtro-ftérienne , perd son élasticité et n'est plus pro-» pre à entretenir la combustion et la respiration , ôo et suiv. ^ 54 «t suiv. Erreur ' commise par cet auteur en voulant déterminer ce qui arrive à l'air dsns les deux phénomènes de la combustion et de la respiration , So et suiv. Privé de certaines par- ties élastiques ^ l'air est plus contracté^ plus resserré. Expérience de Mayow , pour connoître la manière dont s'opère , dans ia respiration y la séparation des particules nitro-aériennes de l'air ^ 71 et suiv. Essais pour en produire au moyen de l'esprit de nitre et du fer , 75. Procédé relatif à l'examen de l'élasticité de l'air osé par la combustion et la respiration ^ ^^^ 85 et suiv. Ex|>éricnce pour s'assurer si la vapeur produite par l'eprit de nitre et le fer est propre à eutretenir la vie ^ 86 et suiv. Est décomposé par les terres simples^ végétales et argileuses. Le roc ar- gileux des mines de sel gemme ^ 128, i50y i34 j i38. Résultat des expériences de M. Humboldt^ sUr le fluide mis en contact avec l'argile et autres subs- tances^ i3o, i5i y i3a. COMMUN. Moyen d'y reconnoitre les plus petites quantités d'acidecarbonique,III^ 68. Enlève l'acide carbonique à l'eau , 9a. Favorise la réduction de l'oxidede molybdène , IV, j6. Son action sur les étoffes teintes à l'indigo ^ Y ^ 83. Sur la teinture Tome I. C

36 Table Q&vàKAtz

ment dépouilles de cet acide. Ne doivent jani^is être pris coiAme médicamens que lorsqu'ils sont également saturés ^ ^V, 36. Moyen simple pour faire cette saturation, a4, 36. Moyen de séparer la terre quarizeuse des alkalis^ 35. Leur action sur 1rs sulfites alkalins et terreux, XXIY^ 2,5a, a^g. Lotions alkalines proposées ^ontA le FAchitis , XXIX ^ igi. Les alkalis précipitent le mercarede sa dissolution niireuse, XXX, an.

«— ph!ogistiquc. Dissertation sur l'alkali flogistique , X, i5i.

«— caustiques. Ces sels dissous dans l'eau , versés sur des acides de mercure rouges, oranges et jaunes , les font repasser au noir , X, 3i(. Deux livres trois onces six gros d'alkali caustique y à 12 degrés de concentration, et à la chaleur de l'ébulition dissolvent 10 onces 4 gros de laine, et forment une livre 4 onces de savon, XXI, So. Leur utilité dans les analyses et pour rompre l'union des fossiles , XXII, afj, 27. Moyen de les obtenir, a6 , a/. A quelle température on obtient la cristallisation de tapotasse, de la soude. Moyen d'obtenir de l'alcali de la plus grande pureté, a8, 141 et suiv. Précautions à pren- dre dans cette opération, 5o. Leur action sur l'al- cool en interdit l'usage pour les dissoudre, 3i. Le^ cristaux de la potasse varient selon la température on les a obtenus, 3j. Ces cristaux donnent par la fusion une pierre à nautcre très-cdustiqut , 55. On obtient également des cristaux de potasse causti- que , 34. Procédé du cit. Bouillon- Lagrange pour obtenir l'alkali caustique et la potasse fondue^ 167 «1 suiv*

fixes, décomposent le moYybdate de pTomb , yoj. Bolybdatc de plomb. Observations sur leur décom- position, qui confirment les expériennes de M. veux Mon5,XXIV, 168.

fixes caustiques^ dissolvent Poxide de plomb , I , âa.

*- pars , employés ddns le feutrage des étoffes de laine, les dissout , XXI , 28.

Alcaraxas d'Espagne. Voyez trucbes rafiraîchis- santes. «

ÂLCEA purp. Lînn. La teinture de ses fleurs est un ex- cellent réactif pour les acides et les alkalis, VI, 48.

Alcool > II , 258. Dissout le sulfate de soude sans pro- duction de froid ni de chaleur, Voy. sulfate de sou- de. Son action sur la garance, IV, i48. Procédé pour l'extraire du vinaigre, X , 217. Son action sur la matière noire de l'orme, XXI, 44^ 4^« ^^^ com- posé, suivant M. Goettling, de base de la lumière, d'hydrogène , d'une petite portion de carbone et d'acide végétal incomplet, XXIII, 81. Combiné avec l'acide sulfurique concentré , produit de l'é- ther , de l'eau , de l'huile dou-'^e de vin , de l'acide acéfeox, du gaz acide carl)onique , ao4> ao5, aoG^ La nature de ces produits varie suivant les degrés de chaleur, an, ai3. Peut être complettemcnt chan- gé en éther et acide végétal par cet acide, ao8« A quel degré de température il entre en ébulilion , 110. Se convertit en eau , en acide carbonique et carbone, en passant a travers un tuyau de porce- laine rougi au feu , a». £n qiioi il diffère de l'éthcr, 2ti5. Dissout le phosphore avec divers phénomènes. . Yoy. phosphore. Son action sur les sulfites alkalins

Ç 3

88 Ta^lb <»iyfiiiA. ls

et terreux I XXIV , 271. Ne se solidifie point à la même température que Péther , XXIX , 2HQ. S'en- flamme par le moyen des acides nitrique et sulfuri- que, 327. Entre dans la composition du sirop de Belet) XXX y 170. N'est point, suivant M. Fabroni, le produit de la fermentation vineuse ; méthode par laquelle il s^én est assuré ^ 22 j. Sa formation, selon cet auteur 1 est déterminée par la chaleur dans Fopératiun de la distillation, aa3. Est décomposé par l'action de la'chalenret des métaux, 3a2 et euiv. Cause de la différence dans la quantité de car^ bone obtenue par sa décomposition, de celle qu'il doit contenir, suivant Ldvoisier, 329.

«— muriatique. Moyen de l'obtenir de l'alcool et du muriate de fer, XII, 170.

►—phosphore. Voyez phosphore^

Alcoolomètre. Observations sur cet instrument , XXI, 110.

Alliage. Gmelin combine le plomb avec le zinc en diverses proportions , et conclut que le zinc s'allie au plomb et lui donne plus d'éclat et de ductilité que l'antimoine, IX, g5, 97.

^-artificiel de cuivre et d'étain, 307. Esrpérienceê propres à déterminer dans quelle proportion il con-* vient d'allier le métal des cloches au cuivre pour qu'il devienne ductile, 334, 336. 80 parties de cuivre et ao de métal de cloche forment un alliage ductile au laminoir, susceptible d'être frappé en monuoie , 336. Moyen de déterminer la pesanteur spécifique mathématique d'un alliage à parties éga- les de plomb et d'étain , XXVII , 101 , 10a et suiv.

Aloes succotrin. Découverte d'une couleur pourpre-

besMatxIrss. 39

tiolet dans les feuilles de cette p)ante , par M. Fa- faroni et le citoyen Guiton> XXV , 299, 3oi. Ac"- tion des acides , des alkalis^ du gaz oxigène et de l'air sur le suc de ces feuilles^- 3oi ^ 3o3. Ses pro- priétés , 3oi, 3o2. ÀLUX me. A la propriété d'attirer les parties colorantes des substances propres a la teinture. Voyez oxide de/er. Sa dissolution par la potasse ou la s^ude peut être eosployée dans la teinture des étoffes qui pro- viennent du règne végétal , VII , 34o. Opinion de Lavoisier sur la nature de cette terre, X, 267 et sniv. Seule y est ii^usible au feu le plus fort. Ne de- vient fusible que par son mélange avec quelcfucs terres dans une certaine prvportion, XV , 5. Sans mélange se pétrit facilement , 6. On distingue^cpt états dans sa combinaison avec l'aride sulfurique uni en même temps a d'autres bases, XXII, ^y/ et suiv. S'unit difficilement à Facide camphorique, XXVII, 34. Sa pesanteur spécifique , XXVIII , 11. En quoi elle diffère du zinc, 190. Précipitée de ses di^ol-- vans par les alkalis fixes caustiques, est redissoute par eux en totalité. En contact avec la magnésie ,. action qu'exercent la potasse et la soude sur cette terre, 191. Forme avec l'acide malique un sel pres- que insoluble , 19a. Paroît jouir du privilège ex- clusif d'attérer, de former et de favoriser des com - binaisons avec plusieurs autres substances de son genre , aoa. Favorise et facilite l'union et la disso- lution de la silice dans l'acide murialique, !2o4. Koyen de la dégager promptemcnt de toute autre substance , 199. Décompose l'air atmosphérique ,

C4

TABLBGENiaALB

XXIX,, 137. Sèche , n*attaque point ce Buide. «- gèreraent humectée met à nu Pazote, i38. Sespro- priéléa diatinctives, XXX , 81, Se trouve quelque- fois pure et isolée dans la nature. Réunie avec la iihce dans les topazes, ^5. Eatre avec la silice et la chaux dans la composition du grenat. Avec ^eadenx dernières et la gludne dans Témeraude et le beril . 85. '

Alun. Combinaison directe de &t& principes, III, 46. Est un sulfate d'alumine, 47. Fait en grand dans la chambre à brûler. le soufre, 62. Ne peut être porté é Pétat de cristal par l'addition d'argile, comme l'a cru Bergman, 5?>. L'alkali est nécessaire poursatu- rer l'excès d'acide ^ 53. Circonstances qui font va- rier la formo^de ses cristaux , XIV, 149. Procédés cle MMt Kirwan et Wenzel pour le décomposer , a55, 2,6% etsuiv. Proportions des élémens de loo parties d'alun cristallisé , 25; et suiv. Influence et action de la potasse et de l'ammoniac dans sa fabri- œtlon, XXII, a6i et suiv. 274. Son analyse, 266* Résultat, 2,^j. Moyen de connoîlro si on a employé la potasse ou l'ammoniac dans sa formation, 267, î68. Sa précipitation , 26c). Ce qui empêche sa cris- tallisation, 271 c-t suiv. L'alumine ne peut la fevo- riser, 273. Nom et description des quatre espèces connues dans le commerce, 280. Comme elles se comportent au feu, 282. Leur dissolution dans l'eau, 283^ 284. Leurs précipités, 285, 286. Résultat do Pévaporation des résidus,* 287, 288. Sel obtenu par Li sublimation de ces résidus , 287 , 288. Essais pour le former; résultat , iSy, 290. Cristaux d'alun; moyen d'en obtenir prompienient, 293. Sonusag©

DES Matières. 4i

- dans les arts, 296. Le principe colorant de Paloa do Levant attribué àl'oxide de fer , 284. Sul&te da potasse substitué à la potasse , par le cit. Chapfal , pour faire cristalliser l'alun de sa fabrique , XXIII, aa3. Sa véritable nature découverte par le citoyen DeacroisiUes ^ XXV, 107. Moyen indiqué pour ju- ^er de ses effets dans la teinture sur coton , XXVI, a55. Situation des couches du schiste aluniineux

, des mines d'alun que l'on exploite à Flone , dépar- tement de FOnrthe. Toit des couches. Manière d'ex- traire le schiste, XXIX, 248, 249. Le schiste doit être exposé à l'action de l'air et de l'eau avant d'être- travaillé , a5o. Procédé du grillage «du minéral , %5i et suiv. Procédés du lessivage du minéral^ zS5. De l'évaporation des lessives, 257. Durée de Péva- poration , 269. Cinq ou six jours de séjour de la li- queur dans les cuvettes suffisent pour sa cristallisa- lion, slGo, Le sel à cet état contient du sul&te de fer ^ a6o et suiv. Procédé du rafinage de ce sel ^ 260. Procédé ingénieux pour empêcher l'écoulement do la liqueur- qui quelquefois fuit par les jointures dçs vaisseaux, a6i. Caractères aux- quels on reconnoît si la cuite a été bien faite. Temps nécessaire à la liqueur du rafinage pour cristalliser , 263. Manière de faire les chaudières de plomb, 264.

Amalgamation. Méthode employée dans les mines d'or d'(Bdelfors pour cette opération, XXVII, igo. Opération du grillage de lamine avec le sel, igi 19a , 193.

AxALCAMB d'argent, mêlé avec celui de platine, s'y unit très-bien, XXYIII , 86.

4a TkBttctviKxti

»— de fer* L'union du fer au mercure s'obdeat par l'intermède de l'alun. Description de ce procédé exécuté avec succèa. par M. Yoges , VI, 3g, 4^'"

*-« de platine. Manière dont M. Hichter explique l'effet produit par un mélange de nilro<muriate de pla- tine et de mercure, XXVIII . ao6.

Ambre gris trouvé dans Fintestin d'une baleine ^ IX , 5o4. Grosseur des morceaux que l'on trouve sur le% côtes inférieures de l'ile de Gorée ^ les nègres s*en servent pour cal&ter leurs pirogues : ils assurent que c'est l'excrément d'un amphibie , XVUI^ 271.

Amea. Substance nouvelle de couleur jaune, obtenu* de la soie , au moyen de l'acide nitrique, par le cit. Welter , XXlX , 3o4. A été trouvé par le mémo auteur dans la chair de bœiif, combinée avec une au- tre nouvelle substance , 3o4. L'éponge traitée de la même manière que la chair de bœuf, lui a offert cette dernière substance , 3o5.

Ahxanthe. Son analyse; proportions de ses parties composantes, XXVIII,'aoi. Difiere peu de l'asberste. Ne contient point de spath pesant, ainsi que Berg- man l'a azmoncé , aoi.

Amidon. Son utilité dans la composition du mordant pour la teinture , avec la garance, IV , 116. Son effet dans le bouillon de garance , i44.

Ammoniaque. Son action sur les oxides métalliques^ II, 219 et suiv. XXX , ao. Moyen d'en former par la combinaison de l'hydrogène et de l'aiote, 264, â65 .et suiv. Selon Keir l'air vital et l'hydrogène entrent dans sa composition , III , 107. Produit du gaz nï^ treux en passant sur du manganèse à l'état d'oxide.

'x>£sMatixre8. 4S

Voy. gaz nitreuz. Ne décompose pas entièrement le sulfate de 'magnésie^ lY, ai a. Conditions dans lesquelles elle précipite le sulfate de magnésie à la température ds lo^ ^ 215. Ne décompose pas entiè* rement le nitrate et le muriate de magnésie ^ aiÔ , 331. Se décompose en partie en précipitant les oxides de mercure , et rapprocLe ceux-ci de l'état métallique , VI , a^S y S94. Forme du gaz nitreuz en passant dans un canon de fusil rouge, sur do l'oxide de manganèse y 294 , agS; La même expé- rience avec un tube de pbrcelaine 9 donné beau- coup de nitrate d'ammoniac; il se forme dans ce cas de l'acide nitrique y 2^4, 295. Forme de l'acide nitrique étant traitée avec un oxide de plomb , 394> 395. Produit aussi de l'acide nitrique avec le sullate de mercure 3 circonstances et phénomènes de cette opération y 396 y 397. En produit plus sensiblement avec l'oxide précipité du sublimé corrosif^ 398. Est formée en décomposant l'acide nitrique par des corps très-avides d'oxigène. Se décompose au con- traire par des corps très*oxigénés , 998^ 399. Se dé- compose avec différens phénomènes sur divers oxi^ des métalliques^ 399. Enlève l'oxigène à l'oxide de naercure ; phénomènes qui accompagnent cette action y X , âii , 'S\é^, Manière dont elle agît sur le suUate de mercure neutre qu'elle ne décompose qu'en partie , et avec lequel elle forme le sel triple sulfate ammoniaço-mercuriel y 3i3. Dans sa dccom- poaitioii^par les oxides métalliques qu'elle décom- pose y son hydrogène se porte sur l'oxigène des oxides , et forme de l'eau y 3(4 1 3i5. Effets qu'elle produit stir l'oxide de mercure blanc. Sur le sulfate

44 Ta BLE «fsHiKAlV*

de merctire neutre , sec et solide, 3i4 9 3i5, 5i6« Son action sur le sulfate acide de metcure. Le sul-- fate jaune du même âiétal , 32ia , 3'i3. Enlève aux cendres bleues le cuivre qu'elles contiennent, XIII, ôi. £n décomposant les nitrate et muriate de mer- cure, forme avec ces èels les sels triples , nitrate ammoniaco-mercuriel, avec excès d'oxide et d'am- moniac , et muriate ammoniaco-mercuriel | XIV , S7 , 44 , 46 , 49. Est formée , suivant le cit. Berthol- let , de six parties d'azote et une d'hydrogène , XXII ,97. Mêlée en proportions inégales avec la neige ou la glace pîlée, le nitrate et le muriate de soude j produit du froid , voy, froid artificiel. Forme un sel triple apvec les acides molybdique et sulfuri- que , voy. acide molybdique. Forme un précipité de couleur bleue dans les dissolutions, du cobalt mé- tallique obtenu pur par le procédé de Liampadius , XXVI ^ 91. Nouveaux faits annoncés sur sa conver- sion en acide nitrique , 289. Sa fabrication en An- gleterre , 297. Plongée liquide dans un mélange de muriate de chaux et de neige refroidi à 54>o , se «. cristallise et perd une grande partie de son odeur ,

XXIX ^ !i8 1 . Farcit se cristalliser au même degré que le mercure , 282. 'Procédé pour la préparer avant de l'employer pour l'analyse des pierres ,

XXX f 76. Prend une couleur bleue particulière en dissolvant l'oxide de Nikel^ 98.

Analogie de nos alimens avec n^os corps. Analogie des substances alimentaires entr'elles , T^ti i%*

Ananas; les îles de Bahama en fournissent une grande quantité , XXV , 32. Contiennent un suc extrê- mement gommeux , fort acide , qui rougit la tein-

2>X5 MATlàxBA. 4^

tnre de tournesol , 3a. Ce sucre offre a l'examen la préseuce de l'acide citrique et de l'acide ma- lique y 34 et suiv.

ÂiriMAi.iSATiON des matières animales ; comment et s'opère cette conversion ^ XIV , ai 7.

ÂKiMAUx , sont attaquéi d'une £èvre inflammatoire en rebpirant du gaz oxigène y yoy. gaz oxigène. A sang chaud. Leur température est en propor- tion de la capacité de leurs poumons > V , a6o. Elle augmente par la respiration^ 260. Ce qui à lieu pendant cette opétation y 260 , a6i. D'où ils tirent les matériaux dont ils sont formés , XIV , 216. Mort de plusieurs animaux domestiques pour •voir avalé du phosphore , XXVII , 87. Suffoqués dans l'air £xe. Le cœur pera sa force irritable et sa contra«tibilité ^ XXVIII , ^^S. Absorbent y en respirant certaines particules vitales e\ élastiques dr l'air y XXIX > 57 et suiv.

AjfKALFs de chimie de Crall (extrait des), VIIÏ ^ 519, ^VIII, g8. Du citoyen Brugnatelli , XXIX ,91.

AvNONCEfi d'ouvrages. Extraits des Annales de Crell , IX, lOQ, 2i5. De divers ouvrages chimiques pu- blie» en Allemagne , XV, 101 à 110. Macqueris, Chemisches , Wertetbuck , etc. Dictionnaire de Hfacquer , par M. Léhonardi , XVI. De l'histoire des champignons de la France, par Bulliard, 329. De livres nouveaux, XVII >. 221. Ouvrages sur lesloix et modifications du calorique , XVIII , 110. Sur la chimie , la minéralogie , etc., qui ont paru en Allemagne , XVIII , 221 , 32a. «

•^ du premier volume des élément de minéralogltt d^ M. Kir\vaD> XXIII , 102.

46 Table G^NEiiALs

•—d'un journal universel de chimie , XXVIII, loS» Articles que comprendra ce journal , 109 et suiv. Prix de l'abonnement, lia. De l'essai d'un rap— procliement entre les théories du phlogistique ei de l'oxigène , par M-. Léhonardi ^ XXX , ai 5.

Antimoine donne de la dureté au plomb sans lui rien ôter de ses autres propriétés , VIII , 3ao. Son oxidation , XI , 36. Sa combinaison avec le man- ganèse , voy. manganèse. Le régule, d'antimoine conserve son éclat métallique dans un endroit sec , s'oxigène a l'humidité , XXYI , 85. Sa pesanteur spécifique et son volume spécifique , XXVII , ]o4. Est compté parmi les médicamens les plus précieux , XXVIII y 23o. N'a qu'une action foâ- ble ou nulle sur les animaux dans son état mé- tallique , passe à la nature d'irrilant» de purgatif , d'émétique > suivant ^a proportion d'oxigène qu'il contient y 243. Son action ^ur la partie colorante végétale , XXX , 191.

Apparbii. destiné à préparer l'acide muriatique oxi- gêné y II y 309. '

- de M. Walt. Sa description, son usage (note), III, 172, '

rcfrigératoire. Correction proposée dans la cons- truction de cet appareil , XXIII > 82.

du citoyen Wclther pour s'iturer la potasse ou la soude. Sa description, XXVII, 53 et suiy.

imaginé par M. Brugnatclli ,pour imprégner les ^quides d'acide carbonique. Correction essentielle proposée à cet appareil , XXIX , 17 S , 176.

•— Dessin et explication de l'appareil pour appliquer les gaz sur les plaies , XXIX j 3o5.

DBsMATlà&SS. 47

iM nécessaire à la manipulation des fluîâea perma- sens j VII > 49 ^ 5o. Imaginé par Woulfe. Usage do ces appareils , XXI , 3i6. Description de l'appareil le plua propre à se procurer des gaz en al^on- dance^ XXII , a 12.

^- nouveaux ou perfectionnés de la fondation teylé- Tienne , XXX , 3ia. Four la formark)n de l'acide phosphoriqne par la combustion du phosphore > 5i5. Pour prouver que 'l'acide carbonique est le résultat de la combustion du carbone dans le gaz oxigène ,Zij, Four la combustion des huiles j 3 19. Four la décomposition de l'alcool par l'action de k chaleur et des métaux^ 32a. Four l'oxidation du mercure , 53o. Four la combustion du fer dans le gaz oxigène à la manière de M. Ingenhouzs , 33i; Four la vaporisation de l'eau ^ 333.

ApiR.ES y m , 'jaj et suiv.

ÂnîLUH. Prétendu métal extrait do l'alumine^ par Tondi Jiawsld, IX , 5i ^ 62.

Arbustes. Espèces qui donnent le plus de cendre et de salin y XIX ^ 160. Époque de la récolte, 188. Manière de les brûler ^ 1 90,

Arc du méridien. Opération au moyen de laquelle on en détermine la grandeur , XX , 286.

Arc-em-ciel. Conditions essentielles à sa formation, V,34.

Ardoise, contient du carbone. Mise en contact avec Voxigène de l'atmosphère , exhale de l'acide carbo- nique, XXIX, i3o, i3i. Aréomètre. Selon une notice de l'encyclopédie mé- thodique, il fut inventé par Hypathie , fille do Théon 9 qui vivoit vers la fin du quatrième siècle ,

48 TABLEaÉir£RAX.S

XXVII, ii5« Sa description par Rhemnlus^ qui vivoit trois siècles avant Hypathie et à qui l'auteur de cet article en attribue l'invention , d'après les ouvrages qui restent de lui, ii4 et suiv.

•—è échelle, XXI, 107. Leur usage, 108. Observa- tions du xrit. Achette , sur les aréomètres, XXIV , 333. Calcul des pesanteurs spécifiques indiquées par celui de Baume , 335. Leur perfectionnement , par Galtey , XXVI , ag 1 .

ARÉOMéTRiE OU l'art de mesurer la densité des corps , XXVI, 3. Nom inexact en ce qu'il n'indique que l'art de prendre la densité des liquides. Dénomina- lionproposée parle cit. Hassenfratz pour mesure de la pesanteur. De la densité et de la pescnteur rela<- tive des volumes égaux, 7. L'ean distillée est la base de comparaison à laquelle on rapporte le poids des volumes des difFérens corps, 7, température à la* quelle on rapporte toutes les opérations aréométri'- ques, 8. Raison quia déterminé l'adoption du nom- bre fictif, 9. Avantage que procure Pusage des nou- veaux poids français dans cette opération, 10. Mé- thodes employées et instrumens dont on se sert pour peser les corps sous les trois états différens ils se présentent dans la nature, 12, i4 , i5 , 16. Tableau des poids d'eau distillée à zéro de tempé- rature ^18. Ljç pèse-solide sert ainsi que son nom l'indique , à prendre la pesanteur spécifique d'un solide. ïi'instrument le plus propre pour obtenir ce résultat, est l'aréomètre de Nicolson, 21. Manière de s'en servir. Cet instrument a été corrigé par le cit. Guiton , qui en a présenté un nouveau sous le nom de gravimetre , aa. Description de Taréomètrc

de

de Rarnsden , a3. Perfectionneinexit fait aux ba- lances romaines, par le cit. Hassenfratz, appliqué par le même au trébuchet de Rarnsden , aS. Avan* tage qo'a cet instrument sur les aréomètres connus , 9!^ Nom qui convient le mieux au pèse-liquide. Description de trois espèces, XXVI, i3u, i33. Manières des physiciens pour déterminer les pointa extrêmes de la tige, iS4, i35. Moyen employé parle cit.. Brissou , i36, 137. Méthode du citoyen Hassenfratz pour en graduer le tube, 139 et suiv. Condition essentielle dans la construction de cet instrument, i44. Kécessité d'avoir deux liquides dont les pesanteurs spécifiques soient connues, i45. Moyen d'obtenir cette densité constante, i45 et saiv. Procédé pour graduer le tube, 147. Avantage qu'on peut retirer du trébuchet de Ramsden , com- me aréomètre de transport^ iSl et suiv. Principes ^es physiciens sur la pesanteur des corps, 188. Manière dont ils expliquent la suspension des feuil- les d'or et d'argent et de l'aiguille sur l'egu, 189. Expérienccsdu cit. Hassenfratz qui lui prouvent que la pesanteur spécifique des corj)s est en raison do leur volume, 190, 201. Cause de cette variation , 194, 201. Cette variation cesse lorsque la pesan- teur spécifique est prise dans une bouteille, '97 ^ 302. On reconnoît proportion d'un sel déterminé dissous dans l'eau , avec l'instrument que le citoyen Hassenfratz nomme salinograde, XXVII, 118. Sali-« nograde qu'il emploie pour le nitrate de potasse ^ 120 et suiv. Résultats de ses expériences, 124> Moyen dont il se sert pour représenter la gradation des pesanteurs spécifiques correspondantes aux pro- Tome I. D

5o Table générale

portions des mélanges d'eau dibtillée et d'eau sala* réc de sel y 1:16 et suiv. Adresse de l'artiste chez lequel se fait le salinograde pour le nitrate de po^ tasse , i4o. Pesanteur spéciiique des sels solublea dans l'eau ^ voyez sels solubles dans l'eau. Réialtats obtenus sur «'^»4 espèces de sels, XXVIII , 282.

Argent oxposé à l'air ^ altération qu'il éprouve « I > 198. Substance qui se forme à sa surface, 199. Cause de cette formation , 199. Moyen d'émailler sur l'argent, IX, :io5, 208. Tiré du cobalt noir de la mine de saphix, au moyen de l'amalgame de Bom , XI , 324. Pesanteur spécifique et volume spécifique de l'argent fondu. De l'argent tr^ivaillé , XXVII, io4. Procédé pour faire cristalliser ce mé- tal après l'avoir précipité de sa dissolution par le moyen de la soude , en se servant de phosphore * fondu dans l'huile de Ihcrébentine , et exposant en- suite le mélange au feu d'un fourneau , XXVIII , 87. Remarques sur cet objet, 88. Cristallisation qui figure des arbres complets , ayant troncs , branches et feuilles , obtenue en précipitajit l'or par l'étain , et l'argent par le cuivre , 89. On l'oxide en le tri- turant dans un mortier avec de la salive , 36a.

d'Allemagne , se comporte comme l'étain avec lea réactifs, XXIV, 167.

«— blanc du hortz , composé d'antimoine , de cuivre , de fer, de ]plomb, d'argent et de soufre, IX , 98,

M- «— fulminant, détonne par le plus léger contact, XXI,

Argile. Action du feu sur l'argile pure et surl'argil« mélangée avec la tvrre calcaire, IX , 11 5. Qualité

D X s M A T I È a E s. 5i

d'eue argile propre aux verreries, 117. Essai de- Parole relativement à sa qualité refra c faire , 218. Essai relativement à sa ténacité ,119. Coinbinaisoa terreuse qui doit sa couleur à la décomposition des substances végétales et métalliques ^ XIV, iSa. Se trouva communément dans les terreins modernes secondaires. Quelquefois dans les terreins primi- tifs^ i35. Les terres argileuses qu'on emploie pour la Ëibrication des pots , briques , fayances et porce- laines ne doivent point contenir d'oxides métalliques, i36. lieux l'on trouve des argiles blanches ou colorées par des substances végétales ou bitumi- neuses, iS; et suiv. Analyse de trois argiles, par Bergman. Leurs parties constituantes, i4o et suiv. Analyse de plusieurs argiles, par le cil. HaseenfraU, i42 et suiv. Les oxides métalliques, en colorant les argiles les rendent très-fusibles et peu propres à la construction des briques à four, XV, 6. Qualités nécessaires aux argiles destinées a cette construc- tion , 6 , 7 , 20 , 21. Celles de Montereau et de Se- novert doivent être préférées, 8 , i4, i5. Prépara- tion de l'argile pour la fabrication des pots, 14. Moyen d'empêcher que les pots ne se fendent et n'^roovent plus de retiait , soit t-n se séchant , soit en les exposant a la fusion du verre, 16, «17* et iuiv. Pourquoi les briques ne doivent contenir quo le moins de sable possible, ao. L'argilç grise con- tient du carbone , mise en contact avec l'oxigène de l'atmosphère, exhale de l'acide carbonique. A la acuité d'exciter des contractions galvaniques, XXIX, i3o, i3i. Absorbe l'oxigène de l'air atmosphérique, i3i , 1^2. Tableau des eipériences de M Huniboldt^

D 2

02 Table générale

6ur l'argile des mines de sel genHoe avec Pair at«- mosphérique, i33> i34*

blanche de la province de JBurgos^ peut être em- ployée à la faïance ou à terrer le sucre , XXVIII , 5ii.

feriugineusc j on en voit de grandes niasses au pe« titCip rouge, XVlII,a6a.

Armes anciennes formées d'une composition de cuivre et d'élain alliés par la fusion , sans aucun intermède dans la proportion de lo à i4 pour cent, XXIII , i5o.

Arôme des chimistes français j est l'esprit recteur de Boerhaave , ou le principe de l'odeur des végétaux, XXVI , a3a. Comment cet esprit recteur a été con- sidéré par plusieurs chimistes^ a33. Il n'existe point 9 suivant le cit. Fourcroy , de principe parti- culier qu'on puisse regarder comme esprit recteur ou arôme ; et l'odeur est inhérente à tous les autres matériaux immédiats des végétaux , ^7, a5o. Ma- nière dont ce savant établit l'histoire chimique de l'odeur , n^j et suiv. Ebauche de classification des corps odorans , relative à la nature de la matière même qui porte l'action odoriiique sur les nerfs ol- factifs , divisée en cinq genres ; caractères de cha* cu]} de ces genres , 34^ ^ ^^<>* L'opinion ae M. 2<iicholson sur l'arôme, ou principe odorant , s'ac- corde avec ce qu'en dit le cit. Fourcroy , d'après ses expériences , XXVII, ai g.

Arroches. Plante qui donne des sels alkalis , XVIII , i6ô , aoi.

Arsêniate de potasse, donne un mordant pour la teinture avec la garance , IV # lâi. Rend les sels

mëtallîques et terreux propres à être de bons mor- dans, aSg. Sa pesanteur spécifique, XXVIII, i5. ixsExxc. Son effet dans le bouillon de garance, ly , 147. Sa dissolution agit comme l'eau sur la gérance ^ i48« Ses usages dans la verrerie , et moyen de s'en servir , IX , 33/ , a3â. Selon Klaprotk n'en* tre nullement comme partie constituante dans la mine d'argent rouge, ainsi que quelques auteurs Vont avancé, XYIII, 82 , 85. Avec le muriate sur- oxlj^éné dépotasse^ détonne parle choc du marteau, s'enilannne rapidement par le coniact de l'acide salfurique : forme que prend la fumée tjui s'élève , XXI , s37^ N'a qu'une action foible ou nulle sur les animaux dans son état métallique. Passera la na- ture d'irritant^ de corrosif > suivant la proportion d'oxigène qu'il contient, XXVIII, a43. La solution d'acsenic est proposée contre la ions, convulsive r XXIX, 191.

^ phosphore ; on l'obtient en distillant un mélange de régule d'arsenic et de phosphore. Couleur du résida, XIII, ]4o. Procédé par la voie humide. Même résultat. La. distillation de l'oxide d'arsenic STec le phosphore donne de l'acide phosphorique , i4i«.

AsBESTE. Son analyse. Proportions de ses parties com- posantes , XXVIII, aoi. Diffère peu de l'amianthe, 2%u "Ne contient point de spath pesant, ainsi que Bergman l'a annoncé , ao 1 .

Âsbbstoïor; minéral d'un vert tendre , quelquefois jaune; on le trouve, XXII > 83. Sa fusion, 84. Fait effervescence avec l'acide muriatîquc, 85. Subv

D 3

54 Table ^iffiKxvt

stances dont il est composé , 89. Ne difiere pas sen-

siblemeift des asbestes ^ 89 , 90. Assimilation des alimens : se passe cette opéra-'

tion, VI ^ 17a. Influence de l'air dans cette opéra-

lion y 1 73 et suiy. Asthme humide^ soulagé pnr l'usage du gaz oxîgène^

TVfH^.SeCf l'oxigène est dangereux dans cette

maladie , aS. AsTRiNGEff», Leurs usages et théorie de lenrs eflet»

dans les teintures, IX , 147^ i4^* Observation! 6ur

teuTs effets, XII, 3ia. Athenor,XXIV^ 3i5. Atmosphère^ II, a3o, a3i. Correspondance entre

ses ditterentes constitutions et les variations de la

colonne de mercure dans le baromètre. Yoye^

l»aromètre.

Attraction. Observations sur l'attraction de certains corps, XXII, 107. Entre les corps combinés est eu raison inverse de la saturation /XX VIII, a46«

Angustura. Nom d'une écorce nouvellement connue > dont la vertu antiseptique et tonique est, scion Brande , supérieure à quelqaes égards a celle du quinquina, XVU , a 16. Le hrucea arUidjasenterica, cultivé au Jardin des plantes de Paris, provient de la graine de Tarbrisseau qui donne cette écorce , XVI , 236.

AusTRUM. Prétendu métal extrait de la magnésie , f>ar Tondi et Ruprecht , IX, 5i , 5a.

Autruche. Mémoire sur son organisation , XXIX ,

Ï99' AvANTURiNE de Sibérie est , selon BI. Hermann y un

besMatièrss. 55

icKîste micacé. On le trouve en couches de diffé- rentes épaisseurs , XIX , 562.

Atoixe^ donne en brûlant environ o.o3i de son poids de cendre qui est composée de phosphate de chaux et de silice pure^ XXIX , 17. Substances ob- tenues par Taaalyse d'une espèce de scorie vitreuse. Résidu de la combustion de deux meules d'avoine , 18.

Axokge; avec la soude du commerce donne un savon trés-blanCy très-solide. Voy. savon.

Azote « II ^ 239 , u^o. Substances végétales qui en contiennent , III , a54. Second principe composant de l'ammoniaque^ X , 3i5. Est plus abondant dans les substances animales que dans les substances vé- gétales , XI , i63. Sous l'état gazeux ne se combine avec l'oxigène qu'au moyen de l'étincelle électri- que, XX,3ii et suiv. Sa dilatation en dissolvant le phosphore , XXVII , 162. Détermination de son rapport â l'oxigène dans la formation de l'acide ni- treux. Pour la déphlogislication de l'arsenic blanc ^ XXVIIl y 78 et suiv. Moyens pour connoitre sa présence dans le gaz nitreux^ i35 et suiv. M. Hum- boldt suppose que l'azote atmosphérique dans les couches d'air les plus basses > est constamment mêlé d'un peu d'hydrogène^ i45. Nouveau nom que lui donne M. Brugnatelli. Voy. septone.

B.

JJacuette de fusil, XIX ^ 56.

Bambou. Concrétion trouvée dans une de 'ses jointn^- res, soupçonnée être dn tabaslicer , XI , 64«

D4

56 TaBL£ GÉNiRAKt

Baiks d'Abano. Analyse de ces bains, XVl^ 3a5.

de garance , voyez garance.

Barillb f plante cultivée en Espagne y dont Pinciné^ ration fournit l.i soude, XIX ^ aSj. La soude qu'on en retire e^t de première qualité } elle vient d'Ali* cante } est connue dans le commerce sous le nom de bartUe douce , XXVI , 1 78. Nécessité de la cnl- tiver en France^ 179. Est sur-tout employée a la fabrication du verre cristal , du savon blanc , et dans la teinture en coton, 179. Ne peut être rem- placée sans inconvénient dans les opérations de la teinture , 1 79. A été cultivée anciennement avec succès dans le Languedoc aux environs de Fronti- gnan, iSti. Qualités de la soude de barille récoltée par les citoyens Chaptal et Fouget^ depuis 1782 jusqu'à 17B4 , i83. Ces expériences prouvent que cette plante peut être cultivée en France , i85 et suiv.

Barymétrie. Mesure de la pesanteur, voyez aréo* métrie.

Barysométrïsq Mesure de pesanteur relative des vo- lumes égaux. Voy. aréométrie.

Barytb. Expériences qui prouvent l'impossibilité de la réduire a l'état métallique, VIII, 18. Soupçon- née par Cronstedt et Bergman être de nature mé- tallique. Ce qui a donné Heu aux soupçons de ce dernier , X ^ 379. Décompose le muriate de soude > XIX, 110. Moyen de lui enlever la portion de sou- fre qu'elle contient à l'état de sulfure, 111. Soli- dité qu'elle prend dans son extinction, XXI, 283. Sa dissolution, 1 33, ûyS, Sa fusion j 277. Sa cris- taliisation. Acides qui la précipitent. Substances

qu'elle décompose^ 278^ 279. Sa propriété délétère,

278, 27g. Substances qu'elle rend dissolubles^ 278,

279. Est rangée parmi les alkalis j par M. Tromnis» dorfiP, parce qu'elle a quelques caractères coniniiiag avec les sels > XXVI , 120. Sa pesanteur spécifique* lorsqu'elle e^t calcinée ou cristallisée huinide y XX Vni ,11. Légèrement humectée décompose l'air atmosphérique et met l'azote a nu. Sèche n'attaque point co fluide , XXIX , 137 ^ 1 58, 1 39 et suiv. A plusieurs propriétés analogues à celles des aUwi^lis , 270. A l'état caustique irèlée avec la silice ot ex- posée à l'action du f<su , couleur et saveur qu'elle acquiert, 278. A ainsi que la stronliane la facuhé de se combiner a la silice et de la rendre ^luble dans les acides les plus foil^les , 274* Dissout Talu- mine plus abondamment que la slrontiane^ 374^

'275. Dans quelles circonstances cette terre forme avec l'alumine une combinaison insoluble dans l'eau ou dÎBSout la nouvelle combinaison, ^7^$ ^77- Forme avec l'huile d'olive une combinaison qui a l'odeur d'un véritable savon , . 277. En exerçant sur les matières animales les mêmes actions que les alkalis, elle offre un résultat différent, 278. Pourroit servir comme les alkalis à l'analyse des pierres dures j 279. Doit être séparée de la clasae des ferres pour être réume aux alkalis , a8o. Ses propriétés distinctives , XXX , 83. N'a encore été trouvée dans aucune combinaison terreuse,. 85. '

—pure cristallisée. Sa combinaison avec l'acide nitri- que , XXI , i38.

•*>de Leadhills, donne une terre qui ne difiere

58 l^ABLEG^NiRALS

point (le, celle contenue dans le carbonate de 6tron«^ tiane, XXI ^ i42, i43.

Baromètre. Cause de ses varîntîons ^ Y ^ a8 ^ 29 ,

. 36^ 38 ^ 39 , 4o. Son abaissement n'est pas un indice de pluie , 4^.

Basaltb. Le journal de Crell^ de 1789, annonce que l'académie de Berlin a proposé au concours de dé- terminer si la formation des basaltes est due à l'eau ou au feu, VI, 49» Opinion sur sa nature , son ori- gine^ IX , loi. Opinion sur sa formation^ X, iii« Contient, selon M. Humboldt le jeune, des grains métalliques , XI , 3:i5. Description des couches calcaires d'une montagne prèsHirchél, surla Worta^ qui contient un filon fente de basalte , XI V , 99. Co- lonnes basaltiques découvertes sur les sommités de la montagnb de Kausan près Fascdliz. Substances qu'elles renferment, XVIII, 108. Sous quelles for* mes on les trouve en Ecosse, XIX, 556. Figure des fragmens d'un basalte qui contient des coquilles pétrifiées, XX , 384. Prisme basaltique qui a la po- larité magnétique, XXIV, 160. Opinion de M. Ost* mann sur leur formation, XXV, 189.

du comté d'Amtrim , X , 169. Substances minéra- les que l'on trouve parmi ces basaltes , 1 70 et suiv. Basaltes de la carrière de l'Unkèle contiennent des cavités qui renferment de l'eau 1 âii.

- prismatique. Masse régulière de roc qui se trouve a la baie de Funday , dans la nouvelle Ecosse, soup- çonnée être un basalte prismatique , XI , 63. On trouve des prismes de basalte en grande quantité dans les îles qui avoisinent l'ile de Gorée , XVIII r

desMatiJsres. 59

Bauvcs y tiennent le milieu entre les huiles volatiles et

les résines , IV , 206. Baïomnettb. Notice sur cette arme , XIX , 4g. Behjoik , se fond dans le soif chaud , XXIV > 1 1 7. ' Bcxxoi. Propriétés de son écorce , XI ^ 199. Biaru £9t composé^ selon M. Beindhetm, de silice , d'alomine , de chaux et de fer, XXVI, i56. Con- formité ^oe le cit. Hauy a frooTée entre cette pierre et l'cmcraude , i56. Son analyse , par le cit. Vau* qaelin , lÔj et suiv. Contient une nouvelle terre , 159. Différences qui e^cistenl entre ses parties cons- tituantes et celles de Fémeraude qui contient aussi rette nouvelle terre , et ne diffère du béril que par la partie colorante, 168. Ses parties constituantes d'après un nouvel examen > 17a. *— divisés en deux classes ; par M. Hermann. Espèces comprises dans <:hacune de ces classes. Lieux l'on trouve l'aiguë marine en forme de schorl. Pe- santeur spécifique de ces pierres, XIX, 36i , 362. Bette-rave. M. Achard a*tiré do la racine de cette plante un sucre très-blanc et parfaitement pur. Quan- tité qu'il a obtenue, XXX, 299, '600, Ce n'est point , aoivant le cit. van Mous , de l'eApèce nom-^ mée bêta vulgarU , par Linn. , mais de la ùcta vicia da même auteur, 3oi. Bevrrb, varie en saveur, couleur et consistance^ suivant la nourriture des animaux et les saisons ; les fourrages secs produisent du beurre peu coloré y les plantes vertes le rendent d'un beau jaune. Il peut recevoir artificiellement différentes rouleurs.. La partie aromatique des plantes est soluble dan» le beurre. Cet additions font que le beurre se con-

6fr T A B L B » é N E R A' LA

«erve en bon état ^ VI > i85. La rancidité du beufrer n'est pa« causée par le développement d'un acide contenu dans cette substance, 186^ Les différences des beurres tirés de divers animaux sont très*seasi- bks, soit par rapport à la consistance, soit par cap* port à la facilité de se séparer du lait, i<^4> '9^- Beurre du Isk de vache } sa couleur devient plus foncée par le contact de l'air , VU f 1G6. Bien lavé n'est pas aussi agréable au goût que celui qui con- tient quelque portion de fromage et de mucilage , 170. Introduit dans un tube plongé dans l'eau chau- de, changement qu'il éprouVe, 170. Chauffé à une ehaleur forte dans des vaisseaux fermés , donne de l'huile, de l'eau et l'acide scbacique. Opinion quelques chimistes modernes sur la formation de eet acide, 171;. Forme un savon soluUe dans l'eau avec la potasse , 1 73. £st propre a (bire du savon solide, XIX, 297. Nouvelle méthode de le saler en usage en Ecosse, XXII , 3i6.

BÉviiB d'un traducteur , XXV , 1 78.

B&soARDs. Leur structure. Odeur qu'ils répandent au fcu. Substances qui n'agissent point sur le résidu. Dissolution du résidu dans l'acide nitreux , I, 197. Substances qu'ils donnent, traités par l'acide vitrio- lique. Ceux de VIgnuane diffèrent de ceux -de la Vigogne, 198.

Blam c de baleine , ti'cst point dissoluble dans l'alcool froid, VU, 192 Sa lisibilité comparée à celles de la matière blanche des calculs biliaires et de la cire du gras des cadavres ,192.

de craie, ou blanc d'Espagne, XXVI , 34. Manière dont on le prépare à Troyes avec le carbonate do

sesMatiArbs. 6a

diaux on pierre calcaire qui se trouve aux environs de cetle ville, 35, 36. Manière dont se iàçonne la craie de Cavereau près d'Orléans, nonunée grand blanc et petit blanc , 39. Nature de îa pierre que Ton trouve dans les carrières des environs de Meiv- don avec laquelle on fabrique ce blanc ^ 4i. Son analyse avant d'ctre fabi^quée. Substances qu'elle contient, 4^* ^^ fabrication , 43. Analyse de la craie febriquée. Substances qu'elle contient. Qua- lités requises pour la matière du blaac , 49* Usages du bbnc de craie , 5o.

d'œnf ^ est coagulé par l'oxlde de mercure rouge auquel il •enlève l'oxigène^ XXVIII^ ab^.

Blavchimsnt des soies. L'extinction des cocons se fait en les mettant au four pour faire mourir les chrysalides qu'ils renferment î cette opération se nomme foumoyage, XVII, i5'9, Ce que les cocons perdent de leur poids par cette, opération^ 160. Ayanlage que procure l'usage de l'alcool pour l'<ex- tinclion des cocons > 162^ i6d. Quantité d'alcool né- cessaire pour5oo livres de cqgins, i63. Vapeurs qu'exhale l'alcool pendant la macération , i64. Vais- seaux les plus propres a l'opération, 166. Observa- tions sur la filature de la soie , 1 68. Préparation de h soie avant de la soumettre au blonchiment, 170» iDescripdon de 4'âp'pareil propre au blanchiment , 172. De quel vaisseau on doit se servir 173. Frocé* pour blanchir les sofes jaunes sans les décruer, 80 moyen de l'alcool et de l'acide muria tique, 174^ 175. Lavage de la soie, 177. Tentative pour blan- chir la soie en la laissant séjourner dans un puits. Résultat j 1 79. Couleur que l'alcool pur sans acide

62 TaBLS oiKÂRALB

tire de la soie jaune. Couleur avec l'acide muriati* que, 181. Description d'une machine propre à sé- cher et à lustrer la soie avant d'être décruée, ]84. Manière de s'en servir ^ 187. Expériences sur les soies de Nankin , pour savoir avec quelles substan** ces elles sont blanclites, 190 et suiv. Moyen da rétablir en alcool propre celui qui a servi au blan- chiment, 193^ 1 95. luconvéniens qui résultent de l'usage de l'acide muria tique du commerce dans le blanchiment des soies, ig8 et suiv.

«-^ des toiles et fils; il est utile de terminer le blsn-> chiment pai l'acide murialique oxîgéné , en expo- .sant les toiles et fils de lin ou de chanvre sur le pré pendant quelques jours : lo coton n'a pas besoin de

cetle opération^ VI, 2o4 , 2o5. Perfectionnement au blanchiment, par M. Descroisiles; il supprime entièrement le bois pour les récipiens et autres voies contenant l'acide. Le coton blanchi pac le procédé de Bcrtholltt prend mieux le rouge d'Andrinople et à moins de frais. Les toiles teintes ou imprimées se déteignent eflllèrement dans la lessive berthol- « liennei 206, 207. La toile qui a été immergée dans l'acide sulfurique afFqibli à la fin du blanchiment , doit cire plongée enâulle dans une légère lessive (;aUdliquc, médiucrtnient cliaude 7 207. L'eau très* chargée d'acide muria tique oxigéné doit être agitée dans l'eau que l'on y ajoute, afin de faire un mé^ lange homogène, 208. Il n'y auroit pas de profit à entreprendre le blanchimeut des toiles grosses , à moins de savoir extraire la soude qui reste en résidu dans cette opération, 208, 2oij. Il est nuisi- ble de me Ire dans les lessives du blanchiment ^ de

hesMatiIbiies. 63

k chaox en exi^édant de ce qu'il faut pour rendre l'alkali caustique, 216. Le £1 non épuisé de parlies colomntes , quoiqtie blanc en apparence , redevient jaune peu*à-peu; et sur-tout par la chaleur ,218. Les fila jaunes se blanchissent encore moins facile* ment que ceux dont la couleur est d'an brun fa\jve , a34y a35. A lieu à Manchester , VII, a44. Substan- ces alkaiines qu'il convient d'employer pour le blanchiment des toiles de lin, XVIII , 217 et suiv.

Blanchissage des toiles à Beau vais A procédés , VII , 264 et suiv. A Valencieànes : procédé diffère peu décelai en nsage h Beauvais^ 270 et suiv. Bans la Basse Picardie, 273 et suiv.

Blakquettb. Voy. soude.

Ble 17 (teinture) obtenu de la racine de mercurialis perennts , Linn. Fort belle ^ inaltérable parle vi- naigre , l'alun , la lessive concentrée de potasse , VI, 25.

de Montagne ou bleu natifs très-bon pour colorer en bleu la cire à cacheter*; cutnpofiilion proposée par Schuler pour faire cette cire bleue > VI^ 10. Est la raine de cuivre désignée sous le nom de cristaux d'azur, de crysocole. Donne une couleur bien sur périeure aux cendres blcuea , XIII , 48. Cause de sa couleur , 65,

""-de Prusse. Dans quel cas il contient de l'acide phos- phorique^ X, 4^. Sa formation, XI, 3i et suivi Travaux de Macquer sur cette couleur , voy. prus- siate de fer. Dans quel terreiu et dans quel état l'on trouve le bleu de Prusse natif ^ XXI , 147. Clian- gement de couleur qu'il éprouve au feu, est dissous par l«s acides 9 147. Cau:ie do sa couleur, i48.

Q6 T .A B L m G. « N i: R A L fe^

f

^- d'inde oa de campéche. Manière dont il agit sor le sulfate de fer , XV , i35. Ne contenant pas de sel à base terreuse ne pourroit seul servir à feire de l'cucre dont il fonce la couleur , i34 ^ i35.

- 'de femambourg , exposé à l'air et dans des en- droits humides pendant un an ne produit plus, selon M, Yogler que des couleurs ternes ^ XX , '687.

-<» luisant , s'éteint dans le gaz azote et le gaz hy- drogène , l'introduction d'un peu d'oxigène dans le vase fait reconnoître la phosphorescence , XXII , 75. Le même phénomène a lieu sur les animaux phosphoriques , 76. Me cesse point de luire sous l'eau , XXV , i»S8.

phosphoriques , reluisent sous l'eau , sous l'huile et dans le vuide barométrique^ XXIV 1 a 18. Etat de ces bois devenus phosphoriques , 2!i3. Suivant M. Corradori , acquièrent par la putréfaction , le pouvoir d'adirer , absorber et retenir mécanique- ment la lumière^ XXIX , 181.

-^ de prunier de clamas ; communique à la laine vt à la soie une couleur de nanquin , XIX , 371.

•— résineux. Sa dilatation ^ III , 289.

*-# de sapin. Moyen fort simple pour lo colorer eu beau noir j XI , iSy.

Bol d'Arménie analysé par M. Wiegl'îb , contient de la silice , de l'alumine et du fer, XX , 585.

BoLUs. foules faites avec la pelure des fromages de Roquefort, IV, 48.

BoiiATB alcalin de soudé. Remarques et opinions de M. Treffz sur sa nature et ses principes , XXVI # 3oo. Sa pesanteur spécifique , XXVIII > i5.

ti « 4 Mat vk â fe «4 6f

*- de chaux. Sa pesanteur 8pccifiq[ue , XXYIII ^ i5.

*-. de xnagnesio-calcatre» Le citoyen Haùy a observé qae ce s^i s'électrise par la chaleur sans le sccoura du frottement , et prouve que la combinaison des deux électricités y dépend de la figure des cris* taoz y IX ^ 59 à 64»

^* de mercure. Sa pesanteur spécifique , XXVIII , i5.

Bo&AX. Nuit a la réduction de Poxide de molyb- 'dène y IV , 16. Opinion sut sa formation ^ X^ âo4 ^ ao5. Manière dont on prépare en Perse celui da commerce , XVI > 236 ^ XXVI $ 291.

BoRBONSiOM y prétendu métal retiré de la baryte pac Tondy, IX, 5 1 , &2.

fioTAMiQur. Ouvrages nouveaux sur cette science > XXX y :25i. Celui du C. Ventenat offre des rapports avec la physiqae végétale , a5â. Époque de la créa<«> lion des méthodes et systèmes en botanique, Faf ties despUintesquiy servent^de base», i5a, a53. Système de Lînnetls ^ 254. Chnngemens Faits par le dtoyeu Ventenat a la méthode naturelle de Jussieu , 961 et suiv.

BovcHBA à feu. Quantité fabriquée d^ns un raoià XX , 299.

Bovcifi , brulë plus tapidemeht dans le gaz muria» tique Dxigéné que dans l'air atmosphérique ^ TV | «5i.

Bourde on salicotk , Voy. soude.

Bravn spath , nommé par M: de Bofnt cfiaiix ma» gnésiée , XII, i63. Substances qui composent ce fossile. En quoi il di&erê du spath calcaire. 8a description I 164 et suiv. *

E A

7Ô' Ta8^< o if h i k Ah t

' cul trooyé dans le cc^oa d^nn cheval mort âetran** chée«; ea desor^doni âg.SIanièro dont Peau firoitte . cm chaude agit sur la matière det ce calcul réduite en pbudre^ 70 , ju Phénomènes que présente la poudre de cette concrétion , traitée par la. soude ' .purifiée par Palcoof ; jst et auiv. Par Paction de la chaleur avec le contact de l'air , 76. Par Tacide mu-* riatiquei 78. Par. Pacide muriatique osdgéné^ 79, Par. la soude I 81. Action de l'acide muriatique sur la subâtance que Pon obtient de ce calcul par la distillation à feu nu, .82. Substances que Pon en ob-» tient en le distillant avec le charbon, 85. Conjectures Bur la formation de ce calcul y dont les parties com- posantea sent le phosphate de obaux, le phosphate de magnésie et l'eau , 86.

•M musculaire. Il 7 en a de deux sortes. Parties du corps se forment ces concrétions , XVI ^ 88,

»»- pancréatique. Concrétion oalculeuse dont on ne

. conhôit point la nature^ XVI ^ 89.

»-" pihéal. Petites pierres qui se trouvent fréquemment dans la glande pinéale du cerveau humain» Non en** core analysé y XVI, 90.

w-^ pulmonaires. La natures de >.oes concrétions expec« torées par un vieillard est ^ selon Ilœsing, la même que celle de la base des os, XVI , 91^ '

m^ rénal est de même nature que oelui de la vessie. Est formé par le dépôt et la cristallisation de l'acide lithique, XVI, 93. Contient souvent â sa surface et dans ses .cavités des cristaux de phosphate- ammo- niacal et de phosphate de soude, 94.

■M* rénal du cheval. Description du calcul soumis 4 l'ea^amen , XYI, 95. Réduit eu poudre fcit cfFer-

D^JS 8 M A f I i %' B S. ^ jl' 6$**

Calculs failkires. Subilances dont sont Connéeé ces

concrétions , XVI , 66 , voy..perres biliaires.

iLépalîqiies. Concrétions 'dures- et solides qàe l'on troave souvent dans le foie des animaux a la suite des obstroetions , XVI , &j.

•» intestinal du cheval. Par l'analysé > ll'l. Giobert a trouvé qu'il est composé d'acide phosphorique , d'acide suUurique , d'ammoniaque '^ de magnésie d'alamîne, d'oxide de fer et de silice; opinion de M. Giobert sur la formation dès calcula inteslinatix qu'il a analysés, XII , 66^ 70. Trouvé dans l'intestin reclom, XXIII , 120. Composé de -coucHea^piiévi- quesy dont les deux premières contenoient un inles* tin, et le centre une lame de fer , tai. Diasolublo sans effervescence dans les acides sulfurique , ni- trique y muria tique y ia4- Acéteux , 1:25, phospho* rique, 1 28. Est précipité de ces dissolutions par la potasse, I2t5 , 126, 128. La dissolution acéteuse don- ne, avec l'acétite do plomb, dn pliosphate«de plomb, 127. La solution séparée du phosphate de plomb y mêlée avec l'acide inurialique forme avec l'ammo- niaque un sel triple, 127. Substances qu^on en ob- tient par la distillation , 'i 29. - Substances dpnt il éitt eomposé , ' i3o'. Succès qu'on pourroit obtenir de l'acide acéteux employé comme médicament dans cette maladie des chevaux. Opinion sur la formation de ces calculs, i3o, i3i.' Expériences iaites sur ce calcul comparées à celles faites par le citoyen Fonreroy , sur un calcul intestinal, i32 et soiv.

intestinaux. Nom donné a tontes les concrétions qui se forment dans les intestins ou dans des organe» ou viscères autres que les intestins > XVI» 68. Cal*

E'3

Peau bouillante y ia8. Effets que produisent divers réactifs sur la liqueur dans laquelle à bouilli une portion de cette pierre > 129. Effets de l'eau ds chaux sur cette pierre^ i3o et suiv. Effets de l'ai- lali caustique > i32. Sa dissolution dans l'acide ni* trique, i35 et suiv. Action de l'acide muriatique okigèné sur une portion de cette concrétion. Sur une pierre entière 9 1/0 , i47* Phénomènes qu'of* freni ces expériences | i5o. Contient quelques atO'» mes de chaux ^ du phosphate ammoniacal et du phosphate de soude, i65. Est, suivant M. Ingen- housz, un phosphate de chaux qui est dissous et décomposé par le carbonate de potasse^ XXV, 177. Selon M. Péarson ne contient point d'acide lithique, mais une substance inconnue qu'il, 'appelle oxide animal, voy. concrétions urinaires. Est en partie soluble dans l'eau, XXVIII, 52. La partie qui se dissout dans l'eàu est du phosphate acidulé de chaux, 53. La portion non soluble dans l'eau se dissout dans l'acide nitrique , et paroît ne paJE^ contenir de chaux , 55. M. Brugnatelli a observé que la plus grande partie la portion soluble dans Pacide ni- ^ trique , se transforme en acide oxalique , et domie un précipité salin ^ 56,5^ , 58. Substances obtenues par l'analyse d'un grand nombre de ces calculs , outre l'acide urique , par les citoyens Fourcroy et Vaiiquelin , XXX > 59 , 6a. Essais sur la dissolu* tion de ces calculs dans des liquides acides ou al* kalins , 59. Couleurs de ceux q|ii sont entièrement formés d'acide urique, 61 , 6a. de la vessie des animaux ^ ne présentent rien d'ana-

/

1> 8 8 M A T I ft 11 £ 0. 73

logat à l'acide lithique contenu dans Pttrîne hn* aiainey XVI, i66«

*- des ténacités des différcns fers coulés d'après les expériences de M. Gazeran^ YII, 109 et suîv.

CAHÉLioHS. Couleurs qu'ils prennent lorsqu'on les toaimente pour les mettre en coIère« Observations sur ce changement de couleur , XVIII , 373^ 274»

Caillette. Voy. prézure. Est un réactif infid cl e^ IV, 39. On doit y préférer les acides déjà connus, 4^.

CALORiicfcTRE. Appareil imaginé par Lavoisier et De* laplace ; son usage , III j 235 et suivi

Calobliqub ou la matière de la chaleur , II, 194 ^ ^97» in, 149 > i5o. Opinion de quelques physiciens sur sa nature, 182. De Lavoisier et de Delaplace, ir8a etsniv. De M. Deluc, 184* ^^ base, s'il en existe, nest point connue, i85, 187. £st compressible , 191, 195 et suir. Explication de èe9 phénomènes en le 8npp«)sant un être simple, 209, ait5 , 219 , 233, 225, 228. Ou un composé binaire, 211 et suiv., 216, 218, 225, 227. La compression du calorique combiné dépend de la nature des corps, 224* Quan- tités dégagées pendant la combustion d'une livre de phosphore , de carbone , de gaz hydrogène , V , 247, a4^i 249 ^l A^^Y. Propriétés qu'un auteur lui suppose, XXVI , 1 14- Martière dont M. Péarson croit qu'il agit dans les combinaisons chimiques ,^ XXV n, 169. Raison que donne M. Carradori pour changer le nom de la modification du calorique , appelé par le cit^ Fourcroy interposé , en celui de calorique agrégé , XXIX, 93. Circonstances dans lesquelles, suivant M. Carradori, le calorique se trouve dans le cas d'un corps quelconque , saturé

*

74 T f s Xr S' G i N ]( R t e

d'un autre corps dans une combinaison phyaque f t)S et suiv. Les cit. Lavoisier et Delaplace n'pnt pas

- décidé h\ le calorique est une substance ou une qualité des corps, 97. Sous quel état il se trouve dans la substance nommée thermoxigène, par M. Bnignatelli, 182, iS3.

Faute à corriger sur ce qui en a été dit dans le troi-

, aièine vplume, y, 191.

Calx aniimonii cutn êulfure , contient , selon M. Wesirumby 4^ grains de chaux , 18 grains de sul- fure d'antimoine > un peu de sulfate de chaux et de ferj X, 208 ; et le calx antimonii sine sulfure , de la terre calcaire et de l'oxide d'antimoine , X , ao8.

CAAifHoaATEs. Combinaisons salines de l'acide camphorique avec les terres et les alkalis} procédé pour les préparer^ XXVII ^ 19. Sont inodores lors- que l'acide camphorique est pur. Sont décomposés par le calorique , les acides minéraux et plusieurs sels neutres, 21. Sp dissolvent- bcilement excepté reux de chaux et de magnésie, 20. Ordre d'afiinité des allcalis et des terres pour l'acide camphorique. Décomposent quelques dissolutions métalliques, ai.

H- d'alumine. Sa préparation , XXVII, 34.. Sa saveur , ses propriétés ; est décomposée par l'action d.u ca- lorique ; exposé à l'air atmosphérique s'y dessèche, 35. Sa dissolution dans l'eau \ terres et alkalis qui le décomposent. Action qu'exercent les acides miné- raux, quclqu'acides végétaux et les sels neutres sur ce sel , 36. Est peu soluble dans l'alcool, 37.

-—d'ammoniaque. Sa préparation ^ XXVII, 3i. DiC- iicullé d'obtenir ce sel sous une forme régulière ; Slanière dont il se comporte au feu, à l'air, 32. iEsC

»SS HATlilt2«« 75.

{Au solnbic que les camphorates de potasse et de- sbade; est décomposé par la chaux, la b&r3rtey.J'a potasse > la soude , 33. Far les acides sulfurique, aitrique et muriatique , 34- Son action sur lea sela* calcaires 9 lea aels alumineax et quelques disaolo- tîons métalliques ; est soluble dans Palcool ^ 34.

^ de Baryte. Sa préparation, XXYII, d8. Manière^ dont il cristallise , dont il se comporte au feu, 99. Sec est inattaquable par l'air ; est peu soloble dans l'eau. Sabstaneea terreuses et alkalines qui agissent sur ce sel. Est décomposé par les acides minéraux, 3o. Far les sels neutres forme ayec les sul&tés des sels ou ôniples on triples. Estpeu splnble dans l'alcool ^ 3o*

de chaux. Manière de le préparer, XXVII, ai. Couleur et saveur de ce sel. Manière dont il se com- porte au feu^ à l'air. Quantité d'eau nécessaire pour le dissoudre. N'est'décomposé ni par les' terres , ni par les alkalis , m. Est décomposé 'par lès acides minéraux, les sels neutres, quelques acides végé-* taux , a3. L'alcool précipite la ohaux qu'il contient. Proportion de ses parties oomposantes; a4«

»- de magnésie. Est décomposé par les acides miné- raux et végétawf , XXVII, 39. N'est pas entière-* ment décomposé par les sels neutres; est dissous paa l'alcool chaud , 40-

*— de potasse. Sa préparation, .sa couleur, sa saveur^ XXVII , a4- Manière dont il se comporte au feu , à l'air , avec l'eau. Est décomposé par la chaux , 25. Par les acides minéraux, le nitrate de baryte et Ions les sels à base de chaux, le nitrate d'argent, le suifate de fer et les muriates d'étain et de plomb. Est ftolttble dans l'alcool , 26,

7^ Table «AitIil.a. i^.s

•^ de soude. Sa préparation. Mojetk de l'oblenir aouff la forme de cristaux , XX VII > 37. Aciion du calo- rique, de l'air, de l'eau sur ce sel , 27. Est décom- posé par l'eau de chaux , parla potasse. Sels neu- tres qu'il décompose. Est soluble dans l'alcool ,

Camphre découvert dans l'huile de lavande de Mur-

m

cie, IV^ 180. Quantité obtenue de différentes huiles aromatiques, 182^ Est d'autant plus abondant dana les huiles volatiles que la chaleur a été plus grande^ 184. Forme de ses cristaux , 180 , i83. Il est avan^ tageux de l'extraire des huiles volatiles de Mnicie, 195 et suiv; Procédé pour le purifier, 189. et auiv* Procédé pour en obtenir des cristaux des hui- les volatiles , 187 et suiv. Son analyse comparée avec celle du camphre du commerce , 200. Plongé dans l'eau s'j arrondit et devient transparent, XXI, St5S, S'évapore plus vite placé sur l'eau que lorsqu'il y est plongé , 257. Sa dissolution par l'air et l'eau , â64 et sùiv. S'agite auT l'eau , 254. Plongé dans l'eau y excite du mouvement, 255. Ce qui cause ses tou^noicmens sur l'eau , 267. Moyen de les ar- rêter , 268. Son découpcment à la surface de l'eau , 263. Sa volatilisation , 272. Sa combustion j 275. Phénomènes qu'il présente , 273 et suiv. Existe dans la racine d'aun^ée , 325. Son action stimulante . aur les plantes est plus salutaire que celle du nilre , XXIII , 63 , 67. Forme , au moyen de l'acide ni- trique* , l'acide camphorique. Opinion de plusieurs chimistes s^f cette substance, XXIII, i53. Est inat- taquable par les substances salino- terreuses et les alkalis, i5^. Est dissous par les acides ; forme avec

fiss Matibres,

77

Pacîde nitrique le médicament connn aous le nom dChiDle de camphre. Inconvénîens qui résultent do l^isage de cette huile , i55. Procédés du cit. Bouil* lon-Iâgrange pour obtenir la décomposition da camphre^ «en le Inélant avec l'argile ou Falumine , 159. Les expériences ont offert pour résultats , huile Tolatile^ carbone y gaz hydrogène carboné , acide carbonique , acide cam{lhorique et une matière noire^ lâo.- JSxamen de l'huile obtenue ; caractères qu'elle présente y 169. Forme avec les alkalis caustiques un mélange soluble dans l'eau. Action de l'alcool , de l'acide muriatique ozigéné sur .cette huile ; en quoi elle difiPere de celle qu'on obtient par l'acide nitri* que , 160. Examen de In matière noire qui est un mélange de carbone et d'alumine. Séparation de ces deux substances au moyen de l'acide sulfurique. Essai ponr obtenir de cette matière le carbure d'a- lumine; préparation jusqu'à ce moment tentée sans succès , 161 et suiv. Résultat , 162. Manière dont le camphre se comporte avec le gaz oxigènci 168 et suiv. Remarques de M. Kunsmuller sur sa volatilité, XXVI, Q91. Sa pesanteur spécifique , XXyiII, i5. Cankb a sucr£. ( Notice d'un ouvrage de M Dutrone* la-Couture sur la). Description de la plante. Far- qni elle fut apportée à St.-Domingue. Procédé pour obtenir le vesou ou suc exprimé de la «anne. Pro- cédé suivi jusqu'en 1726 pour amener le vesou à^ Fétat de sirop cristallisable. Procédé adopté de- puis. Défaut qu'y trouve M. Du trône. Ses conseils pour y remédier. Le suc qu'on obtient est de trois espèces, hnU , terré et purifié. Les deux premières se préparent aux Colonies , la troisième en Europe.

7& Table tûjxin,Att

Procédé pour Ëiire le sucre brut^ le sucre terre. Correctiona à ces procédés proposées par M. Du-* trône. Les mélasses servent a faire du rhum et du tafia. M.- Dutrooe a fait d'excellent vixx de canne eit laissant fermenter le suc. Ce vin^eut âtxe mousseux comme le Champagne , ou chargé d'aromate de dif-» férens fruits, VI, ô\j 6a.

Capacité des corps pour contenir le calorique , III , i55 et sniv. , aoo et suîv. Leur température s'élève en proportion du calorique interposé , 1 58 et suiv. Opinion de Crawford sur l'absorption du calorique par les corps exposés a la chaleur^ ^7^ > 177 et suiv.

-^ des iluîdes ébstiquespermanens. D'où proviennent les difficultés qu'on éprouve lorsqu'on veut la déter- miner d'après Crawford ,LavoisLer et Laplâce, V, 2i4 et suiv. La capacité des corps diminue par leur combinaison avec l'hydrogène, u5o et suiv. Capa* cité du bois, du charbon et de leurs cendres, 2129.

■— de plusieurs solides et de quelques liquides , corn* parée à celle de l'eau ^ d'après Crawford, Y, an. D'après Lavoisicr et Laplacc , 212. De dificrens fluides élastiques permanens, déterminées par Craw* ford , comparées à celle de l'eau , aao et suiv. De dilTcrcns gaa ^ comparées à celle l'eau , par Craw- .ford , 22a. De diiîérciis corps , comparées avant et après leur combustion ou leur ox: dation, aa5 et suiv. Les capacités sont permanentes tant que les corps ne changent pas d'état, 235 et suiv. , a45 et suiv.

<

Çajuctères des minéraux , extérieurs , inlcrieuxs ,

physiques^ empyiiques, IX, 177^ 178. Génériqaes communs, ^79 ^ ^9^*

Casboxatbs alkalins précipitent de l'infusion de ga«* rance de Zélandc, déjà précipitée par l'alun une la- que de rouge de sang 1 IV , loÔ. Sont presque les seuls sels dont on ùAse usage pour l'analyse des pierres. Procédés pour les obtenir purs , XXX , 7FW

•• ammoniacal précipite la magnésie , II , ia6. Décom'* pose le morîate de magnésie, i5i. Sa préparation , IV , 293. Proportions des élémens qui ferment ce sel , selon Bergmann , XIV , 200. Est décoloré par la poussière de charbon , 3a8. Sa pesanteur spécifi- que > XXVIII, i4. Procédé pour l'obtenir pur, XXX, 79. Cause de sa formation pendant la pré- paration de l'éthiops martial; d'après le procédé de M. Fabroni, XXX , aai.

*<- de baryte laisse aUer son acide au feu lorsqu'on &it passer dessus de l'eau en vapeur, III, 81. Sea propriétés physiques, sa cristallisation^ IV , 62. Sa pesanteur spécifique , 6a. Longtemps et fortement chanfiTé devient opaque et d'une couleur bleuâtre , 93. Ne perd rien de son poids' par la chaleur , 63. Ne perd ni son eau, ni son acide par la chaleur, 63. N'est point attaqué par l'eau quand il est en mor- ceaux , 64- Réduit en poudre est attaqué par l'eau , 64. Ne cède sa base à l'acide snlfurique concentré on afibibli qu'à une hante température , 65. Dissous dans l'acide muriatique donne un précipité avec l'acide nitrique , 71. Ses parties constituantes , y^. En morceaux n'est point attaqué par l'acide nitri- que, 66. En poudre est attaqué par l'acide nitrique CI6. Quantité d'acide carbonique qu'il contient ; 65,

8o TABX.B«iKÉ&AX.S

Opinion 6ur la cause de aa couleur «verte , 77. N'est attaqué par Facide muriatique que quand il est ea poudre, 67. Traité a froid avec l'acide tnuriatique , 63, Est dissous completteaient par l'acide xnuriati- que afibibli^ 68. Se dissout dans l'eau chargée d'a- cide carbonique. Phénomènes qui accompagnent cette dissolution 9 73. £st dissous par l'acide muriati'*

. que à l'aide la chaleur, 69. N'est pas décomposé ni dissous par l'acide muriatique , quand on n'em- ploie que quantité nécessaire pour la dissolution, 70. M. Klaproth en connoît trois espèces , XI , ai3. Sa calcination, XXI ^ 118. On le trouve dans une mine de plomb à Anglezark. Fris intérieurement est mortel^ 119, 127. Comparé au carbonate de strontiane, 117, 119, 121, i24. Sa dissolution dans les acides nitrique^ muriatique, sulfurique^ acé- teux, i3o. Propriété qu'il communique à l'alcool , i3o. Ses sels, 126.

«— de baryte d' Anglezark. Description du terrein 'où on le trouve^ XI ^ 3a 1.

•— de baryte , natif des mines de Zmoof en Sibérie. Sa description , X , 187. Son analyse, j88 et suiv.

—- de baryte de strontiane. Propriété qui lui est par* ticuUère, XI, 21 3.

calcaire. Son utilité daxis la teinture avec la ga* rance, X, 338.

de chaux. Coupe de ses divers cristaux qui en dé- /^ouvrent le moyen, III, 5 et 6. Ne produit de cha« leur dans sa dissolution qu'après avoir été long* temps chauffé , IV j 269. Entre dans la composition de l'écorce d'orme, XXI, 43. Il s'en forme jour- nellement et en quantité dans l'oyidactc des poules

qui

DES

Hatièrbi* 8i

qsi pondeot. Cette terre se déposo avec vitesse sar k matière de l'œuf ^ XXIX , 5. Quantité qu'une pou- le, qui en quatre mois et demi pond 90 œufs, {orme de ce carbonate , 5. M. Brugaatelli eipploie avec les plus grands avantages le carbonate acidulé de chaux dans les affections calculeuses, 177.

de magnésie perd une partie de son poids par la calcina tion , XIV ^ 2^9. Une des parties composan- tes de l'écorce d'orme , XXI, jtS. Sa pesanteur spé- cifique, XXVUI, 14.

«—de magnésie cristallLié.*Sa forme, ses propriétés ,

de plomb. On l'obtient de la décomposition du mu- riate de soude par Toxide de plomb, XIII, 5i.

de potasse. Son effet sur la congédia tion de l'eau , IV, 33S. Est décomposé par l'acide phosphorique , voyez acide pHosphorique. Procédé du cit. fierthol- let pour l'obtenir, XV , a5. Procédé de Pelletier pour saturer l'ulkali d'acide carbonique , a^ et suiv. Phénomènes qu'offre ce procédé, ^7, 28. Forme des cristaux de ce sel, selon Bergmanu, selon Pel- letier, 29. Perd pendant sa dissolution dans l'eau cliaude une portion de gaz acide carbonique, 3i. L'espril-de-vin qui dissout l'alkali fixe caustique , a peu d'action sur ce sd, 3x, 32.^ Ses parties compo- santes j selon Bergmann. £xamen de ce sel , 33. Ce que 100 grains donnent d'acide, carbonique, 34. Ne donne point par la distillation tout le gaz qu'il con- tient y 34. Nature du précipité terreux qui se forme en saturant l'alkali d'acide carbonique , 35. £st une dos parties composantes de l'écorce d'orme^ XXI , 43. Sa pesanteur spécifique, XXVIII ^ i4.

Tame /, F

Sa. Table oÉNiRAis

•— âe soude. Son aciion sur la congcllation de Teau , IV 9 a38. Mêlé au nitrate de chau< donne du nilrate de soude et du carbonate de chaux. Dans quel cas a lieu le phénomène qui paroît contraire aux loix d'affinité chimique, XIII, 8. Procédé de Schéele pour eu obtenir, 9. On en obtient du niclmge du muriate de sou^e et du carbonate purifié de potasse par l'échange des bases. Procédé de M. Karteleyn pour faire cristalliser séparément ces deux sels, 21 3, XXX , 3o5. Procédé de M. van Mons^ ao5. Sa pe- santeur spécifique^ XXYIII, 14.

de sirontiane , XXI i ii5. Son an^ilogie avec le car- bonate de baryte, 116. Produit des sels avec les acides, 117. Sa calcination, 117. Sa dissolution par l'acide nitriqrfe, iq6. Muriatique, 128. Sulfuriqne , 129. Acéteux, i3o. Ses parties constituantes , i35. Ses caractères distinctifs, 236 et suiv. Peut être pris intérieurement sans danger, lao^ i36. Sa couleur , 280. Sa cristallisation, 180. Ses propriétés, 137. Caractères extérieurs de ceux d'Anglezarck et de LeadhiU, XXIII, 218,

•» de Zircone. Quantité obtenue de la dissolution du carbonate ammoniaco-zirconien , XXII, 186, 187.

Carbone , II , 2^6 , a3j , a38 , aSg , 2io. Diffère du charbon, III*^, 79. Est plus abondant dans les substances végétales que dans les substances ani- males , XI , lô'Si L'un des trois élémens primitifs des végétaux , ne peut servir à leur nutrition tant qu'il est sec et isolé , XXI , 292 , 2^3, Opinion de M. Auslin sur ]a nature de ses principes , XXV, 175. Se dissout dans le gaz hydrogène, XXVII, a4i. Ne peut être confondu avec le phlogistique

fiSsMATli&EI. 83

ic SthaL Son caractère spécifique est de former de l'acîde carbonique avec l'oxigène , XXVIII , . 62, Quelques chimistes regardent le carbone comme une substance composée^ SlXIX, 1 li. N^'st point dé- composé par l'étincelle électrique par son passage à travers le gaz h}'^rojène carboné, 1&9. Ses principes constituans suivant M. Austin , sont l'hy- drogène et l'azote D'où proviennent dans les expé- riences àe M. Austin , ces deux substances qu'il lui

•attribue pour principes, lai etsuiv. Doit être re- gardé conune un« substance simple dont la compo- sition n'est aucunement connue ,. ia4« Idées do M . Homboldt sur cette substance, XXIX , i4S.

Càrburb est une des aiibstnaces composées binaires qui se présente le plus souvent dans les analyses diimiquesy XXVIII , 63,

d'alumine. Résultat dn .nouveau produit obtenu de la décomposition du camphre , XXIII , 161.

de cuivre. Procédé pour l'obtenir , XXX , 328.

de fer. jPacilife la réduction de l'oxlde de mo- lybdène f rV , 16. Contribue à accroître la ténacité des fontes de fer , VII , io3. £q se décomposant avance leur métallisation , io4. Susceptible de se ré- duire en un métal particulier, VIII, 32i. Obtenu par la dissolution de l'acier dans l'acide sulfureux , contient du soufre , XXII , 10. Son analyse. Ses résultats , lo, 11, 14. Ses variations , réflexions à ce sujet y 19 et suiv.

Carrières. Description de celles des environs de Meudon. Sont formées de pierre calcaire et de 8ilex,XXVI, 4i.

Carthamb. Les essais comparatifs faits aveo le car-

F a

?4

TaBLB GÉNiRA

L E

thame db Caracas , et celui cultivé en Espagne , ont prouvé que la matière colorante du premier est supérieure en quantité et ,én qualité a ceUe du dernier , XXVIII , Sit. Substance presqu'entiére- ment fournie à l*£urope par le commerce d'Egypte. Il sert particulièrement en Europe à teindre les

. soies ; est employé en Egypte pour donner une belle couleur au coton ^ XXX ^ iâ6. Procédés aux- quels le citoyen Berthollet attribue le succès de cette teinture , lôy,

CAsCADEdeGavarnie. Sa description, XIII, lyietsuiv.

Casseuse (matière)^ s'ob|ient en &isant aigrir le lait écrémé, on la sépare du sérum par décantation , substances qui le ipnt cailler, VI, i88. Le lait se

, coagule spontanément sans aucune addition ; la ma- tière caséeuse , lavée et pressée a beaucoup d'ana- logie avec le gluten de froment, 188 , 189. Sa dis- solution dans la potasse et la soude caustique , I9 idissolotion chauflée devient d'un rouge foncé , le * même efiet a Heu en faisant bouillir le lait écrémé avec l'alkali; un chimiste a cru très -faussement que le lait étoit ainsi converti en Sang, 189. La matière caséeuse, ea*sç dissolvant dans la soude caustique produit une effervescence et une odeur d'ammoniaque qui paroit indiquer la formation de cette dernière substance, 190. L'addition d'un acide manifeste du gaz hydrogène sulfuré, ce phénomène n'est pas encore expliqué, 190. Elle ne paroit paa contenir d'acide comme Schécle l'avoit annon- cé, 190* Elle n'est pas de même nature dans le lait de divers animaux, 195.

Caoutciiovc, voy. gomme élastique. Ss dissolution

dbsMatibrb». 6b

complette peut avoir lieu dans les huiles grasses et siccatives pourvu qu'on les fasse cuire avec de l'acide muriatiqoe oxigéné , XII , 3i6. Casse (ctuêia JUtula Li^n. ). Son analyse pnr Vau- quelifi ,VI, %'fb et suiv. Traitée par l'eau, l'alcool et l'acide muriatique ozîgéné , peut être séparée par diverses opérations en neuf substances difié- rcntes , 277 , 280. Examen de ces substances par les réactifs ^ a8o, a85. Far la chaleur , 7i%5 , nHy. Pro- portions de mes neuf produits , 287 , aBS. Leur .examen pac la combustion. Sel» que renferment leurs cendres , uHS , a8g. La potasse s'évapore par l'ac- tion du feu ainsi que quelques autres sçls, ^89^ 390. Examen de différentes oapèces de casse ^ 290, agi. Danger de traiter l'extrait de. casse dans des vases de cuivre , 291 , 293. I/hnmidité 7 développe un acide qui agit ensuite sur les vases de cuivre » 2192 >

«93.

Catalogub du cabinet de minéralogie de mademoi- selle Éléonore Raob ^ par M. de Born ^ XII, 171 et suiv.

Causticité. ' La causticité dépend de trois causes , XXWlI ,63.

Caustiques métsAiques appliqués sur les ulcères , les effets qu'ils y produisent ne laissent auôUn doute sur la réduc.tKon des oxides et sur le passage de

' leur oxîgénc dans les matières animales , XXVIII , 25o.

Caves de Roquefort sont extr^nement £raklies> lY , 46 et suiv. Leur description , 4^.

Cekdres. Leur usage dans la préparation du ciment 9 IV, 279. Leur usage dans le traiîcmenf du rachiûs *

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M TaBLB GiMilLAI/E

Tôy. potasse. Provenant de la combustion des Té" gétaox doivent être passées au crible avant d'être lessivées f XIX f 200. Usage que l'on peut faire de ces cendres après avoir été lessivées , ao4 , XX , ' 3aa. Manière de les lessiver , XIX , 309 et suiv. Quantité de salin qu'on obtient de la cendre de bruyère, a ta. Lessivage des cendres en petit, 21 3. Leur nature peut varier en raison de la manière dont se &it la combustion , XXVIII ^ 64 , 65.

•«» bleues. Luttr dissolution dans loi acides nitrique et marin qui en séparent de Facide carbonique. Traitées ^ec l'acide sulfurique font effervescence. Produit du résidu de cette eipénence. Produit de» liqueurs du lavage , XIII , 5o. Quantité de chaux que contient un quintal de ces cendres. L'ammo- niaque leuc enlève le enivre qu'elles contiennent , £1. Donnent , par la distillation > de l'acide carbo- nique , 5a. Quantité de cuivre qu'on obtient de la réduction de ces cendres par Faction du feu. Résultat conforme à celui de la voie humide, 53. Contiennent de Poxigène dans la proportion de 9 f au loOy 53. Résumé de l'analyse , 54. Synthèse de Ces cendres. Première expérience , 9S, Phé- nomènes qni ont lien pendant l'expérience , 5j et suiv. Procédé pour la préparation de ces cen- dres y 60. Moyen d'obtenir ces cendres du préci- pité de la décomposition du muriate de cuivre par la chaux , 63. Du nitrate de cuivre , 64. Cause de leur couleur , 65.

*- gravelées , voy. lies de vin.

•» du Levant produites par l'incinération de la plante

nommée par les Arabe* roquettes contiennent de la soude ^ XIX , a58. perlées de Daatzîc. Sel très - blanc d'une saveur aUuline , XYIII , 176. Substances qu'elles con- tiennent , 177. Procédé pour en obtenir, ao8. •— de plantes d'Irlande j voy. soude. Ceaisc. Sel formé dans le jus fermenté, III, 3o. n a pour base la chaux , Si. Son acide comparé à l'acide eébacique, 33. Aux acides formiqtie et lactique , 4i. Considéré comme acide propre , 43. La cerise tient du suc^, de la chaux et de l'alkali , 46. •— rouge céracée avec un peu d'eau dans difierens vaisseaux donne une liqueur d'un rouge roux très- vif, XXX , 186. Action de l'ammoniaque sur cette liqueur. De l'acide acéteux sur ce mélange, 187. Écra- sée dans un vaisseau de fetéiimé donne une liquenv violette foncée. Action d!(^ffllcide acéteux , de l'am- moniaque sur cette liqueur. . Action de l'étain , du caivre sur la liqueur rouge , 188. Cause de la couleur de ce fruit ,197. Cbrcmen des oreilles produit beaucoup d'effet sur

l'eau , XXI , 2160. Cerveau humain ne fermente point et ne donne point de fluide élastitfue , XVI, 298.. Exposé à la degrés de température exhale une mauvaise odeur. Fournit un acide qui s'altère promplement et donC la nature n'est pas connue. Les cerveaux contien- neQt des quantités d'eau différentes , 299. Traité par la clialeur , phénomènes qu'il présente ^ 3oo et suiv. Traité par l'eau .et la chaleur , sel qui se fonne dans cette expérience au moyen de quelques ré-

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68 Tablk ciKi&ALi

dctlCi , 3oa.' L'acide solfarîque décompose entière*-' ment la mQtière cérébrale et forme avec cette substance des cristaux pea dissolubles , 3o3 et suiv. Substances qu'on obtient dn charbon provenant de la décomposition du cerveau dans l'acide sut-' furique ^ au moyen de l'alcool , 3o4 et suiv. Ma- tières salines contenues dans le cerveau^ 307. J*railé par l'acide nitrique. Phénomènes que présente la liqueur do cette expérience pendant son évapo- ration 9 3o8 et suiv. Traité par l'acide murialique , matières que contient la lessive. Mojen de les sc« parer , 3 10 et suiv. Quantité que le cerveau perd de son poids par la dessication a la chaleur du baîit marie. Son affinité avec l'eau dans cet' état , 3i2 et suiv. Matière qu'on en obtient en le feisant bouillir avec l'alcool , 3i3 6t suiv. Phénomène qui a lieu pendant l'évaporatin de l'alcool contenant une portion de cette matière en dissolution ^ 3i6. Ma- tière provenant de cette évapora (ion. Ses propriétés

317. La potasse décompose le cerveau et en dégage du calorique et de l'ammoniaque. Desséché et traité avec l'huile de térébenthine^ couleur de la liqueur ^

3 18. Se dissout en partie dans l'huile d^olive et acquiert de la consistance^ 319. Le cerveau ne con- tient point d'huile ; mais outre la pulpe animale est composé de phosphates de chaux , d'ammoniaque otde soude^ 32o ^Sai. Substances avec lesquelles la matière de la pulpe cérébrale n'a aucune analogie ,

«-* de mouton , dénué de ses membranes et vaisseaux sanguins , est de couleur blanche et grise mêlée. En bouillant dans l'eau donne une écume colorée.

s C 8 M A T 1 I R E s. 89

Perd sa transparence et devient blanc, XVI > 2189. Action de l'eau , de l'air, de l'acide solfurique^ de l'alcool sur lasubstanc&blanche, 290. Sel qae forme su moyen de l'acide sulfurique la substance blanche et grise , 29a. Phénomène que présente la matière blanche avec le muriate calcaire , 293. Chauffé dans un vase forme une pellicule. Nature et propriété de cette pellicule , 293 et suîv. Action de l'acida muriatique sur le cerveau délaya 'dans l'eau , 294. Substance qu'on obtient du résidu de la liqueur de Celte dernière expérience, an moyen 'de l'alcool et du carbonate de soude , 296. Propriété d'une matière qu^on obtient au moyen de l'alcool , de la portion de cerveau traitée avec l'acide sulfurique , 996 , 297.

de veau. Action du feu , des acides sulfurique et nitrique, du muriate calcaire^ do l'alcool, de l'eau sur ce viscère dépouillé de ses membranes et vais- seaux sanguins , XVI , 282 à 288. Examen de la Inatière qui séparé l'acide nîtfiqticr d'une dissolu- tion aqueasé du cerveau. Propriété de cette matière, 288. Substances que contienKla liqueur après la -séparation de cette matière , 289. ' '

CsTLAviTE. Pierre qui se trouve à Cey^n parmi les tourmalines ; sa description , sa pcsanseur spécifi- que, XXni, ii3. Inaltérable au feu; son analyse , 114 et suiv. Est composée de silice , d'alumine, de magnésie et d'oridc de 'fer, 120. Presqu'entièfe^ ment dissoFuble dans Facide sulfurique avec leqluel elle forme du sulfate de magnésie, 121. '

Cbaletr nécessaire îà la volatilisation du phosphore , IV, 7. Nécessaire pour son ébulition , voyez plïos- phore. Son action sur le carbonéte de baryte , voy.

baryte. Primipe but la chaleur qai se produit dans les fourneaux de verreries, IX , i30y 137. Ré- flexions concernant l'efièt de la chaleur sur les at- tractions chimiques , XVn, 101 et suiv. Chaleur considérable produite par le firottement de métaux sons Teau avec exclusion d'air sans décomposition d'eau, XXYI/ ii5. Rapports qu'a cette expérience

. avec d'autres &itea par M. Scherer , iiS, 116. £at la sensation que nous &it éprouver le calorique > XXVin , t>8.

»-* animale. D'où elle dépend > V , 259 , u&j- Produite par la combinaison de l'oxigène respiré avec le carbone et l'hydrogène du sang , IX , a6a. Se for* me non-seulement dans les poumons , mais même par la combinaison de l'hydrogène et du carbone du sang avec l'oxigène qui y est dissous , d'après l'o- pinion d'Hassenfratz , 263 à 374, Opinion de Lavoi^^* sier sur sa cause , XXI , a3o. Expériences proprea a l'établir y a3l. Obseï valions à c^ sujets a32i el suiv. Opinion des anciens sur la chaleur animale, aoA.

•— et froid. (Observations sur les , sensations et parti- culièrement sur celles que l'on nomme) VIII , 183- Observations sur les grandes chaleurs du mois de juillet 1793 y XVIU f 3io. Campagnes dévastées par les orages des 8, 9 et 10 de ce mois, 3ii et suiv. Table des observations ihermométriques , 3i6.

-— d'un fourneau. Manière* de la déterminer ; question

- proposée par M. Nicholson y XXIV y i58.

Charbon. Contient la base de l'acide carbonique et de l'hydrogène, II , 276. (Note), 376. Son action sur l'air commun , IV, ^i et suiv. Sa dissolution dans la potasse > selon Lowitz, VI; i5. Hahaemann con-*

DEsMATliltSS. 9t

tredît ce fail d'aprèA plusieurs expériences y 16. Sa poussière employée avec succès pour la purification d'iia sel bitumineux , 56. Cst mis à nud dans les substances végétales, par l'action du feu ou de l'Saci- de muriatique oxigéné, des acides nitrique , sulfu- rique. Couleurs qu'il communique à ces substances, 021 f «26. Est également mis à nud dans les substan- ces animales, par l'action des oxides roétalliquef caustiques , 227. Dans l'huile animale, parle con- tact , 227. Dans les huiles , par l'étincelle électri- que , ^7. Dans la partie. verte des plantes , les feuil- les des arbres, les parties colorées des fleurs, la seconde écorce des arbres , par un commencement de combustion qu'éprouvent les parties colorantes , an contact de l'air, a36. A quelle température il s'enflamme , VII , 70. Détruit le principe astringent^ Décolore les infusions de garance , de safran , de sirop noir, et la dissolution d'indigo dans l'acide sulfarique , XXYI , 290 , XII , 73. Sa poussière f ert à purifier les substances qui ont contracté une odeur et un goût désagréables, XIII, 74. Dissous dans l'eau est une des substances nutritives des plantes / XIV, 56 et suiv. Préparation de la poussière de ce combustible pour le rendre propre à décolorer les sels et les liqueurs. Manière de s'en servir , 97. La décoloration du sirop de miel, par ce mojren, n'a pas réussi, 99. Succès obtenu par M. Ruckert d'In- gelsitig , di} procédé de M, Lowi|z , pour la décolo- ration des substances' végétales , io5. Nouveaux essais de Mt LêoWiiz sur la décoloration des substances par la poudre de charbon. Résultats , 327. EmpccJic l'eau de la mer de se corrompre ,

ça Table a è v k k a h %

' 3^9. Réduit eu poudre absorbe les matières gfas* ses impures qui adlièrent souvent aux sels. Mê- me aux matières spiritueuses , lorsqu'on le fait digé- rer ou bouillir avec ces substances, 18a. Employé avec l'acide sulfiirique dépure l'eau ^ XVIII, 91. Comment il s'unit à l'oxigène fixé dans le fer, XIX, i4. En se fondant avec le fer le change en acier , 16. Mêlé avec la craie décompose le sulfate de sou- de , XIX , 62. Ulcères gangreneux et pbagedénique» guéris par l'effet topique de la poussière de charbon» XX » 386. Observation sur sa combustion et sur la cendre qu'il prodtiit , XXJV , 16g. Son action sur le sulfite de soude, 271. Le sulfite de magnésie, 3oi. Le sulfite de baryte , 5o4. Sa propriété après avoir servi à désoxigéner l'acide phosphoriqne , XXV, 67. Est un des plus foiblcs conducteurs de chaleur XXVI, -225 Est presqa'insipide > devient aigre et piquant par l'addition de l'oxigène , XXVIII ' 24^. Celui dont on se sert en Egypte quoique provenant

* d'une plante non ligneuse , est très-propre à la fa- brication de la poudre, XXIX ^ 196. '^— d^e terre. Tous ne ynt pas également de nature a donner du coak de bonne qualité pour réduire les mines de fer, VII, lof*. Divisé en deux espèces parle cit. Faujas , X, 29. Se rencontre dans trois

' sortes deterreins. Ne se trouve jamais dans les mas- ses primitives dels montagnes, 3o. Substances qui accompagnent toujours ses filons^ 3l. Moyens em* ployés à Saarbruck pour en retirer le goudron ^ 32. l^escription d'un fourneau servaiit à son épuration , 33 et suiv. Dégagement de gaz hydrogène pendant l'opération, 35. Différens produits du. charbon de

.O £ 8 M A T I j: R E 8. gS

terre ^ 36 , 67. Mêlé avec le sulfure de fer décom- pose le murialc- de soude. Produits qui résultent de la calcina tion de ces troi» substances , XIX, laô et suiv. Opinion sur celui de Langenbogen et Rocblin* gen, au duché de Mansfeld, XXVII , 96.

«* de terre incombustible , décrit por M. -Widenmanny n'est pas incombustible y selon M. Klaproth, X, io3« Ce qui le distingue des autres charbons , io4. Ana- lyse d'un charbon de terre incombustible analogue a celui décrit par le cit. Guiton , XI , 209. Analyse d'une espèce qui n'est point propre à la combustion , par M. Wiegleb , XII , 56.

Château du Caire. Pierre employée à sa construc« tion 9 voy. pierre.

Chaud ICRF.S de plomb propres à la fabrication de l'a- lun. Manière de les faire, XXIX, u64«

Chaux. Enlève l'oxide de cuivre a l'ammoniaque , I, 7a. Dissout l'oxide de plomb, 62. L'eau de chaux précipite le sulfate de chaux dissous par un excès d'acide nitrique , q5. Existe dans la cerise, III , 4^. N'est propre à fôire du ciment qu'étant dépouillép d'acide cafbAiique , IV / 270. Expériences qui prouvent que cette substance n'est point un métal , , YIII^ 10. Son effet dans la composition du verre , IX, a4i et suiv. Précipite le sul&te de mercure neutre en gris foncé , et le sulfate acide de mercure en orangé, X, 3 10. Peut être changée en silice , Xn, 67. Mêlée à l'oxide "blanc de plomb sert de mastic pour raccommcde.r les porcelaines^ 223. £m« ployée dans la fabrication du savon, facilite l'action des. alkalis sur les huiles , en leur enlevant Facide

t carbonique qu'ils cootiennent, XIX, 261. Moyen

94 Tablc «iNinALV

de 1a conserver, i6a. Sert à préparer les peaux avant de les teindre, XXI, 2^2. Sa présence dans les os, XXV, 67. Est rangée parmi les alkalis , par M. Trojnmsdorfi^ parce qu'elle a quelques caractères communs avec ces sels , XXVI , 1 20. Le précipité qu'elle forrtie dans la dissolution alkaline de silice , ne donne pas le moindre signe d'effervescence avec les acides. Cette expérience vient à l'appui de l'ex-

' plication de M. Godalin , XXVII, 32o, 52 1. Sa pesanteur spécifique, XXVIII^ 11. Légèrement hu- mectée décompose l'air atmosphérique et met l'azote à nu, XXIX, i58. Sa cristallisation, 221., Ses pro- priétés distinctives^ XXX, 82. Efntre avec la silice et l'alumine dans la composition du grenat ; avec les (rois terres et la magnésie dans le pechstein de Mesnil-Montant; avec laglucine, la silice et l'alu- mine , dans l'émeraude et le beril , 85.

*- acide du voliram. L'oxigène lui est enlevé par le muriate d'étain, XII, a33.

•— manganésiée. Voy braun-spath.

•— vive , perd la couleur verte qu'ellç a acquise avec des matières animales, par l'expontion à l'air, IV , 77. Enfouie avec des matières animales se colore en vert, 77. Son extinction dans différens airs ne les altère point, 3t, Ô3.

CnELiDoiNE. Action de l'air sur le suc que Ton tire de cette plante , XXI , 288.

Cheminées. Causes qui les font fîimer; moyen d'y re- médier, III, 278 et suiv.

Chimie ( élémens de ) , par le citoyen Chaptal. Notice de cet ouvrage , par le citoyen fierthollel , VI , 1S7 } 2o3. La chimie est un9 science qui apprend à

connoitre l'action intime et réciproque des corps de la nature les uns sur les autres , XXVIII , 70. Cette définition a été donnée par le oit, Fourcroy. Ne peut être assimilée â la physique , 70. Les Chinois sont asses avancés dans les arts qui dépendent de la chimie, 71. Application de la chimie pneumatique à l'art de guérir , 2u5.

Chlo&itbb cristallisée du mont St. Gothard. Résultat de son analyse, YIII, 3a7. Substances qui composent la chlorithe farineuse , XXX, 1 06.

Cbouettes , peuvent , suivant M. Carradori , se sou- tenir avec une nourriture végétale. M. Spallanzani est d'une opinion Cbn traire, XXIX , 97.

Cbrovb. Nouveau métal trouvé dans le plomb rouge de Sibérie , par le cit. Yauquelin. Voy. acide du plomb rouge. Ses propriétés , XXV, 2o3, ao4.

Cb&tsolite du Cap de Bonne^Espérance, ouprehnite^ I, 201. Sa dissolution. Son analyse, aoa et suiv. Résultat, ao8. Comparée aux schorls et aux zéo1i-> thea, 210 et suiv. Son analogie avec In zéolithe si- liceuse^ 2i3. Rangée par les naturalistes parmi les gemmes, XXVI, 123.-M. Kirwan entend par chry- solite le péridot. Substances que contient l'espèce analysée par M. Achard, 124. Pierres auxquelles on a donné ce nom. Ce fossile analysé pnr le cit. Vauquelin , est un sel compbsé d'acide phosphori'* que et de chaux ^ 125 et suiv. Les résultats de cette analyse s'accordent avec ceux obtenus par M. Kla* prolh j i3o , i3i.

Cb RTsOP H RAsz. Pierre précieuse, I, i42. Montagnes elle se trouve, i43, 147. Phénomènes qui ont lieu pendant les expériences, 161 et suiv. Son ana-

96 TaBLB GÀNillALS

lyse par la voie humide. Résultat, 171 , 172» ijS. Sa couleur verte due à l'oxide de nikel qu'elle con- tient pur ,) quoiqu'il soit attirable à l'aimant , i5;5 , 161 , 166 , 167, 169 , 170. Vitrification de la chry- sophrase brute et celle du nikel^ 174, 176, 176. Propriété de l'oxide de nikel, 176. Caractère miné- ralogique de Li chrysophrase. Ses parties conv<ti« tuantes , 178. La chrysophrase n'est que du quartz , 209. Quantité d'oxide de nikel obtenue, II, 5o6.

CuYi.11. M. Smilh'peifse que le chyle est une solution de substance végétale et animale àiorte dans le suc gastrique. Preuve que cet auteur donne de aelte assertion ^ XXIX y 180.

Ciment. Essai sur sa meilleure préparation, IV, 1270 et suiv.

C1KABR2. On en a découvert un très-éclatant en cou- leur j et dans lequel M. de Borne croit qu'il existe de la chaux. Frqtté il développe une odeur sulfu- rée, VI, 24. Obtenu par M. Kirchhof en faisant bouillir le muriate de mercure de Schéele avec une solution saturée de sulfate de potasse, XXVII, 97. Autre procédé par lequel, il en .a formé îin sembla- ble, 97.

CiAE jaune. Procédé de M. Sennebier pour la blan- chir en l'exposant à la lumière solaire > XII, 61.

Cobalt. Moyen d'essayer par une espèce de coupel- lation si ce métal contient de l'or et de l'argent , 'VI , 4^ > ^^' Procédé de M. Wedgwood pour le séparer des différentes mines il se trouve, X ,- lod. Mélange qui résulte de son union avec le plomb. .

Procédé pour l'obtenir parfaitement purifié , XXII ,

* il3 ; XXVI , 89. Pur, donne avec les acides une

* encre

dê^Matikres. 97

<tiicre sjmpathiqae bleue, de couleur verte Ior9qu'il contient du fer ; moyen de changer Cette cpuleur « volonté y XXIV , 172, Observations sur ces oa^i- â«*3 y ai4. Obtenu sans mélange par M. Tromma- âorffen suivant le procédé de Lampadîus, XXYI, 89 > 90. Obtenu par ce procédé se dissout facile- ittent dans les acides. Le précipité que l'ammoniaque forme dans ces dissolutions est de couleur bleu de ciel, 91. XXVIII , 93 , io5. Dans presque toutes ses combinaisons connues ufTre des propriétés sem- blables au nikel ,189.

métallique. Opinion des chimistes sur sa propriété magnétique; suivant M. Gren d'^après les observa- tions de M. Rohl^ non-seulement le cobalt le plus pur 9 est attiré par l'aimant , mais peut devenir aimant lui*mdme , XXVIII , 100 ^ 101. Dificrences qui existent entre la pesanteur spécilique et la pro- priété du cobalt dont parle M. Gren et celui par M. Tassaert , 101. Sa dissolution dans Facido ni- trique j 102. Précipite le cuivre de sa dissolution et le fait passer à l'ctat métallique, 104. On ob<- tient un précipité vert d^une dissolution de cobalt an moyen d'une combinaison diacide prussique et de potasse^ 107. Pur , est suivant le cit. Tassae^ , aussi attirable que le Fer^ 107.

phosphore , difiere dn cobalt ordinaire par sa couleur XIII , i34. Exposé à l'air y perd son état métallique^ i35.

terreux de Regensdorî , n'est que de Poxide de manganèse , lY , ^«94. Son analyse ^ 394-

de Tunaberg. Procédés du citoyen Tassaert pour Pobtcnir à l'état de pureté , XXVIII , 9a et suiv. Tome L G

98 Table GiififtALR

Donne à l'analyse de l'arsenic , du fer^ du cobalt et du soufre > 100.

Coccu^. Nom donné par Pline à la teinture du ker- mès et à rinsecte. Y, 119. Par Linneusa un genre d'insectes de la classe des hémiptères^ 119.

Cochenille. Son infusion mêlée avec celle de la

»

garance de Zélande , voy. garance de Zélande. Mordans employés par M. Vogler au moyen des*» quels on obtient une couleur très-agréable et so- lide , XX , 38G.

•— silvestre ^ Y, 120. Sa description ; lao. Plantes qu'elle habite , lai. Forme des petits dans le seiu de la mère, lai. Manière dont ils se fixent sur la plante^ isS. Leur>^ récolte , ia4 et suiv.

»- fine y ne se trouve que dans les cases et jardins des Indiens; sa description > 126, 127. Son édu- cation y ia8. Son prix , laq. Comparaison de ces

cocheuilles , i3i et suiv. Essais de teinture faits . . .

avec la cochenille silvestre^ i33. Comparaison des couleurs, i33 , iS^. Emploi avantageux qu'on peut en iàire , i36. Leur décoction est jaune par l'acide muriatique oxigéné ^ i34. >

CocTioN. Changement qui annonce et accompagne la terminaison lieureuse des maladies , cause do cette coction^ XXYIII, 263.

Cohésion considérée comme caractères communs des minéraux ^ IX, i8j.

CoLlE-FORTS. Son Utilité dans la composition du mor- dant pour la teinture avec la garance , lY , 116. Son effet dans le bouillon de garance , i43. Est composée des parties membraneuses , cartilagineuses et tendineuses des animaux | XIII, 194. Autres

OESMATlÈRBi. 99

sabstances animales propres à en fournir ^ 196 et sniv. Ténacité de la colle de mâchoires de bro- chet » 198. Essais de M. Grenet pour en fourni» avec les os , 199^ Caisson de colle d'os, aoi. Cette opération produit une colle analogue à celle d'An- gleterre , 2o3. Résoltats des expériences sur ra- pure d'ivoire, 3o3. Moyen d'avoir des colles tran^- pai'Cntes , ao5. Observations sur la colle de poisson. Sa préparation , aoG. Procédé pour la blanchir | 307.

^ Préparation d'une gelée qui peut' la remplacer, 207. Degré de chaleur nécessaire à l'eau pour dissoudro celle du commerce , XY Itl , 36.

Colonne dite de Pompée. Opinion du citoyen Dolo" mieu sur Pépoque de son érection à Alexandrie , XXIX , ao2.

Combustion Ma } n'est qu'nne décomposition de l'air vital ^ y II 9 65 , 66. Les acides nitrique , muriatique ' oxigéné , même le suliurique , agissent par combus- tion lorsqu'ils font passer les substances sur les- quelles ils agissent depuis le jaune jusqu'au noir, IX, i45.

-«-(essai sur la). Exposé des théories de la cembustion, par mad. Fulhame, XXVI, 58. Objections qu'elle &it à celles de Stahl, de I^avoisier, 59 , 60 et suiy. L'hydrogène de l'eau est , suivant mad. Fulhame , l'unique substance réductrice des corps %xîgénés , et l'eau l'unique source de l'oxigène qui bfâle lés corps, 63. Réduction 'des métaux par - le gaz hydro- gène fayorisée par Fean , 64 et suiv. L'éther et l'alcopl n'opèrent pas ces réductions sans l'aide de Feau , 67,68, '/o, 71. Conclusion que madame Fulhame tire de ses expériences, 67, 71. Ré—

G a

1

^OO T.ABI.S oivÈRALZ-

daction tentée par le soufre, 72. Manière donf l'eau agit dans ces expériences, 73, V^'y?^* ^^9 82 , 83. Résultat des expériences faites avec le sul-^ fure alkalin , 7?. Réduction' des métaux avec le

' charbon par la voie humide., 76. Couleurs qu'offre cette réduction, 76. Action de la lumière dans les réductions métalliques, 78^ 7g ^ 80. Réduction des métaux par les acides, 80. Comment elle s'opère , 81, De quelle manière s'opère Toxigénation . des corps combustibles ^ 82 , 83 , 84,

du gaz hydrogène dans des vaisseaux clos. Voyez gazomètres.

V* du phosphore. Voy. phosphore.

Composés binaires , VII , 67.

Composition des sels. Pesanteur spécifique de l'acide «tiuri'ilique le plus fort que l'on puisse préparer ,

. XXV , 284. Degré de concentration auquel M. Kir*

., wan a porté l'acide nitrique , 286. Quantités propor*

. tionnclles des acides absorbés par différentes bases , 289. Quantités proportionnelles des bases néces- saires à la saturation des différens acides pris pour ^chelle.«Qiiantités proportionnelles des bases néces- saires à la saturation des acides les plus forts , 290. Parties constituantes de différens sels, 391. Moyen proposé par le cit. Guiton pour vérifier exactement les proportions des substances qui entrent dans la composition des seU , ^92 et suiv.

CoNCRÉTio^ïS. Examen des capsules surrénales d'un

chat, qui ont été trouvées entièrement pétrifiées ,

XVI , 96. Opinion des physiciens sur les capsules

surrénales, des animaux , 98.

'•«-arithriques. Analyse d'une de ces cox^crétiods pro*

S>SS MATlil1l£S. loi

Tenanl d'un ulcère au pied d^ln goûteux^ a offert do Famte de soude, XXX , 65.

- biliairef de forme ovoïde, de structure lameTlcuse difièreut des pierres biliaires ^ III, a/jS et suiv.

- pierreuses des poires. Comment elles ont clé con- sidérées par Duhamel, XVI, io5. Sont formées par une matière pierreuse confusément cristallisée,, mélangée d'un peu de fécule amylacée , 108. -salines; ne se trouvent qu'au bout de quelques an-

néçs dans les huiles volatiles, IV, 2o3.

- crinaires. La matière particulière que M. Péarson en a obtenue a été, selon lui, regardée comme do peu d'importance par Schéele. Réponse du citoyen Fourcroy qui prouve au contraire que Schéele la regardoit comme le véritable acide du calcul , qui depuis a été nommé icide lithiquc^ XXVII ^ 23o. Expériences de M. Péarson sur deux calculs uri* naires , 23i et suiv. La matière qu'il en a obtenue , scion lui , n'est point un acide ; il regarde ce cor|)S comme une espèce d'oxide animal, qu'il nomnio oxide ourique ; caractères qu/il assigne à cet oxide , 339. L'acide nitrique le décompose et le convertit en acide carbonique et en ammoniaque , 24o , 24i , 34^* Résultats de ses expériences sur la portion d<> calcul non dissoluble dans l'alkali caustique, 244. Sur la portion sublimée , 246. Ses conclusions d'a- près cette dernière expérience, 2'i6. Calculs uri- naires et autres concrétions dans lesquels il a trou- vé de l'oxide ourique qu'il croit ne point exister dans les calcul| des hommes nourris de végétaux , 248 , 249. Extrait des recherches de Schéele sur le bezoard ou pierre de la vessie, a49 ®* smy. , qui ^

G 3

Belon lui y est composé d'un acide concret , 253. Le même acide ^ suivant cet auteur , se trouve en pe- tite quantité dans toutes les urines. Substances qu'il a trouvées dans l^urine indépendamment de cet acide , a54* Résultats des expériences de Bergman sur les mêmes substances, 255 et suiv. Résultat des expénencQS du cit. Fourcroy sur les calcul» urinaires et plusieurs atttres concrétions, 261 et suiv. Caractères généraux qu'il a ajoutés s ceux donnés par Schcele aux concrétions urinaires, 262^ Sk65f %6'k. La matière que ces concrétions contiens nent difiere de toute autre substance animale. Subs- tances avec lesquelles l'ncide lithique se trouve quel- quefois associé > 266, 267. Altération que l'acide nitrique fait éprouver à l'aâide lithique , 267. Ob- servations du cit. Fourcroy sur les expériences de M. Péarson, 968. Interprétation inexacte donnée par Ce dernier aux cliimistes suédois et (ranç^is. Ce quo ces chimistes nomment acide lithique est la ma- ttèfe nommée par M. Féarson oxidc ourique , 270. Preuves que le cit. Fourcroy donne d'après les ex- périences de M. Péarson > que ces deux substances ne sont qu'une mome chose, 271 et suiv. Légère différence entre les résultats des expériences de M. Féarson et celles de Schécle , 274, zjj* Celles de ce premier n'offrent rien de nouveau , 278. Ma- nière dont le cit. Fourcroy regarde les calculs uri* naires, 285. Observation importante qu'il fait à ce sujet , 284. £n quoi consiste la matière particulière des calculs urinaires humains , 285. Espérance du cit. Fourcroy, que ces travaux sur les concrétions pourront être uoi jour utiles à l'humanité, 288. In-

Dits Matières. ip3

vitalion qu'il fîdt aux mpdecin^i cliirurgieip «t na* turalisles^ agi etsuiv. Produit de.raBai74e de trois espèces de calculs urinaires obteaus par le citoyen Guiton , présentés à l'institut mtional , sg4. Des* cription de ces trois calculs^ 296 et suiv.

^- qui se forment dans les huiles y voyex huiles vola-> tUes. Propriété de la coa^ffélion déposée par Teau de canolle^ XXI , 188*

CotTFMMiTjt ritndaris. Conpée en niorceanx et délayée dans l'eau » présente des globules ronds *>mine ceux de la' matière verte» ZII, 370. Sa propriété, 87 172.

CoKGCLiJiTioK. Effets de la congellationsitr l'eau de la iner..Voy. eau de la mer.

de Peau y dépend de la disposition de h^ molécnles.

IV,a46. CovKoisaAKCBS nécessaires a tout homme qui veut

exercer quelque partie de l'art de guérir j XXII »

81 , 82. CoKsiosmATiovs pUogométiâqnes , XXVIII, 77 ta

snir. CoBTREPOISONS. XXVIII > 25i , a52. CoQviiwLLS d'ceu&. Poids de neuf de ces coquilles,

XXTX , 5. Sont composées de carbonate , de plios-

phale de chaux et de gluten animal ^ 6. Source d^

la nuilîère 4e ces coqusUes, la et «nîv. Co&4LUtE (analyse de la). VIII , 3o8. Action de

Tcau j 3i 1. De Tacide muciiitique, 3i 1. De l'acidp

nitrique, 358. Résumé ëes principes de lacoraline

avec leurs proportions ,317. •— de Corae. S<m analyse , IX , 83. Ses caractères , 83 y

84. AcUoB de l'eau froide sur la ooraline , 84 , 85 ,.

86. Action Ae Tvau bjuillaute, 86, 88. Oélaiine

G 4

extraite par la décoôlion. Son analyse, 89, 91. Ré- sultat de Pannl3rse de la coraline , 94.

CoRNEENNE'^ contient du carbone. Mise en contact avec Toxigène de l'atmosphère exhale de l'acide carbonique^ XXIX > i5o , i5i.

Corps. Leur nature peut être altérée sans qu'ils chan* gent de forme , V , 78. Les corps composés de la nature peuvent , selon M. Fcarson , être décom- posés parle calorique et la lumîèi^, dans un état conrensible de condensation , XXVII ^ 169. Noms des physiciens qui se sont occupés de connoitre la^ pesanteur spécifique des corps solides , XXVIII, 3. Expériences du cit. Brisson à ce sujet , 4* Ganses générales des difficultés qu'on éprouve à réduire les diiFérenS corps de la nature , qu'on soumet à l'ana- lyse y a leurs principes conslituans les plus simples, . 189. Un corps oxidé est d'autant plus actif qu'il contient plus d'oxigène , 346. La fixité et la fusi- bilité des corps 1 suivant le cit. Fonrcroy , ne sont que relatives. Objection de M. Carradori à ce sujet,

XXIX , 93.

^«( mouvement singulier de certains ) sur l'eau. Cauèe de ce phénomène , selon M. Brugnatclli , XII ,03, 54.

•— colorés , réfléchissent des rayons de lumière blan- che, IIIi 187 , i38, 139 , i4i. Les pierres, malr- bres et granits qui perdent une partie de leurs fa-« cettes par le poli , conservent cette faculté , i4i et suiv.

- colorés en rouge. Expériences qui prouvent qno ces corps pnroissent blancs on blanchâtres lorsqu'on les regarde à travers un verre de couleur rouge ,

BEs Matière a. tojk

X j Qa6. Ponrqaoi des verres bleus , veris et vio- lets ne présentent point de semblables résaltats, 23 1 et 8uiv. Antres expériences faites avec un verre coloré en rouge, au travers duquel lea objets diver- sement colorés paroisscnt plus ou moins rouges , 333 et sniv. Expérience qui prouve que c'est à l'in- tensité de 1b lumière qu'on doit attribuer les phé- ncunënes qui ont Heu dans cette expérience , a4i et suiv. Cause de l'affoiblissement des couleurs ronges lorsqu'on les regarde au travers d'un verre Totige j !i5o, a53.

combustibles. Leur capacité , selon Crawford , est augmentée par l'oxigénation , Y , 22y, Leur divi- sion en trois classes, Ylîf S6 , 67.

*^ huileux. Analogie de leur mouvement snr l'eau avec quelques autres mouvemens qu'on observe dans la nature , XXI , uàg.

humains, iieur décomposition dans la terre, Y ^ i5g. Faits inléressans qu'offrent leurs différentes parties décomposées, i6u et suiv. Parties qui subsistent le pins longtemps, i65. Leur changement de couleur ^ 171. Parties qui s'altèrent le plus promptement, 171 , 178 et suiv. Gaz meurtrier qui s'en dégage à une certaine époque , dangereux aux hommes qui y sont exposés, 178 et suiv., 175 et suiv. Opinion snr les principes de co gaz, 1749 176.

non odorans , {fl'ésentent , quand ils sont chauds, les mêmes phénomènes que les matières odorantes* V07. corps odorans.

*- odorans. Une substance odorante concrète mise sur une glace mouillée ou une soucoupe recouverte d'une légère couche d'eau , fait écarïer l'eau sur-le*

loS Tablé GËHÉXAtÉ

tances qui entrent dans la composilioa île la couleur noire deBain. Dins celle de la vraie CDuteor loirge, XXVIII , 3IO et Buiv. Couleurs employées par M. Wedgwood pour les diffùrpiitea figures de ses Giïnn- ccB. Inditaiion des malériatix, 33o. Mélanges de» couleur!, 33i. Application du tirnnze sur les,cou- leurs , 33i. Application du brome sur les biscuit» qii'oa ne peut pas exposer à un grand degré â« chikuCj 333. Applîcalion du noir, 333.

■~' bleue, jRuae «t rouge, regardées comme formant toutes les couleurs par leur combinaison. V07. opî- Dion de Bcrihollet IX, 140, i4i.

^ humides , sont altérées par les rayons solaires , IV, 143.

^ rouge du sang est le résultat de la dissolulion du gsz 0:iigène avec le sang , selon Hassenfcalz , IX , a6a à 374. Couleur brune ou noiràlr? est le résultat de la combinaison de l'hydrogène et du carbone dit sang avec l'oxigène qui y étoit dissous , selon Has- eenfratz , 366 à 374.

CouPELLrtTiOH. Voy. manuel de l'essayour.

Coupelles. Leurs usages. Voy. manuel de l'essayeur.

C!iAiE retirée des cendres obtenues de le^combustioa de l'extrait de quinquina, VIH, i48. Décompose sulfate-de coude, XiX , 6a , lai.

noire deBareuth, analysée par M. Wîegleb, coif tient silice, alumine, terre ferrugineuse, carbone ei eau, XXX, i3.

lesquelles »ont les plus propres à la nilrification , KX, 309,331,333.

AYOKS. ïUaiières qui entrent dans la composition les crayons srtiûcicls , XX, 370. TVipport avants-

D E Matières. 109

^ax fait à Tln^tihit sur ceux du cit. Conté , Zj^ et wiv.Résultats des essais faila avec les quatire espèces de sa composition j 38o. Substances qui entrent dans ia composition de ceux de pâte de sanguine ^'XXX, s86. Procédé indiqué par le cit. Lomet pour leur fabrication , 286 et suiv. Proportions des substances au moyen desquelles on obtient des crayons de dif- fiérenl es qualités ^ 291** »- d'£.«pagiie. Pierre qui se trouve avec l'amianthe \ composée d'alumine et de 6 a 7 pour 100 de char- bon pur. Stroitj selon lU. Proust, très-propre à entrer dans la composition de l'encre , XXV , a5o.

Ceêxb est épaisse dans le lait de vache ^ plus encore dans celui de chèvre et de brebis , mais moins abondante et plus fluide dans ceux de femme , d'anesse et de jument , VI ^ 194. .

Nouvelle , exigé plus de temps et de mouvement pour donner du beurre , YII > 169; En contact avec l'air , présente à sa surfisice des mucors et des bis- sus , 169.

^* de RoquefortjB Sa préparation , ses qualités , VI ,

5i.

de tartre. Sel essentiel qu'on tire du .raison ^ XIV, 7.

M

C&isTADx» Leur théorie fournit des caractères cons- lans , m 9 3 , 27. Observation de leurs joints natu- rels, 4. Ont un noyau de forme invariable rela* tivement à chaque espèce , 5. Coupes pour en découvrir le noyau ou la forme primitive , 6. Lçix suivant lesquelles les molécules intégrantes se combinent pour produire les formes secondaires

/

112 TaVIE oiNÉR

A L E

»— de roche. Revêtus d'une couche déliée de calcé* doine j V, 76< Substances qui se trouvent à la sur-^ face de Peau renfermée dans les cavités de quelques* uns de ces cristaux, XIX, 372.

». de roche ou qoartx limpide, n'éprouve aucune fu- sion au feu le plus violent. Cause de l'arrondisse- ment de èe$ angles et des signes de ramolissenient qu'il donne au feu , selon Lavoisier. Pourquoi l'ac* tion du feu est plus sensible sur le quartz mélangé , XVI, 3o3. Ce qui donne lieu de croire au natura- liste Lainanon que le cristal de roche est, ainsi que le diamant^ une substance combustible ^ 3o4. Ob« servations du cit. Monge sur cet objet, ao6.

Crotin de brebis ; son utilité dans le bain de garance, IV, i43.

Cruches rafraîchissantes , ou alcarazas d'Espagne , XXV, 167. Description de ces cruches dont on croit devoir l'usage aux Maures, 168. Les Egyp~ liens font usage de*vâses de terre qui ont la même propriété et qui sont très-communi 5ur les cotes d'Afrique , i6\j. Cause du rafraîchissement de l'eau qu'elles contiennent, 167, 169. Propriété d'une autre espèce d'alcarazas, 167^ 169. Opinion du C. Salior sur la composition des alcarazas communes , 167, 169. Observations du cit. Guitoasur ces vases, 171.

Crysocole. Voy. bleu de montagne.

Cuir. Mémoire sur la question de trouver le moyen ûe le rendre imperméable à Veau , X , 44 et suiv. Le cuir furt de vache, en bouillant dans Tcau après 7 avoir trempé; peM de ses dimensions, devient

dur

Air et cassant, XVni, a3. Coi^eur de l'eau. Résida

^u'on eo obtient. Propriété de ce résidu , aS, Moyen de connoitre si l'acide galliquo est combiné ayec le coir par les opérations dn tannage , 34* Différence da cuir vert au cuir tanné , aS, Comment on fait passer le ctitr vert à Tétat de cuir tanné. Méthodes principales employées pour la préparation des cuirs. 26 et suiv. Matières dont on fait usage pour cette préparation , So, Sa^ 34, '65. Procédés pour tanner les cuirs avec avantage, 38 et siiiv. Cuir d'œuvre. Sa préparation. Son usage, 4^. Procédé pour cor^ royer le cuir, 44 ^^ suiv. Expériences qui prou* vent que tontes les espèces de cuirs absorbent plua ou moins d'eau, 48 à 62. E peces les plus imper- méables à l'eau. Ce qui contribue a leur donner c«tte qualité , 55 ^ 5j. Espèce la plus perméable , 66. Procédé pour rendre le cnir imperméable à l'eau par les opérations connues du corroiement , en y ajoutant le laminage et le graissement, 58 k 61 OciTRE. Moyen d'émailler sut ce métal, -IX, 308^ 209. Procédé du cit. Auguste pour le séparer de fétain dans l'alliage dn métal des cloches , 344> Sous quel état il décompose les sels neutres à base de soude, XIfI> a8. Procédé économique du cit. Chaptil pour'l'oxider^ XXV ^ 325. Sa pesanteur et son volume spécifique lorsqu'il est travaillé ou fon- da, XXYII, io4- Quantité d'ézigène qu'il absorbe^ en se dissolvant dans l'acide nitrique, XXVITI, 44* Sous quel état il est dans le sable vert du Pérou et dans le muriate natif du Chily^ aai. Son action 3uc Tome L H

ii4 Tablk gÏkb&alb

les animaux dans son état métallique. Cause de sa propriété irritante et corrosive^ 34^.

^«doublé d'argent. (Les ustenciles de cubine) do MM. Tugot et Daumi dont la feuille d'argent a^-^ de ligne d'épaisseur^ résistent à l'action du yiuaigro et de l'acide muriatique bouillant ; résistent aussi à un feu vif y lors de la préparation des alimens ; ont d'ailleurs beaucoup de solidité, et peuvent être em- ployés en toute sécurité , sur-tout si l'épaisseur do l'argent étoit portée à -^ de ligne , VI, i36, 141.

CvAMTB du mont Sl.-Gothard. Son analyse , VIII , 3a6.

Cyanomètre. Sa description;» son usage, X, i5a»

D.

D

ANCUS carola , Linn. Expérience sur la petite fleur rouge de l'ombelle de la carotte jaune , XXVI , 293.

DÉCOCTIONS des bois et des écorces jaunes ou rouges ; couleurs successives qu'elles acquièrent par le con- tact de l'air-, V, ^ , 88. Ces couleurs peuvent étro employées dans la peinture ,89.

•Décomposition de plusieurs sels neutres par la chaux. £xamen des expériences de Schéele sur ces décom- positions. Sur celle des sels neutres par le fer. Par le zinc , XIII , 5 et suiv. a6 et suiv.

••^ chimiques , par triples affinités. Conclilion pour qu'elles se fassent complettemcnt , XIII , 23.

réciproque. Substances qui se décomposent à une température inférieure à zéro j et point à une tem- pérature supérieure, XIII, 68.

DÊcouTEitTEs chimiques (nouvelles) applicables à la

physique animale , XXVIII , a3o. Déçrzvsage. Opération préliminaire et indispensable

à la tciniisre du ûl et du coton y XXI , 291 .

DicxoissEKENS (les ) produisent toutes les formes se- condaires des cristaux j III, i4.

DéPART du cuivre d'avec l'étain. Expositions de di- vers procédés qui tendent à unir à l'étain la pro- portion d'oxigcne nécessaire pou^ la brûler çans oxider le cuivre , IX , Ooj et suiv.

du métal des cloches par les acides^, IX ^ 328, 332.

DrssicATfON. Son utilité dans chaque procédé pour la teinture avec la garance, IV ^ i55.

DiTONVATiOK. Le mélange de la pierre infernal^ et le soufre frappé avec un marteau froid , produit des détonnations. Le même phénomène a lieu avec un mélange de cette pierre et de charbon , XXVII, 76 > 79, 80. Obi^ervations de MM. Brugnatelli et vin MonSj sur les détonnations^ 83. Procédé pour es opérer 9 84. Manière dont le cit. van Mons croit que Toxigène et le calorique agissent dans les dé- tonnations, 533. Motif qui empêche M. Brugnatelli d'admettru la détonnalion par le choc, XXIX, 187 et suiv. Dctonnation violente produite par un mé- lange de soufre et de phosphore , attribuée par M. Mossin à l'expansion d'un gaz particulier, XXX , 7.

instantanée. Accident qui en a résulté , V , 273.

DuBETE sucré, considéré par M. Rollo comme une maladie de r(n*gane de la digestion et non des reins, XXIV, 175, XXVIII, 1175. Action de la matière

JJa

ii6 Table oiNÉ&ALE'

sucrée qui se formé dans l'estomac sur les urines f

176. Traitement de cette maladie. Remèdes em- ployés pour prévenir la formation de cette matière ,

177. Quantité d'urine rendue chaque jour par un malade y 177, i84i i85. On obtient par l'évapora* tion de cette urine un extrait sucré qui, traité avec l'acide nitrique , donne de ^l'acide oxalique, 18 &. Résultat de l'examen comparatif du sang d'un dia- bète avec celui d'un homme sain , 182. Indication d'uii acide animal inconnu , produit par l'action do l'acide nitrique sur l'extrait de celte urine, 182. Propriétés de cet acide qui se retrouve dans l'urine de sujets en santé ^ 184* Ne doit plus être considé- comme une maladie iucurablc , 188. Expérien- CCS qui prouvent 'l'utilité des remèdes employés dans le .traitement de cette maladie , XXV ^ 37 à

Diamant. Sa combustion, XI,- i56. Description la province du Brésil qui en contient, XV, 83. Les Paulistes découvrirent les mines qui existent dans cette province , 83. On trouve les diamans dans les croûtes des montagnes et les lits des rivières , atta- chés à une gnngue, 85. Figure de ces diamans^ 8(>. Comment se fnit l'exploitation 9 88. Laissé dans la classe des siliceux, par M. del Rio^ XXI, aaa. Rangé par M. Napione parmi les fossiles^ XXIV , 194. Doutes du même auteur^ sur sa nature com- bustible y i94*Brulépar La voisier en vaisseaux clos, au moyen d'un verre ardent. Propriété du gaz qu'il a obtenu , XXV , 72t. Brûlé par M. Tenant , au 4noyen du nitre , 73. Le gaz produit par cette com« èuslioa paroît composé des mêmes principes que

1) B s M A T 1 i R £ s. 117

©eloî retiré des «ubstairces calcaires, 76. No!e d^ citoyen Gtiiton, à ce sujet, '/il. En quoi il diffère, snirant M. Humboldt, du charboQ végétal, XXIX^ i45.

BiAPHAMOMikTRE. description , son usage , X , i53.

Dictionnaire de chimie de l'encyclopédie métliodi-»^ que, commencé par le cit. Guiton , continué par le cit. Fourcroy, XXVIII^ 69, 60. Le troisième vo- lume dont le cit. Adet a fait un extrait, commence parle mot carbonate , et finit par le mot chisiie, 6u Le cit. Fourcroy examine les propriétés f Wjmunes des carbonates et passe à l'histoire de chacun de ces sels I 61. Le carbone^ suivant cet auteur, ne doit pas être confondu avec le phlogistiquc de StahL Le caractère spécifique du carbone est de former de l'acide carbonique avec l'oxigènc , 62. Après les détails qu'il donne des propriétés chimiques du carbure , il conclut qu'il est une des eubstanoes composées binaires qui' se présente 1q plus dans les analyses chimiques, 63. Ensuite l'auteur examine la causticité qui dépend de la décomposition des ma- tières animales, la causticité qui dépend de leur dissolution et ce\]fi qui dépend de leur combustion , 64- L'article cendres offre les différences qui exis-^ tent entre les cendres des substances végétales et animales, 64, 65. A l'article cerveau il conclut, d'aprèa ses expériences , qu'indépendamment de la pulpe animale , le cerveau est composé de chaux , d'ammoniaque et de soude > 66. Il fait observer, à l'article chaleur^ que la chaleur n'est que la sen- sation que nous fait éprouver le calorique , 66, A

113

ii8 'Tàbis génAralis

l'article charbon il présente tout ce qu'il importe de savoir sur son origine , son extraction , sa prépara- tion y ses usages, 67. L'article chaux comprend tout ce qui est relatif à cette substance, 6y. L'article cheveux renferme ce qu'on sait de leur analyse à feu nu y de leur usage en physique, la manière dont on peut les colorer, 68. Dans l'article chimie , l'au- teur a présenté l'histoire de la science , 68 et suiv. ,

75.

jDlOSTATIMÈTRB, VII, 49-

Dissolution d'étain. Son usage dans la teinture. Cau69 de la fffférence dan« les effets , IX , i5a, ]53.

•—de fer pnr les acides nitrique et muria tique , ne peuvent remplacer le sulfate de fer dans la compo- sition de l'encre 1 XV, iSy.

»— métalliques , sont décomposées par les sulfites àl« kalins et terreux, et forment des sulfites métalliques, XXIV, a53, a63, 371 , 286, 5o5.

DÔNNU. Fruit du palmier, qui est le cuci de Théo* phraste ,XXIX , aoi.

Double réfraction. Substances qui possèdent, ainsi que le spalh calcaire , la double réfraction, XVII^ 142, 146, i5o, i52. Manière d'observer la double réfniction du cristal de roche, 146. Substances que les physiciens ont citées comme ayant la propriété de causer aux rayons de la lumière une double ré- fraction, i54*

Duplicateur , ou doubleur d'électricité. Description de cet instrument de John Read, XXIV ^ 3^7.

Duvet du fromage de Roquefort. Sa couleur^ IV, 49, 56 et suiy.

UEt MATlillBS.

£.

119

E

AU y est composée de 85 parties d'oxigène et de \5 d'hydrogène y II » 2a3. . Est décomposée par la Tégétation, III^ 62. Procédés des chimistes français pour en opérer la composition et la décomposition > 68 et suiv. Recueillie par Priestley par la combus-t tîon da gaz inflammable , n'étoit point acide , 79 , 95 et suiv. La quantité obtenue est inférieure eu poids aux gaz employés ^ 80, 100. Expériences sur sa formation ;, 66^ 69, 70 j loa. Peut se formera de frès-hau les températures 4 109. Ce qu'une livre à 60 degrés peut fondre de giace , 170. Purgco d'air et exposée a l'atmosphère, phénomène qu'elle présente ; .171 et suiv. Sa vaporisation , 172 et suiv. Phénomène qu'elle présente | XXX , 3^4. Moyen de la conserver, 307. Est décomposée par la com- binaison du phosphore et du soufre , IV , i4- Son action sur le carbonate de baryte, voy. carbonate . de baryte. Son action à froid sur la garance , i47- Se refroidit sans se geler au-dessous de congella- lion, 100 et suiv. Le mouvement favorise sa^con- gellatîon , 25 1. Se congèle par un froid subit, 244*. Distillée se refroidit plus que l'eau commune sans se geler, 242. Mélangée d'un fluide élastique^ ne peut a'abaisser au-dessous du terme de congellation •ans geler, 232. Forme qu'elle prend lorsqu'elle est abandonnée par l'air, V, 29 et suiv. Son affinité pour l'air retarde sa chute, 3i. Son union avec de certains corps, selon Crawford , augmente leur ca- pacité^ 227. Ce qu'est sa capacité à celle de la va-

H 4

lao Tablx ciyéRALs

peur aqueuse , :i58. Sa décoitiposition par ^étincelle électrique, XXVI, açô. Procédé et appareil de MM. Sylvestre et Cliappe , pour opérer avec faci^ lilé et abondnmment cetle décomposilion , VI, »2i ^ 126. Découverte de sa cotTiposilioa , à qui elle est due, VII, ^4. S^ vapeur, selon Priestley, est lac base de toutes les espèces de gaz, i43. Sa compo* sition, par les citoyens Fourcroy, St;gain et Vau— quelin, avec le gaz oxigène retiré du lAuriate sur^ oxigéné de potasse, et Thydrogène retiré du zinc dissous dans Pacide vitriolique , u'a manifesté au- cun si^^ne d'acidité j 260, 261. Sa dissolution par Pair, VIII, 74. Théorie de son évaporation, j5m Réflexions de M. Carradori, sur les expérience» de M. van Troostwich et Deinian, sur sa décompo- sition, XII, 47 etsuiv. Opinion de M. Fontanasur sa décomposition, 162. Pure, dissout moiirs de sel que l'eau saturée d'an autre eel , XIII , 96. Sa com- position par combustion continuelle , par M. vaa Marum, XIV, 617 et suiv. Appareil dont il se sert, 3i5 à 3%3. N'est plus propre à la teinture lorsqu'elle a passé plusieurs jours dans un appartement échaufPé, XV, 272. Expérience des cit. Lavoisier et Haiiy^ pour connoilre la pesanteur d'un volume donné d'eau distillée, XVI,, 272. Résultat , 274. Vaisseaux les plus propres à 1^ conserver dans son état de pu- reté^ XVIII, 89. Inconvéniens qui résultent de l'usage des vases de bois pour la conserver. Moyen d'y parer, 90. La poussière de charbon et l'acide «ulfurique employés en même temps ont la pro- priété de la préserver de la corruption et de la purilier lorsqu'elle est corrompue, 91 etsuiv. Pro*

B K s M A T I & R s s. 191

«édé, €^, et 8uiv. Selon Lavoisier^ il s'en forme pendant l'inspirntion, XXI^ au/. Eut décomposée par le contact des plantes , à l'aide des rayons so- laires, 29a. A la fflculté d'absorber l'oxîgènede l'air almosphérique , XXIV ^ 217. Saturée d'acide suif a reiix exposée à la température de iô-f-o> donne dil gaz acide sulfureux , 238. Moyen du cit. Guiton d'en fournir presque sans frais pour les expériences chimiques , 5io. Renfermée dans une boule de verre ^ sa congellation s'opère au moyen de l'éthor, XXy, 167. Expériences de M. Rumford, qui lui prouvent que l'eau est un non conducteur absolu da calorique 9 374. Contenue dans l'air atmosphé- rique est , suivant M. Schéele, l'unique cause de Fignition du phosphore , XXVI ^ 85. Son action dans la réduction des métaux^ 63 y 64 , 67, 66 , 70, 71 , 73 , 74, 75,81 ,82, 83. Réflexions de M, Priestley sur sa décomposition. Réponse du citoyen Adetà ces réflexions > 3o4y 3o5. Réduite en va* peurs et poussée par des tubes rougis, suivant M. Wiegleb , se transforme en gaz azote en se combi- nant avec le calorique, 3ii, 3i3, 314^ 3i8. Ce gaz ne peut, selon le même chimiste , être attribué à la pénétration de l'air extérieur, 3i3 ^ 5i4> Ré- sultat des expériences de MM. van Hauch et Achard avec différens tubes, 317. Expériences de MM. Dei- man , Paest et autres', qui prouvent que la forma- tion du gaz azote mêlé d'acide carbonique qu^s ont obtenu est due a la pénétration de l'air exté- rieur dépouillé de son gaz oxigène, 33 1 , 332^ 334. £xamen de sa décomposition au moyen de l'élin* .cslle électrique, par M. Péaraon, XXVII, 16 1-

122 Ïa6i/e oévkKALZ

Prooerléa pour l'opérer , 162. Appareils dont il faut se servir dans le cas de détonnations successives , 162. Quantité de gaz qu'il a obtenue de 1^600 dé- charges'successives^ 16a. Paroît être décomposée par l'étincelle électrique avant que d'être dépouillée de l'air commun qu'elle contient , par Peffet du choc de l'étincello, i63. Cas dans lequel l'addition de gaz nifreux donne naissance à des vapeurs d'a-

. cide nitrique, i64« Phénomène qui a lieu après avoir obtenu un demi-pouce cubique de gaz au moyen de décharges complettes, i64- Nature â€à gaz qui se dégagent par ces procédés , i65. Manière dont le feu électrique agit dans ces opérations, 16S. Quantité de décharges nécessaires pour obtenir un

. pouce cubique de gaz de l'eau qne l'on suppose dé- composée^ 167,. 168. Ce qui a lien lorsque l'étin- xelle électrique ou la plus petite portion de flamme se trouve en contact svec le gaz produit par la dé*-

. composition de l'eau , ou avec un mélange de gaz hydrogène et oxigèno , 170 , 171. Examen des preuves que fournissent à M. Péarson ses expérien- ces sur la composition de l'eau et des gaz hydrogène et oxigène, 176 et suiv. Cause de sa décomposition, lorsqu'on la met en contact avec le gaz nitreux , XXYIII j i52. Etant de tous les corps le plus oxi- géné, pourquoi n'a^t-il qu'une action médicamen- teuse très*&ible? 244 9 247* Manière dont le citoyer Wurzer explique sa prétendue conversion en gaz azote, XXIX, 2261 227. Quantité de gaz qu'il a formée dans l'appareil de cuivre qu'il a imaginé, 228. Il en a obtenu également en faisant passer de l'eau en vapeurs ù travers des queues de pipes rougiss ,

1> E s M AT 1 k R B 8. 123

229. MM. Dumaa , A. Faert et au 1res > en répétant lea expériences de ce citoyen ^ dans un appareil semblable au sien, n'oni obtenu que de l'air atmos^ phérique, 2^0, 23 1 , 232. Ces dernières expérien- ces prouvent que le g^ obtenu par le cit. Wurzer, est à la pénétration de Tair dans les vaisseaux ,-, 334. A la température de 10 degrés du thermomè- Ire de Réaumur, fait baisser le mercure de oA | XXX^337.

bouillanle. Sfi température varie en raison de la pression de l'atmosphère. De Iq forme et nature des vases , X^ 5oy 5i. Rapport entre l'augmentation do son volume et la quantité de sel de différentes na- tures qu'on y dissout > 58 et suiv.

Température de celles de quelques lacs et de quel* qnes rivières â différenles profondeurs, X, 149*

trouble , se gèlo au-dessous de zéro , IV , 233.

de puits^ se gèle au*dessoas du terme de congcl* lation , IV , 25i. Résultats des observations faites par M. Blagden , sur les eaux de paits. Différence de température entre les eaux de deux puits d'une même maison , XXV, 81 , 82.

des puits et sources de la vill#de Véronne. Subs- tances qu*elles contiennent, XII, 147.

aéréeç de Fougues, supportent 18 ou 20 degrés de froid sans se congeler , I, 84* Leur température constante , 84* Leur propriété. Leur pesanteur spé- cifique , 85. Substances qu'elles donnent par l'éva- poration , 87 et suiv.

*— aérées de 5t. Farize. Leur surface a gelé le 3i âé** cembre 17881 1, 91. Leur odeur. L«ur propriété*

124 Table oéuÉRALi

Leur pesanteur spécifique^'çi , 92. Substances qu'elles donnent par Tévaporàtion ,\4 et suiv.

acidulée d'Asciano. Son analyse , XII, çS.

•i^ acidulé de Doenu-Sai^. Analyse de ces eaux, par M. Hacquer, XVI^ 211.

•— de B*îginères. Leur analyse, par Bayen. Substan- ces qu'elles contiennent , XXIX, 27.

•— de Buxton. Leur analyse^ X, 190.

de Caldaa. D'une odeur sulfureuse, XXV, 180. Forme des dépôts de soufre elle séjourne. Trans*

ferme en sulfate de chaux les matbres qu'elle tou- clie; attaque le fer et noircit l'argent; contient un

- vingtième de son volume de gaz ; décompose le savon , 181; Action de divers réactifs sur cette eau , 182 ; i83. Produits obtenus par son évaporation , i84.

•— de chaux ,• dissout un peu de carbonate de chaux, III j 68. Décompose la dissolution de tan , XX , 54» Très-bon réactif pour reconnoitre les substancea propres à tanner/ 55. .

*— degeyzer, en Lslande. Voy. eau d'Islande.

hépatique. réactif dans une dissolution combi- née de plomb , de cuivre , de /ino et de fer , les sépare tous successivement, XXVIII, iîi5.

d'Islande. Leur odeur, XVI, 4». Action de l'eau de chaux sur ces eaux. Actian de ces eaux sur les couleurs végétales, 4^. odeur qu'elles répandent sur la fin de leur évaporation par la chaleur, 4^. Couleur de la n^tière sèche qu'en obtient de l'eau du rykum. De l'eau du geyzer, 4^- -Leurs parties

constituantes , 47. Phénomènes qui ont lieu dans les expériences pour connoître la quantité d'alkali

DES

MATiiRES. ia5

qu'elles contiennent , 5o et suiv. Expériences faites I poar déterminer la nature et la quantité de la ma-

tière terreuse, XVII, ii3 et suiv. Action de la matière ci)Iorante du tournesol sur le sédiment de l'eau du rykum, ii4< Substances qui contiennent ces eaux^ 1:17. *-deLuce. Sa préparation^ XXTV, 119. Essais inr fructueux de M. Nicholson , pour en feire d'après les prcKédés de Macquer , XXV , 'jo* Substances qu'il a employées dans la composition^ 71. Procédé du ctt Chaptal , 72.

de £nchon. La grande quantité de soufre que ces esux contiennent y est en dissolution au moment elles sortent de la terre. On peut l'en séparer en ajoutant quelques gouttes d'acide nitrique à l'eau minérale pure, XXIX, 28. Déposent des flocons soyeux et gélatineux. Contractent de la blanckeuc dans les baignoires, 29. Donnent par l'évaporatioa du sulfate , du muriale et du carbonate de soudc^ 3o. La matière pclliculaire qui se rassemble sur ces eaux pendant leur évaporation est une substance terreuse susccpiible'de se vitrifier^ 3o. Substances dont CCS eaux sont composées^ 3i. Cause de la cbaleur et de la couleur laiteuse de ces eaux, 3i.

médicinalea de St. Genis. Leur analyse , IV, 167. De Cartelletto-Adorno ; leur analyse, 166.

de la mer. Sa dulcillcation par le moyen de conget- lations réitérées. Far le même procédé on peut procurer de l'eau Irès-pure avec de l'eau trouble ; de l'eau ferrugineuse , de l'urine^ du suc de fumien Effet de la congeratiou sur l'eau colorée par la tein- ture de tournesol ^ et acidulée par L'acide sulfurique.

ia8 TaBLC GSNéRALC

tinction des dissolutions métalliques en trois classes relativement à l'effet qu'elles produisent dans les eaux sulfureuses /i 65, i6(>. L'eau d'£nghien con- centrée laisse appercevoir par l'ammoniaque et le muriàte calcaire , te sulfate de magnésie qui n'étoit pas sensible auparavant, 167. La distillation de cette eau est un mauvais moyen d'en retirer tout le g^it hydrogène sulfuré. Phénomènes qui compliquent

. les résultats. Il se forme par l'ébulition un sulfure terreux qui n'existoit pas auparavant, L'évaporation

au bain marie ne donne pas le même effet , 16Q, 170. Si le soufre reste mêlé au résidu des eaux , les principes fixes ne peuvent plus être appréciés exac* tement, 170, 171. En dessoufrant le résidu, la dé^ tcrmination des substances qui le composent est fa* cile, 171 > 172. Proportions de toutes celtes qui en» trent dans les eaux d'£nghien, 172, ij3. Le soufre évaporé spontanément de ces eaux forme de l'acide sulfurique que l'on trouve sur la voûte de la source. Le soufre déposé au fond ou à la surface des eaux est mêlé de carbonates calcaires et magnésiens de- venirs insolubles par le dégagement de l'aciHe car- bonique libre , 173.

sulfureuse de Lu en Monlferrat. Son analyse , X , 43, 44.

■— de Thuren. Son analyse, XI, 20a.

de son. Sert à préparer les peaux qui doivent être teintes en rouge ou en jaune, XXI, 242.

•— de Viclii, ont une odeur d'onif couvé et contien* nent du soufre, X.V, 33o.

de Wildung, près CasseL Leur analyse, par M,

Slurke.

DKS Matières. lag

Stade. Substances qu'elles coatiennent, XII, 53o^ 33i.

propre à faire périr les insectes. Préparation de cette eau. Manière "de s'en servir, XVU, aia,

fmti-incendiaire. Son essai sur des matières coin- bostibleS) V, i4a. N'est pas plus propre que l'eaa à éteindre le feu dans les incendies, 14^. Conservée dans des réservoirs à Tubin^^ XI ^ 212.

—les plus propres aux arrosages des nitrières, XX ,

328. •- forte. Sa purification pour le départ de l'or , pour

le touchau , XXX y 3o5 , S06. *- de-vie- Celle qui se fait à Bordeafux est rebrûlée

avant d'être exportée pour l'Angleterre. Degré

qu'elle doit avoir pour être marchande. Voy. vins.

de-vie de carottes. Procédé de M. van Mons pour Pobtenir, XII, yS. Quantité que M. Forster a obte- Eue de dix livres de ces racines, XVII ^ aaa.

de-vie de grains. Distillée sur la poudre de char- bon perd l'odeur fétide qu'elle contracte en séjour- nant sur des préparations anatomiques^ ^III ^ fS. Est décolorée par celte poussière, XIV, 328.

Echelles graphiques, XX, aSç,

EcoRCE de cascarillc. Son analyse ; substance qu'elle

contient^ XXII, 219. —d'orme ulcéré. Substances qu'elle contient, XXI, 45.

de saule blanc. Action de l'air atmosphérique sur sa couleur. Couleur que cette écorce fraîche com- munique à l'alcool dans lequel on la met infuser. Action des rayons solaires su;: cette infusion. Ma- tière qu'elle dépose, XXX, 271. Propriété de cette teinture alcoolique^ 272. Action de plusieurs réac- Tome I ï

a3o Table cÊNiKALB

iifi} sur l'infusion de l'écorce dans l'eau distillée > 273 et suiv. Action de la décoction qu'on obtient de ^ctle écorce B/prèa son infusion à froid , sur quelques substances animales et végétales , 176 et suiv. Ré* sultàt de son analyse , 179.

Efflorescencss des^ murs construits avec des pierres d'ardoises , donnent à l'analyse un sel dont les par- ties constituantes sont du sulfate de manganèse mé- langé de sulfate de chaux, X, aog.

»— salines^ peuvent servir à la fabrication du savon , XIX , 259. On en trouve proche des sources miné- rales, des terres et pierres qui couvrent les anciens bains des Romains, dans la vallée de Luchon , XXIX, Sa. Celles qui avoisinent les sources con- tiennent du sulfate de chaux , d'alumine , de fer , ei quelquefois de magnésie^ 33.. >

>— de sulfate de for et d'alun. Cause de leur forma* tion , XI , 273.

EcRAGOPiLES. Pelottes de poils que certains animaux introduisent dans leur estomac , en se léchant , et qui s'y feutrant par les mouvcmens de ce viscère , VI,3io.

Electricité. Description d'une machine qui sert à mesurer la force eleclrique , II , 3. Cause de la dis- sipation du fluide, 5,6, Moyen d'y remédier, 6 •et suiv. Conducteurs^ leur usage , 11 et suiv. Ma- nière dont le fluide est distribué sur la surface des globes au moment du contact, 18 et suiv. N'a aucu- jic influence sur la végétation, III, 6a. Cause de l'électricité dvÔërente quje donnent certains corps eit iombant sur la plaque d'un électromètre , selon M. l'abbé Vassalli, XII, Ô4 9 56. Procédé du citoyen Vulîa prîur rendre sensible, au moyen du duplica-

DBS Mati&res. i5i

«

levr y P^ctiicilé qui est excitée par le simple con- tact réciproque de métaax différend, XXTX, 91. Le condensateur dont cet auteur se sert avec avan* fage f est un gant de toile cirée , 93.

dite animale y XXIII, 376. Saveur acide excitée - sar la langue par une liqueur alkaline , 276 , 290. L'attODchement des conducteurs de première et se- conde classe éveille le fluide électrique, 277. Cas il n'y- a pas de courant électrique^ 1179. Ce qui le détermine , a8o. Moyen d'^ipêcher le concourt électrique, a8i. Conducteurs de h seconde classe , 3S4- Expériences faites sur une grenouille. Phéno- mènes quelles présentent , '2^i , 298, 298. Classifi- cation des conducteurs, 393, 294. Substances aux« quelles l'auteur donne la préférence pour les expé- riences de comparaison, ^98 et suiv. Expérience touchant le goût excité sur la langue par l'action de deux difiérens métaux, 5oi. Les conducteurs de- viennent moteurs par des attouchemens hétérogè- nes, 5o4. Résultats des nouvelles expériences de l'auteur, 5o5 à 3i5.

Electroxètre. Son usage , XII ^ 54.

Elbctruu des anciens, ou platine , XI , 63. Voyei platine.

Eléhevs primitifs des végétaux. Hydrogène , carbona et oxigène , XXI , 292.

Email. Ce que c'est, IX, 19S. Deux classes d'émaux, les opaques e^ les transpareas , 194. Emaux colorés , principes de leurs couleurs, 195.

Emanations des corps odorans. Moyens délies rendre aensibles à la vue, XXI, 204 et suiv. Phénomène curieux qui a lien en présentant une huile animale

I a

i3a Table eiNiRAL»

rectifiée à du gaz acide muriatique oxigéné , à Pac* tioQ duqnel on avoit expoaé diverses substances , XXVII, ai8.

Emeraude. Conformité que le cît.^Haiiy a trouvée en- tre cette pierre et le béril , XXVI , i56. Différence de ses parties conalituontes d'crvec celles du héril , 168. Contient la nouvelle terre trouvée parle cit. Vauquelin dans le béril dont elle ne diffère que par la par:ie colorante , 168, 175.

•— du Pérou. Pline ç n comptoit douze ospècesi XXIIIy 68. Kéduiteen poudri^ et sèchée augmente de poids. Son analyse , 69. Ses parties eonstiiuantes ,71. Dif- férence entre le résultat de cette enAyse et celui ob- tenu par Bergmann , 7a. Découverte faite en France d'une pierre cristallisée comme l'émeraude du Pé- rou dont elle ne difiere que par son opacité et sa couleur , 73. Son analyse a produit à M. Klaproth , de la silice^ de l'alumine , de l'oxide de fer, XXVI, a5g. Analysée par le cit. Vauquelin, a donné de la silice > de l'alumine, de la glucine , de la chaux et de l'ozide de chrome y 264. Est composée des mêmes principes que le béril, à l'exception de la matièrD colorante^ 265.

Encre. On en obtient une très noire en ajoutant de U gemme arabique au mélange d'une dissolution de sulfate de fer et d'acide galliquo^ XII, 2.96. La noix de galle. et le sulfate de fer en forment la base, XV, ii5. Sa couleur devient plus foncée par l'addition d'une décoction de bois d'Inde j i34, i35. I^ sulfate de cuivre rembrunit et assure sa couleur, i36. La gomme la défend de l'accès de l'air .et lui doime du luisant, i38« Le sucre la rend

DBS H^ATliRBt. l33

difficile à sécher y iSg. L'alun et l'acétite de cniTre doîvenf être exclas de sa composition , iSj , 140. L'eao est le fluide le plus propre a sa oonposition, 143 Proportions des substances qui la composent , i43et6uiv. Manière d'opérer sa préparation, lôo. Sa composition > i5i. Sa conservation , i53. Effets de la chaux sur l'encre , i55. Substances végétales snbsiituées infructueusement à la noix de galle , dans sa composition , i56««Essai sur plusieurs disso- lufions de £er , pour remplacer le sulfate ; résultats, iS/. Les anciens faisoienjt entrer le charbon dans sa composition. M. Proust croit que le crayon d'Es- pagne 7 seroit très-propre, XXV, 2|3o.

de la Chine. Sa préparation > XII , 1 7a.

noire ayant une od<%r de rose. Procédé de Vogler ponr l'obtenir , VI , 4i.

de sympathie , lU , ag6. L'acide benzoïque en bnmit une visible en jaune , parle contact du gaz nitreux et de l'acide nitreux fumant, VI, 33, 34. Nouvelles espèces , par M. Arugnatelli ^ XXVI , agS, 295.

EvouiT propre à conserver les vaisseaux de verre , XXni , 77.

EvGALLAGx. Rend la couleur de garance solide j IV ^ i54. Précautions à prendre après l'eng^Uage dn coton destiné à être teint en rouge de garance , XXVI , «55.

EacRAis. Manière dont ils agissent snr les terres , XI , a8o, a34 et suiv. Pourquoi les plautes cmci- {ères prennent un mauvais goût dans us terrein for- mé par des boues et des matières fécales , 291. Plantée qui demandent tm sol bien fumé, aga. Ao-

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i34 Tablx cék^raI/B

lion mécanique des engrais , 29?. Utilité de la mar- ne f 395. Terre qu'il faudroit ajouter au sol de la Cliampagne crayeuse pour la rendre propre à la ^Iture, 397. Manière dont les cendres agissent comme engra:s^ 297 et suiy/ Utilité de la chaux dans certaines ciirconslances , 399. Méthode de»

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Arabes pour améliorer leurs terres, 3oo. Moyen . d'empêcher les sécrétions animales d'être nuisible» aux plantes, Soi. Les matières fécales sont un en- grais avantageux pour certaines terres , 3o3. Com- binaison savon&nse qui forme nn excellent engrais , 3o6.

Enuhératior des substances sur lesquelles on a &it nouvellement des découvertes ^ XXI , 'Ô06 , Zoj,

Epistevinette. Irritabilité des étamines de cette plan- te, XXIX, 179.

Eponge , traitée par l'acide nitrique donne une suVs- tance nouvelle qui se trouve combinée avec l'amer de' la chair de bœuf. Voyez amer de la chair de bœuf.

Errata des annales de chimie de Brest , XIV , 104 et 5uiv.

Esprit de citron. Procédé de M. Kastcleyn pour l'ob- tenir, XIII, 72. Phénomène qu'offre cette liqueur, occasionné par le froid , yi. Procédé employé par M. Kels , pour purifier les substances qui ont acquis une o^eur et un goût désagréables , yi.

^-> de sel ammoniac vineux. Remarque de M. Hah- nemann sur sa préparation, XXVI, 292.

^- de sel dulcifié. Nouvelle manière de le préparer ,

par M. lan Mons ; X3iLyi , ti^

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s £ s M A T 1 il R £ s. l^'^5

«— de-Tin. IVIojen de foire flotter sut sa surface' des colles massives de ce liquide , V, 33.

de vinaigre dulciiîé. Méthode pour le pré[farer , XXVI, 299.

Essais sur le pouvoir réfringent de divers mélanges et dissolutions , XXIII , 176. Mélanges qui jouis- sent de celle propriélé , 176, -^

^d'oT (rapport sur Tart d'), par MM. Hellor, Mac- quer et Tiller , VI , 64. Exposé des sujets, 64 ,. 6S. £Iémen.<) qui influent sur le résultat définitif des essais, 6li , 69. Expériences pour déterminer lo degré de chacune de ces causes, 1**. De la propor- tion de l'argent à allier avec l'or, 70 , 71 ; 2". de la quantité d'acide nitrique employée au départ , 71 , 73 ; 3**. de la concentration de l'acide dans le départ et la reprise, 74, j5 ; 4°* ^^ rapport du départ à la reprise et de la nécessité de c^lic-ci , 76 , 77 ; 5^. de la durée l'ébulition dans 1c départ et la reprbe , 77, 79. Résultats généraux des expé- riences annoncées , 79 , ^o: Nécessité d'un procédé uniforme et régulier pour les essais d'or. Descrip- tion de ce procédé , 80 , 85.

pyrométrique; XXVI, 225. Rapport de ce qu'est la transmission de la chaleur à travers le sable ^ à la transmission à travei^ le charbon , 227. Les ré- dactions de métaux ne peuvent s'opérer dans le charbon , aSo.

—sur la teinture. Expériences do M. Hausâmaa sur les dissolutions d'étain par les af ides nitro-muriati- que , sulfurique , acéteux, et par ia potasse, XXX , 16. Ses procédés pour obtenir des oxides colorés. Avantages qu'on retire de ces oxides > i6. D^oxi

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l36 TaBLS oéN^RAIB

proviennent les différentes espèces de coulears et * de nuances qu'on peut obtenir a volonté, \j , ^o. Moyen de prévenir la formation du précipité de la dissolution d'étain, 18. Cause de la solidité et de l'éclat des couleurs decesoxidesj 21. Acides dont les précipités formés par leur union avec l'oxide d'étain, ne décolorent pas l'infusion derochemllcy ai. L'eau contribue à la combinaison de l'oxidfb d'étain avec les substances colorantes, 21 , 22. Pré- caiAions à prendre avant d'appliquer, soit à la plan- che, soit au pinceau la dissolution d^acétite d'etain que l'auteur g^opose d'employer comme mordant , * 32 , sS. La dissolution muriatique d'étain substi* tuée à la dissolution acétique , augmente l'inten- sité des couleurs ,* et aifoiblit le coton ou le lin. Moyen de parer à cet inconvénient, ai. Procédé pour obtenir des oxides d'étain colorés solides. Procédé pour obtenir une dissolution alkaline des oxides colorés , 25. Moyen de rendre ces oxides ap- plicables soit à la planche soit au pinceau, s6. Pro- cédé pour obtenir des nuances de couleurs variables â l'infini , 27. Singularités que présentent qaelquea oxides d'étain colorés , 28. Etain. Ce métal exploité en Saxe ne contient point d^arse'nic, suivant M. Leonhardy. Celui de Suède , au contraire, en tient une assez grande quantité, mais il ne paroît pas qu'il soit nuisible danis les us- tensiles do cnisine qui en sont &its, VI, 4^. Pro- cédé de Dizé et Jeannety pour séparer l'ctaiu allié au -cuivre dans le métal des clot:lies , IX , 346, 347* Enlève l'oxigène à l'acide phosphorique vitreux avec la plus grande facilité. Est des ihélauz celai

Bca Matières. ;i37

qjai retient dan» sa combinakon la plus grande quan« tité de phosphore. Donne lieu à plusieurs' phéno- mènes lorsqu^on le traite avec le verre pliosphori-* que , XIII ^ 117. Far sa combinaison avec le soufre dans des proportionf diflerenles , donne da sulfure é'élBin et de IW inusif ^ ou oxids d^étain aulfui'é , XJJIy a8o, oBx Expériences pour former l'or mu- lir. Proportions des substances qui entrent dans celle